Pour envoyer de la bonne énergie à une personne qui vous le demande, que ce soit pour une augmentation d’énergie, pour une meilleure santé, pour une aide personnalisée ou autre, je vous donne un protocole à suivre.

Par exemple pour une personne accidentée, le faire dans l’émotion de souffrance du genre ‘la ou le pauvre’, ou ‘j’ai connu ça’ ou encore, ‘c’est horrible’… ne sert qu’à alourdir la situation en pensant bien faire.
Cela baisse la vibration.

Pour envoyer de l’énergie adaptée, il est bon de se mettre dans un bon rayonnement.

– Pour commencer, soufflez longuement et lentement pour vous apaiser, plusieurs fois, jusqu’à ce que vous vous sentiez en paix.

Enracinez-vous avec de longues racines qui partent de vos pieds dans la terre et vous unit à l’énergie tellurique, puis mettez vos mains sur votre cœur et fermez les yeux.

Imaginez que vous êtes relié-e au ciel (énergie cosmique) comme un pilier de lumière ou comme un phare.

Puis demandez à votre Esprit supérieur de s’unir à vous pour rayonner de la meilleure façon possible, cette énergie vers la personne.

Vous pouvez envoyer l’énergie par vos mains et votre cœur.

Réjouissez-vous du bien-être reçu par cette personne pour son meilleur choix d’âme, imaginez-la du mieux possible et remerciez puis lâchez prise et passez à autre chose dans la foi que la vie s’occupe du reste.

Pour les personnes qui connaissent la puissance des 13 rayons sacrés, vous pouvez ajouter l’énergie adaptée : verte pour une guérison, violette pour une transmutation ou libération, turquoise pour un accompagnement libérateur, rose pour de l’amour, argent nacré pour un bon accouchement etc.

Joéliah
Ce livre peut vous aider : LA RAYONNANCE THERAPIE

https://www.les-livres-de-joeliah.com/la-rayonnance-therapie-joeliah-c2x18632914

 

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Photo Geralt/Pixabay

Maitre Saint-Germain :
 
Je suis alchimiste, vous êtes alchimistes.
Prenez en de plus en plus conscience, conscience de ce pouvoir de transformation intérieure et extérieure sur la matière.
 
Vous êtes venus apprendre à comprendre la forme, à comprendre le son, à comprendre la couleur, à comprendre la variation énergétique.
Vous êtes des scientifiques venus vous amuser au cœur de la matière, à moduler cette matière.
 
Vous pouvez avec l’aide de ces rayons comprendre et apporter des transformations totales dans votre vie.
 
Ces rayons s’utilisent parfaitement en quatrième dimension et sont des outils puissants de modifications de taux vibratoires, modifications cellulaires, transformation d’ADN ces actifs qui peuvent se modifier.
 
Vous avez possibilité de varier votre taux acidique à l’intérieur de vous.
 
Ce rayon violet est là pour vous apporter cette libération des tensions. Libération de votre passé, de toutes vos croyances pour vous permettre enfin de devenir vous-mêmes.
 
De plus en plus il va falloir apprendre à vous libérer totalement, à être vous.
De plus en plus vous rentrerez dans ce Je Suis.
Je suis ce que Je suis.
Cela ne veut pas dire je suis l’autre ou je suis ce que l’autre veut que je sois
Cela ne veut pas dire forcément « Je suis » suivi d’un qualificatif : Je suis papa, je suis maman, je suis enfant.
 
Je suis tout simplement un être de lumière en incarnation.
 
Et là alors, vous allez pouvoir développer des talents parce que vous ne serez plus agrippés, vampirisés par d’autres êtres. Vous ne vous accrocherez pas non plus à d’autres êtres. Vous serez dans votre véritable être de nature divine libre et aimant qui partage, qui rend service mais qui sait être lui-même sans se déprécier, sans se dévaloriser, sans se fatiguer mais qui rend service par amour, par grâce, par joie.
 
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Extrait d’un enseignement du livre ‘L’amour et la sagesse des 7 rayons sacrés, canalisé par Joéliah.
 
A moitié prix ici :
Image par Annalise Batista de Pixabay
En Chine, il y a bien longtemps…
 
Trois peintres se rendent dans une auberge.
L’aubergiste leur propose alors de peindre chacun un cheval, et il promet d’offrir une cruche de vin au premier qui achèvera son œuvre.
 
Les trois peintres se saisissent de leurs peintures et tracent des traits dans tous les sens sur une grande feuille de papier de riz.
 
Un des peintres lève soudain son pinceau et déclare : j’ai terminé le cheval !
 
