Une vision : La semaine de Pâques et sa signification métaphysique, au-delà de toute religion.

Vous qui avez senti l’écho de quelque chose au-delà du Rite, au-delà de l’Encens et des processions, arrêtez-vous pour lire avec votre Esprit, car ce qui a été appelé la Semaine Sainte est un Langage codé à travers des Symboles.
C’est une architecture de l’âme, une cartographie vibratoire qui parle du voyage du moi, de son emprisonnement illusoire à la résurrection de sa vérité essentielle.

Ce cycle de sept jours est une représentation intérieure du Grand Transit Initiatique que tout chercheur doit traverser, et si vous le comprenez avec les yeux de l’Esprit, il se déploie devant vous comme un Hologramme Sacré reflétant votre propre Naissance, Descente, Sacrifice et Ascension.

Le dimanche des Rameaux marque le début, le Christ qui entre à Jérusalem représente l’étincelle divine qui a enfin pris les rênes de ton existence intérieure.
Cet âne qui conduit le Maître, ce n’est pas de l’humiliation. C’est le Corps physique soumis à la direction de l’âme.
Les manteaux et les Palmes sont les voiles antiques qui tombent.
La cité n’est pas un lieu, c’est ton esprit, un esprit qui reçoit avec enthousiasme ce qui ne comprend pas encore la lumière qui va la fracturer.

Le lundi vient avec le nettoyage du Temple, ce n’est pas seulement un geste énervé d’un Maître contrarié.
Il s’agit d’un code clair ; votre Temple intérieur rempli de pensées denses, de contrats inconscients qui doivent être vidé.
Le Christ en vous, prenez le fouet du discernement et expulsez les marchands de l’ego.
Êtes-vous prêt à permettre cette purification ? À renoncer à vos alliances avec la vie quotidienne pour que le feu de l’âme les consume toutes ?
Mardi et mercredi vous confrontent avec l’Ombre. La trahison de Judas est le symbole du saboteur intérieur.

Le jeudi Saint arrive, le pain est rompu, le vin est servi, mais ce n’est pas un dîner.
C’est un acte de transmission quantique, le pain est la substance du corps christique, la structure vibratoire que vous devez intégrer.
Le vin est le sang, le fluide de la mémoire cosmique.
Manger et boire n’est pas symbolique, c’est intégrer la Conscience du Tout dans chaque cellule, chaque Atome, chaque pensée.

Le lavement des pieds est un geste initiatique, l’âme nettoie les pas du corps qui l’a amenée ici.
C’est la reconnaissance que la boue était nécessaire, c’est le moment avant le sacrifice par lequel tout est pardonné et tout est purifié.

Puis vient, le Vendredi Saint ; la Croix, le climat du drame sacré. La Croix est la géométrie sacrée.
Axe vertical – La connexion entre les plans,
Axe horizontal – L’ouverture totale du cœur vers le monde.

En étant cloué là-bas, le Christ intérieur ne souffre pas par punition ; avec l’archétype de la Totalité, c’est l’acte ultime d’abandon, et la mort sur la Croix représente la fin du moi illusoire “Père, entre tes mains, je remets mon esprit”.
C’est une affirmation de retour au divin.

Le samedi Saint, c’est le grand silence, le temps où rien n’est vu, où tout semble perdu ; mais c’est la réalité, c’est le moment de la plus grande gestation !
C’est l’utérus cosmique, l’âme morte à l’ego, descend dans les mondes inférieurs d’elle-même.
C’est pour récupérer la lumière piégée dans l’ombre, et la vraie Renaissance arrive.

Le dimanche de la résurrection, c’est émerger dans un corps différent, un corps vibratoire.
C’est activer le véhicule de lumière.
La conscience solaire. Il s’agit de vivre d’un autre plan.

La pierre du tombeau est enlevée par l’expansion du champ, le Christ n’est plus une figure extérieure.
MAINTENANT, il vit en celui qui a traversé la Croix, dans celui qui renaît du centre.

