Voici un texte que j’ai écrit en 2012 et qui est plus que jamais d’actualité pour comprendre où se trouve notre force et le piège de notre faiblesse. Je l’ai légèrement adapté.
Avez-vous déjà essayé de déchirer un annuaire d’un coup avec vos deux mains ?
A part un Monsieur Muscle très puissant, c’est quasi impossible.
Alors que feuille par feuille, avec un peu de temps, c’est à la portée d’un enfant.
Ce qui fait la différence : l’union ou la séparation.
Notre société actuelle est fragile (et encore plus par les effets de la pandémie actuelle, et du diviser par la peur pour régner), car les hommes dans leur vie habituelle suractivée ont oublié de se parler entre voisins, de se réunir, de se parler en direct les yeux dans les yeux, de passer de vrais moments ensemble, de rire, de se fédérer concrètement pour unir leur force.
Certes, en période ‘normale’, ils le font sporadiquement lors d’un concert, d’un spectacle ou d’une revendication puis rentrent chez eux, ne connaissant pas souvent l’histoire de leur proche voisin de siège ou de manifestation.Force est de constater que notre société est faite d’égoïsme, de virtuel, et il est excessivement facile, même pour une personne faible, de détruire chaque personne indépendamment des autres en les séparant, les isolant,
alors qu’ENSEMBLE, c’est quasiment impossible.
Le frelon asiatique fait de gros dégâts en Europe chez les abeilles. Savez-vous pourquoi et pas en Asie ?
Là-bas, lorsqu’un frelon s’approche de l’entrée d’une ruche pour aller voler le miel et tuer les abeilles, un grand groupe de ‘guerrières gardiennes’ l’entourent, battent des ailes et font chauffer sa température.
En quelques minutes, il meurt étouffé et ‘cuit’.
L’esprit d’équipe a joué et gagné.
En Europe, lorsqu’un frelon arrive, une première guerrière sort et se fait tuer, puis une autre abeille, une autre et une autre… et ainsi de suite pendant plusieurs minutes et toute la ruche est tuée systématiquement.
La séparation les tue.
Il est vraiment temps de réapprendre l’union concrète, de se retrouver ‘en vrai’ pour échanger ses idées, ses talents, ses choix et s’entraider.
Pour agir réellement et pas seulement lorsqu’il y a des fêtes ou des réactions à manifester, grève, colère ou menaces.
Pour se créer de vraies amitiés, des relations saines et fortes.
Créer des moments de partage, de joie, de démonstration de talents, de communion, de danse, de rires.
Recréer des rencontres physiques d’amis du virtuel, même si le fait de pouvoir se rencontrer à des milliers de kilomètres grâce à l’informatique et les ondes est sympathique aussi.
C’est ainsi qu’une nouvelle société peut naître, dans la réalité de la matière et sortir de l’essence ou éther pour reprendre contact avec la vérité de l’incarnation et de la substance.
C’est ce que nous sommes venus faire sur cette Terre.
Pour confirmer ce fait, voici une petite histoire trouvée sur le net :
Un homme qui allait mourir réunit ses 5 fils.
Il prit 5 petites branches de bois et les ligota fortement ensemble.
Il demanda à chacun de ses fils, tour à tour, de briser ce fagot.
Aucun n’y arriva.
Alors, il sépara chaque brindille et en tendit une à chacun de ses fils, en leur demandant de les briser, ce qu’ils firent aussitôt facilement.
Voyez-vous mes enfants, ceci est une leçon que vous devez vous souvenir toute votre vie : séparés, vous êtes aussi fragiles que ces brindilles, alors qu’unis, vous devenez solides comme un arbre.
La vie est ainsi faite que l’union démultiplie la force.
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Nous sommes tous dans l’illusion de la séparation car nous sommes tous issus du UN.
Retrouvons notre unité spirituelle et d’incarnation.
Ensemble, nous pouvons beaucoup.
Et il est aussi possible d’œuvrer ensemble, unis en étant séparés comme dans les prières collectives car l’union d’intentions de pensées créé un égrégore puissant qui agit dans l’astral et peut par la suite se manifester dans la matière.
Vive l’union !
Joéliah
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Image par Patricio Sánchez de Pixabay
Que ce soit dans le monde de la consommation pour la nourriture, la mode, l’informatique, les réseaux sociaux, la médication ou autre achats souvent inutiles ou non conscientisés, ce sont quelques familles qui s’enrichissent.
Domine l’amour universel, porte l’essentiel christique.
Ils ne font pas de différences s’ils sont dans un jardin privé, dans un parc public, dans un bois ou abandonné dans un vieux jardin.