C’est exact, approuve l’aubergiste qui part chercher la cruche de vin.
 
Vous peignez vraiment trop lentement vous autres, ajouta le gagnant.
Regardez, j’ai même le temps de lui ajouter des ailes !
 
En quatre coups de pinceau, il peignit deux ailes sur les flancs du cheval.
 
L’aubergiste revient avec une grande cruche de vin et la donne au vainqueur en regardant son dessin et lui crie fortement : arrêtez de boire !
 
Comment ça ? j’ai terminé le premier de peindre mon cheval ; j’ai même eu le temps de lui ajouter des ailes !
 
Les chevaux n’ont pas d’ailes, rétorque l’autre aubergiste. Si vous lui ajouter des ailes, ce n’est plus un cheval.
 
Sur ces mots, l’aubergiste tendit la cruche au deuxième peintre qui venait de terminer son cheval.
 
Contes extraits de « Sagesses et malices de la Chine ancienne de Lisa Bresner. Killoffer
 
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Réflexion du moment présent :
Est-ce que je fais juste ce qu’il faut ou parfois un peu trop par arrogance ?
Et si la justesse était de savoir s’arrêter et profiter ?
 
Parfois, il est bon de dire stop ! J’ai terminé mon œuvre.
D’être satisfait d’avoir pu la réaliser, quelle qu’elle soit, et de passer simplement à autre chose en accueillant les cadeaux de la vie.
 
Que le meilleur soit !
Joéliah
 
Image par ArtTower de Pixabay

Un fermier, très mécontent du travail effectué par l’un de ses serviteurs s’en fut à la foire chercher un remplaçant.

Il y rencontra un jeune homme, un peu gauche à l’air simple.
– Alors jeune homme, lui dit le fermier, quel est votre nom ?
– Jean, Monsieur.
– Et que faites-vous dans la vie ?
– Je travaille comme valet de ferme.
– Quelles sont vos aptitudes ?
– Avec tout le respect que je vous dois, Monsieur, je sais dormir quand le vent souffle la nuit.
– Pardon ?
– Oui, je sais dormir quand le vent souffle la nuit.
– Ma foi jeune homme, répondit le fermier, cela n’est guère une réponse. La plupart de mes gens font cela très bien.
Le fermier continua donc ses recherches, mais ne trouva personne.

Plusieurs fois, il revit Jean et chaque fois celui-ci lui donnait la même réponse étrange :
«Je sais dormir quand le vent souffle la nuit».

Tard dans l’après-midi, le fermier prit sa décision.
Trouvant que les yeux de Jean reflétaient l’honnêteté, il lui dit ceci : «Vous êtes certainement un drôle de numéro comme valet de ferme, mais je vous embauche. Nous verrons de quoi vous êtes capable.»

Jean travailla plusieurs semaines sans que l’on remarqua son travail. Ce qui n’est pas étonnant en soi car le travail bien fait passe souvent inaperçu.
C’est seulement quand quelque chose ne tourne pas rond que l’on y prête attention.

Puis une nuit, le vent commença à chasser devant lui d’énormes nuages. Il prit sa force dans les collines, traversa la forêt avec beaucoup de fracas, martela les bâtiments et donna contre les meules de foin, hurlant dans les cheminées.
Lorsque le fermier entendit le vent, il se dressa sur son lit ; il connaissait bien ce vent là.
Déjà plusieurs fois, celui-ci lui avait arraché les portes des étables, dispersé son foin et renversé ses poulaillers.
Il appela Jean qui dormait au grenier.
Il hurla plus fort que le vent, mais personne ne lui répondit.
Enfin, à grandes enjambées il monta le secouer. «Jean ! Jean ! Lève-toi.
La tempête va tout emporter.» Rien à faire, Jean dormait profondément.

Il sortit seul dans la tourmente s’attendant déjà au pire.

Et bien non, au contraire ;
il vit les portes de l’étable solidement barricadées, les chevaux liés, en sûreté, les fenêtres bloquées et le bétail sagement couché dans la crèche.
Il trouva également les meules de foin bien arrimées par des bâches attachées par des grosses cordes fixées sur des pieux enfoncés profondément en terre. La porcherie était intacte et les poulaillers en place malgré la tempête qui sévissait avec rage.
Alors il éclata de rire.
Il venait enfin de comprendre les paroles de Jean :
Le Maître nous a donné suffisamment de conseils nous permettant d’entrer dans son repos. Donc, heureux l’homme qui peut dire :
« J’ai appris à dormir quand le vent souffle la nuit. »

Auteur anonyme

Sachons toujours être au top de notre œuvre…

Image par enriquelopezgarre de Pixabay