Alors. Il n’y a pas de doute, la Croix n’était pas une fin, mais un Seuil.
Le tombeau n’était pas une tombe, mais une matrice,
le sang versé n’était pas une douleur inutile, mais un code vibratoire inscrit dans le champ quantique de la Terre.

Ce drame sacré se joue dans les fibres de votre être, dans votre Conscience, dans l’Alchimie silencieuse de chaque Transformation intérieure de ce que vous voyez à l’extérieur.

L’encens, la tunique, les prières, les larmes ne sont que l’ombre d’une opération beaucoup plus profonde, le feu renaissant en vous, un feu révélateur, le soleil secret qui attend au centre de votre poitrine, attendant que VOUS le reconnaissiez et deveniez son temple vivant.

Le véritable acte de rédemption n’était pas un acte, mais un modèle, et ce modèle s’active maintenant en vous, pour vous.
Nous sommes ici pour devenir le portail qui ouvre la voie vers l’éternel.

Si vous choisissez de traverser, vous ne serez plus qui vous étiez, vous serez lumière et vous saurez que vous l’avez toujours été.
Avec amour
Auteur : Jesus Brito

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GUÉRIR son ÂME
C’est pardonner à celui qui nous a fait du mal.
C’est cesser de dire du mal des autres.
C’est être reconnaissant pour chaque événement de notre vie.
C’est travailler sur notre moi intérieur.
C’est comprendre que nous sommes imparfaits et accepter nos erreurs.
C’est cesser de juger.
C’est se connecter chaque jour à notre pouvoir divin.
C’est lâcher ce qui fait mal.
C’est lâcher ce dont nous n’avons pas besoin.
C’est embrasser nos jours comme s’ils étaient les derniers.
C’est aider ceux qui sont dans le besoin.
C’est apprendre à recevoir et à donner sans attente.
C’est mettre de côté nos attentes.
La guérison de l’âme est un processus de libération et d’acceptation.
C’est un processus d’évolution et de prise de conscience.
La guérison de l’âme se fait par de petits actes dans notre vie qui ne demandent rien de plus que notre acceptation et notre amour-propre.
Les clés de Sophia
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“La vie va retirer ce que vous avez, jusqu’à ce que vous arrêtiez de vous plaindre et que vous commenciez à remercier.
La vie envoie des personnes conflictuelles pour vous soigner, pour que vous arrêtiez de regarder dehors et que vous commenciez à refléter ce que vous êtes à l’intérieur.
La vie vous permet de retomber et de nouveau, jusqu’à ce que vous décidiez d’apprendre la leçon.
La vie vous éloigne de la route et vous présente des carrefours, jusqu’à ce que vous arrêtiez de vouloir tout contrôler et que vous couliez comme une rivière.
La vie met vos ennemis sur la route jusqu’à ce que vous arrêtiez de “réagir”.
La vie vous fait peur et vous fera peur autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que vous perdiez la peur et que vous retrouviez votre foi.
La vie vous éloigne des gens que vous aimez, jusqu’à ce que vous compreniez que nous ne sommes pas ce corps, mais l’âme qu’elle contient.
La vie se moque de vous plusieurs fois, jusqu’à ce que vous arrêtiez de tout prendre si au sérieux et que vous puissiez rire de vous-même.
La vie vous brise autant de parties autant que nécessaire, pour que la lumière pénètre en vous.
La vie vous confronte aux rebelles jusqu’à ce que vous arrêtiez d’essayer de contrôler.
La vie répète le même message, si nécessaire, avec des cris et des couvercles, jusqu’à ce que vous l’entendiez enfin.
La vie envoie des éclairs et des tempêtes pour vous réveiller.
La vie vous humilie et parfois elle vous défait encore et encore jusqu’à ce que vous décidiez de laisser votre ego mourir.
La vie vous refuse des biens et une grandeur jusqu’à ce que vous arrêtiez de vouloir des biens et de la grandeur et commenciez à servir.
La vie coupe vos ailes et élague vos racines, jusqu’à ce que vous n’ayez plus besoin d’ailes ou de racines, que vous disparaissiez juste dans les formes et que votre être vole.
La vie vous refuse des miracles, jusqu’à ce que vous compreniez que tout est un miracle.
La vie raccourcit votre temps, pour que vous vous pressiez d’apprendre à vivre.
La vie vous ridiculise jusqu’à ce que vous ne fassiez plus cas de rien, ni personne, pour qu’alors, vous deveniez tout.
La vie ne vous donne pas ce que vous voulez, mais ce dont vous avez besoin pour évoluer.
La vie vous blesse et vous tourmente jusqu’à ce que vous lâchiez vos caprices et
vos colères et appréciez votre respiration.
La vie vous cache des trésors jusqu’à ce que vous appreniez à sortir dans la vie et à les chercher.
La vie vous refuse Dieu, jusqu’à ce que vous le voyiez en tous et en tout.
La vie vous réveille, vous élague, vous brise, vous déçoit… mais croyez-moi, c’est pour que votre meilleur moi se manifeste… jusqu’à ce que seul l’amour reste en vous”.
Bert Hellinger (créateur des constellations familiales)

Texte à lire lors d’une cérémonie mortuaire :

“Quand je ne serai plus là, relâchez-moi,
laissez-moi partir,
j’ai tellement de choses à faire et à voir
ne pleurez pas en pensant à moi.

Soyez reconnaissants pour les belles années,
je vous ai donné mon amour et mon amitié,
Vous pouvez seulement deviner
le bonheur que vous m’avez apporté.

Je vous remercie pour l’amour que chacun m’avez démontré,
maintenant, il est temps de voyager seule.

Pour un court moment, vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps.

Laissez les souvenirs apaiser votre douleur,
je ne suis pas loin, et la vie continue.

Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai,
même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là.
Et si vous écoutez votre cœur, vous éprouverez clairement
la douceur de l’amour que j’apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir,
je serai là pour vous accueillir.

Absente de mon corps, présente en Dieu.

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne dors pas, je ne suis pas morte.
Seul mon corps reste pour retourner en poussière
et rendre grâce à la Terre.

Je suis les mille vents qui soufflent,
je suis le scintillement des cristaux de neige,
je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
je suis la douce pluie d’automne,
je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
je suis l’étoile qui brille dans la nuit.

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
Je suis vivante, simplement, de l’autre côté du miroir
Dans le monde invisible que vous ne pouvez voir

Transformée, éternellement vivante”.

Charlotte Flamand

Le Bonheur

Le bonheur ne se trouve pas avec effort et volonté.
Mais réside là, tout proche, dans la détente et l’abandon.
Ne sois pas inquiet, il n’y a rien à faire.
Tout ce qui s’élève dans l’esprit n’a aucune importance
parce que dépourvu de toute réalité.

Ne t’attache pas aux pensées, ne les juge pas.
Laisse le jeu de l’esprit se faire tout seul, s’élever et retomber, sans intervenir.
Tout s’évanouit et recommence à nouveau, sans cesse.

Cette quête même du bonheur est ce qui t’empêche de la trouver
comme un arc-en-ciel qu’on poursuit sans jamais le rattraper,
parce qu’il n’existe pas, parce qu’il a toujours été là,
et parce qu’il t’accompagne à chaque instant.

Ne crois pas à la réalité des choses bonnes ou mauvaises.
Elles sont semblables aux arcs-en-ciel.
À vouloir saisir l’insaisissable, on s’épuise en vain.

Dès lors qu’on relâche cette saisie, l’espace est là, ouvert, hospitalier et confortable.
Alors jouis-en. Ne cherche plus.

Tout est déjà tien.

À quoi bon aller traquer dans la jungle inextricable,
l’éléphant qui demeure tranquillement chez lui.

Cesse de faire.
Cesse de forcer.
Cesse de vouloir.
Et tout se trouvera accompli, naturellement.

Poème de Lama Guendune Rinpoché

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Gardez la source du site, si vous diffusez, merci.

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1. OUVREZ VOTRE AUDIENCE À LA SAGESSE DE VOTRE CORPS, qui s’exprime par des signes de confort et d’inconfort. Lorsque vous choisissez un certain comportement, demandez à votre corps ce qu’il en ressent. S’il vous envoie un signal d’agitation physique ou émotionnelle, soyez prudent. S’il envoie un signal de confort et de désir, continuez.
2. RESTEZ EN ATTENTION TOTALEMENT : Gardez toute votre attention ici et maintenant ; recherchez la plénitude à tout moment. Acceptez pleinement ce qui se présente à vous afin de pouvoir l’apprécier et en tirer des enseignements ; puis laissez-le passer. Ce moment est tel qu’il est parce que l’Univers est parfait en n’étant pas statique.
3. FAITES DES ESPACES DE SILENCE pour méditer et apaiser le dialogue intérieur. Dans les moments de silence, prenez conscience que vous vous reconnectez avec votre source de conscience pure.
Soyez attentif à votre vie intérieure afin de vous laisser guider par votre intuition plutôt que par des interprétations imposées de l’extérieur.
4. RENONCEZ À VOTRE BESOIN D’APPROBATION EXTÉRIEURE.
Vous êtes le seul juge de votre valeur ; votre but est de découvrir la valeur infinie de vous-même, indépendamment de ce que pensent les autres.
5. LORSQUE VOUS RÉAGISSEZ À UNE BLESSURE D’ENFANCE par la colère ou l’opposition, rappelez-vous que vous ne vous battez qu’avec vous-même. La résistance est la réaction des défenses créées par d’anciennes souffrances.
6. LE MONDE EXTÉRIEUR REFLÈTE VOTRE RÉALITÉ INTÉRIEURE.
Les personnes devant lesquelles votre réaction est la plus forte, que ce soit par amour ou haine, sont des projections de votre monde intérieur. Ce que vous détestez le plus est ce que vous refusez le plus en vous. Ce que vous aimez le plus est ce que vous désirez le plus en vous-même. Utilisez le miroir des relations pour guider votre évolution.
7. LIBÉREZ-VOUS DU FARDEAU DU JUGEMENT.
En jugeant, vous imposez le bien et le mal à des situations qui sont simplement ce qu’elles sont. Ce faisant, vous reflétez votre manque d’acceptation de vous-même.
8. NE CONTAMINEZ PAS VOTRE CORPS AVEC DES TOXINES, qu’il s’agisse d’aliments, de boissons, d’émotions toxiques ou de dépendances. Votre corps n’est pas seulement un système de survie. Chaque cellule est un point de conscience dans le champ de conscience qui est le vôtre.
9. REMPLACER LE COMPORTEMENT QUI MOTIVE LA PEUR PAR LE COMPORTEMENT QUI MOTIVE L’AMOUR.
La peur est un produit de la mémoire, qui vit dans le passé. En nous souvenant de ce qui nous a fait souffrir auparavant, nous consacrons notre énergie à faire en sorte que la souffrance ancienne ne se répète pas. Mais essayer d’ordonner le passé au présent ne mettra jamais fin à la menace de la souffrance. Cela ne se produit que lorsque vous trouvez la sécurité de votre propre être, qui est l’amour.
10. COMPRENEZ QUE LE MONDE PHYSIQUE N’EST QUE LE MIROIR D’UNE INTELLIGENCE PLUS PROFONDE.
L’intelligence est l’organisateur invisible de toute matière et de toute énergie ; comme une partie de cette intelligence réside en vous, vous participez au pouvoir d’organisation du cosmos. Comme vous êtes inséparablement lié au tout, vous ne pouvez pas vous permettre de polluer l’air et l’eau de la planète. Mais à un niveau plus profond, vous ne pouvez pas vous permettre de vivre avec un esprit toxique, car chaque pensée crée une impression sur le champ total de l’intelligence. Amour et paix.
Myriam Gomez Sastre
Merci.
Heureux ceux qui sont en paix avec eux-mêmes.
Heureux ceux qui ont cessé de se battre contre eux-mêmes, contre certaines parties intérieures ou certains moi importuns, qui leur sont parfois apparus comme des invités indésirables, soudains et sans invitation, faisant irruption sans cérémonie dans leurs scénarios de vie, sous forme de jalousie, d’envie, de rancune, de plaintes, de cris, de violence…
Heureux donc ceux qui n’ont plus besoin de rejeter aucun de leurs aspects intérieurs, tout ce qui les constitue, pas même ce qu’ils ressentent comme gênant, inadéquat, désagréable, ou ce qui est difficile à supporter à tout moment. Ils ont travaillé sur eux-mêmes.
Ils ont travaillé sur la compréhension et l’intégration de ce qui semble inacceptable.
Ils ont fait briller ce qui leur paraissait sombre et plombé comme étant utilisable et doré.
Ils se sont soumis au défi de l’alchimie intérieure et ont été transformés : ce qui semblait négatif est devenu une ressource pour la grâce de leur acceptation, le grand passe-partout.
Ils ont atteint quelque chose d’important et de très populaire : la si précieuse estime de soi.
Joan Garriga
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Image, nom de l’auteur non indiqué – merci à elle ou lui.
Je suis Jeshua. Je vous salue tous, un par un.
Je vous salue du fond du cœur.
De mon cœur, je ressens l’unité avec vous.
Nous ne sommes pas séparés, nous sommes un, reliés dans un immense champ d’amour et de richesse intérieure.
Sentez votre cœur… sentez qu’il est bien plus qu’un simple organe physique.
Sentez qu’il est une passerelle vers un autre monde, un monde au-delà du physique.
Votre cœur participe à ce grand champ.
Par votre cœur, vous entrez dans la dimension de votre âme.
Imaginez que derrière votre cœur physique, il y a une couleur, une énergie, un espace qui contient l’énergie de votre âme.
Sentez qu’elle est suspendue derrière vous, derrière le haut de votre dos, qu’elle vous entoure d’une certaine couleur ou d’une certaine sensation.
Connectez-vous à cette énergie.
 Sentez comment elle vous soulève de la lourde vibration de la matière, du monde terrestre, et comment vous êtes absorbé dans un champ qui vibre plus haut, qui est fluide et léger, et où beaucoup de connaissances intérieures sont stockées.
Par l’intermédiaire de votre âme, vous êtes relié à une intelligence et à d’autres êtres vivants sur Terre et dans d’autres dimensions.
Sentez comment vous participez à cela tout en vivant votre vie quotidienne sur Terre.
De là, vous pouvez recevoir l’inspiration et les choses peuvent prendre un sens qu’elles n’ont apparemment pas.
Demandez maintenant à votre âme de vous rejoindre et de s’écouler dans votre corps en passant par votre cœur, en remplissant votre poitrine, votre tête, votre ventre et vos jambes jusqu’à vos pieds.
Accueillez votre âme et sentez que vous ne faites plus qu’un avec elle.
L’âme n’est pas quelque chose d’extérieur à vous.
Elle est quelque chose que vous pouvez pénétrer jusqu’à toutes les cellules de votre corps.
Dès que cela se produit, vous commencez à vivre différemment : avec beaucoup plus de confiance, avec plus de paix et à partir d’une perception plus calme, vous commencez à observer tout ce qui se passe en vous et dans votre vie.
Ouvrez toutes vos cellules à l’énergie de votre âme.
Imaginez une couleur qui reflète bien la vibration de votre âme.
Imaginez que vous l’absorbez complètement.
C’est tout à fait naturel pour votre corps, car en fin de compte, votre corps est un être animé qui reçoit la vie par l’intermédiaire de votre âme ; une guidance intérieure en quelque sorte.
Imaginez maintenant que l’énergie de votre âme s’écoule encore plus loin dans le monde terrestre.
Qu’elle s’écoule dans votre vie quotidienne, dans votre travail et dans vos relations avec les autres.
Imaginez que vous permettez à l’énergie de votre âme de circuler librement.
Voyez s’il y a une situation dans votre vie, peut-être un problème particulier, une personne ou une relation particulière, dans laquelle vous voulez changer quelque chose.
Voyez si quelque chose en particulier vous invite à y laisser circuler l’énergie de votre âme, à y créer de la clarté.
Laissez cette couleur et cette énergie y aller.
Sentez ce qui se passe.
 Comment l’énergie de votre âme affecte-t-elle ce problème, cette situation ou cette relation ?
L’énergie de l’âme est très neutre, sans jugement.
Tout devient clair et prêt grâce à une douce neutralité, et non en poussant, en tirant ou en jugeant.
Maintenant, ramenez l’énergie de votre âme à vous et remplissez-en toute votre aura ; remplissez tout votre champ d’énergie avec votre propre énergie.
Sentez qu’il est naturel d’être baigné dans votre propre énergie, d’être chez vous en elle.
Je vous demande maintenant de vérifier si vous ressentez dans votre propre champ énergétique des points sombres ou des énergies qui n’y ont pas leur place.
Vous n’avez pas besoin de savoir exactement pourquoi, ni à qui elles appartiennent.
Posez un regard très neutre, sans aucun jugement.
Presque tout le monde est porteur d’énergies provenant d’autres personnes.
Observez un moment de manière très neutre où vous ressentez cela en vous, et où quelque part quelque chose se trouve dans votre aura : en haut ou en bas, à gauche ou à droite. Interrogez votre propre champ d’énergie.
Sentez de l’intérieur l’énergie qui y réside, l’émotion ou l’humeur qui s’y trouve.
Beaucoup de choses ont à voir avec la peur d’être différent.
À partir de là, vous commencez à prendre des responsabilités pour les autres, vous commencez à répondre aux attentes de vos parents, de vos proches, de vos partenaires.
C’est souvent là que se produit un trou, une fuite dans votre aura.
Regardez-la maintenant avec douceur.
Prenez conscience de cette partie de vous où vous vous ouvrez à des énergies qui ne vous appartiennent pas.
Dites-vous alors très simplement : je n’ai pas à faire cela, ce n’est pas mon travail, je ne suis pas là pour cela.
Voyez si vous pouvez apporter un peu de mouvement à ces énergies qui ne vous appartiennent pas, si vous pouvez rayonner un peu de lumière sans y être hostile, sans pousser et tirer, ou sans vouloir l’enlever trop vite.
Sachez que cette énergie correspond aussi à des peurs en vous : peur d’être grand, peur de dévier, peur de ne pas appartenir.
Ainsi, lorsque vous commencez à dégager ces énergies dans votre aura, vous rencontrez souvent ces peurs, souvent sous la forme : ai-je le droit d’être si autonome et puissant que je ne permets que ma propre énergie ? Ne vais-je pas être rejeté ?
C’est là que peuvent se trouver des peurs très profondes qui ne se dissipent que progressivement.
La conscience est la véritable clé.
Une fois que vous faites la lumière sur ce point avec votre conscience, les choses commencent à changer, les énergies commencent à se déplacer à un rythme qui vous convient.
Prenez conscience des peurs que vous portez dans votre vie quotidienne : peur des autres, peur de vous montrer.
C’est directement lié à ce thème de ne pas laisser libre cours à sa propre énergie.
Prenez-en conscience : c’est à ce moment précis que le processus de changement commence.
Sachez que vous recevez l’aide de la Terre.
La Terre ressent un appel au changement.
Elle est impatiente de recevoir l’énergie de votre âme ; elle y est ouverte.
Elle vous aidera en tout point à ouvrir ce canal et à vous sentir chez vous ici.
Ressentez la puissance de la Terre Mère.
Soyez les bienvenus sur Terre. Faites confiance à la vie ici.
Une nouvelle époque a commencé.
Beaucoup de choses doivent encore changer, mais les graines ont été semées et fleurissent.
Une nouvelle conscience devient visible.
Vous êtes parmi les premiers à vouloir y entrer consciemment, à vouloir vous ouvrir intérieurement et à vous épanouir.
Je vous tends la main et je veux vous dire que tant d’amour coule vers vous et que vous êtes tellement aimés : aussi bien par les êtres vivants sur Terre que par les intelligences vivantes de l’autre côté.
Nous sommes avec vous.
Merci de votre attention.
Pamela Kribbe
– Le rayonnement est votre travail
www.pamela-kribbe.net
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Quand je suis née dans ce monde, je ne savais qu’aimer,
rire et rayonner ma lumière intensément.
Puis au fur et à mesure que je grandissais, on m’a répété d’arrêter de rire :
« Prends la vie au sérieux si tu veux avancer dans ce monde ».
Alors j’ai arrêté de rire.
On m’a dit ensuite : « fais attention à qui tu aimes si tu ne veux pas que ton cœur soit brisé ».
Alors j’ai arrêté d’aimer.
Puis on m’a dit : « ne rayonne pas tant car cela attire l’attention sur toi ».
Alors j’ai arrêté de rayonner.
Et je suis devenue minuscule.
Je me suis flétrie et je suis morte.
Pour apprendre après la mort
que tout ce qui compte dans la vie
est d’aimer, rire et rayonner sa lumière intensément !
ANITA MOORJANI
*********
Vivez intensément comme le font les enfants qui sont en paix.
J’apprends à m’alléger
en éliminant progressivement dans ma vie de tous les jours
tout ce qui me parait inutile, lourd et superflu.
J’apprends à retirer de ma vie,
toute ces petites obligations qui chargent mon quotidien
et que je fais par peur et non par satisfaction.
J’apprends à écouter les signes que la vie m’envoie
comme par exemple de ne pas arriver à joindre une personne,
ou les émotions désagréables que je ressens
au contact d’une autre.
J’apprends à honorer la vie qui me guide à chaque instant,
non pas dans ce que je veux à tout prix,
mais dans ce qu’il y a de mieux pour ma libération intérieure.
J’apprends à remercier chaque petite chose qui est belle et juste dans ma journée et que je reçois comme un cadeau précieux, comme par exemple, avoir échangé avec mon enfant de tout et de rien, cuisiner un bon plat,
avoir acheté un joli bouquet de fleurs ou avoir fait mon ménage dans la satisfaction d’avoir une maison propre et bien rangée.
J’apprends qu’il n’y a pas de “hasard”,
mais que des rendez-vous.
J’apprends et je me souviens surtout qu’aujourd’hui
est encore une opportunité exceptionnelle de vivre la joie, la gratitude et le contentement, car je ne sais pas si demain j’aurais encore la chance d’être là.
J’apprends que ceux que j’aime ne sont pas non plus éternels
et que chaque jour j’ai envie de leur faire savoir à quel point
ils comptent pour moi.
J’apprends que l’âge ne compte pas,
et que mes rides et mes cheveux blancs en disent long
sur tout ce que j’ai traversé, et tout le courage qu’il m’ a fallu
pour quelquefois rester en vie en dépit de tout…
J’apprends que l’amour que je cherche est en moi
et que je ne peux aimer personne inconditionnellement
si je ne le fais pas d’abord avec moi-même.
J’apprends que je suis venue ici pour apprendre
et accepte de rester enseignable et humble
jusqu’à mon dernier jour.
J’apprends que la vie est Amour
et j’apprends à m’émerveiller dans la joie
et le rayonnement total.
Maud Albertini
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