Avez-vous parfois le sentiment d’être traité(e) par des personnes d’une manière que vous ne feriez jamais ? Comment est-ce possible puisqu’il est dit faites aux autres ce que vous aimeriez que l’on vous fasse … ?

Ce message de Marie-Pier Charron, de Matin Magique, est explicatif :

Ne confondez pas ce qui vous est offert avec ce que vous valez.

La façon dont une personne vous traite n’est pas (forcément) le reflet de votre beauté ni de votre grandeur.

C’est le reflet de la façon dont elle traite les autres, tout simplement.
L’expression de qui elle elle, le prolongement de comment elle se sent.

Si elle donne des miettes, cela ne fait pas de vous une personne qui mérite des miettes.
Cela fait d’elle une personne qui donne des miettes. Point final.

Certes, la décision de se rapprocher de vous ou non dépend de son attrait pour vous. Mais même son attirance n’est pas une mesure infaillible…
Par exemple, combien de gens recherchent la compagnie de personnes qui nourrissent leurs vieux schémas toxiques et fuient celles avec qui ils pourraient vivre quelque chose de vrai et de beau ?
On pourrait dire que parfois, être rejeté semble même le plus grand compliment.

Ainsi, chacun donne seulement ce qu’il est capable de donner.
La capacité de donner d’une personne – ou ce qui l’attire – repose sur des facteurs qui n’ont absolument rien à voir avec nous.
Et aussi convaincants soient les scénarios qu’on a l’habitude de se monter, la seule et unique raison pour laquelle on reçoit des miettes, chers amis, est qu’on choisit de les accepter.

Sur ce, je vous souhaite une très belle journée !

Source :  matinmagique.com

Alors, restez vous-mêmes, valorisez-vous et offrez-vous les fleurs que vous méritez !

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Il est vraiment intéressant de comprendre pour notre évolution, que tout peut être modifié sur simple choix conscient.
Libérer le passé est une base essentielle qui peut prendre parfois des semaines ou parfois se faire très vite.
Lorsque des événements se répètent régulièrement, c’est qu’une partie de nous attire cela comme un écho qui nous revient et ce, de manière parfois amplifiée.

Prenez le cas ou vous n’aimez pas quelque chose… votre pensée répète régulièrement ‘je n’aime pas ça’ ‘ça me déplait’ ‘ça m’énerve’ ou ‘je ne peux plus voir ça en peinture’ ‘ça me sort par les yeux’…

Et que croyez-vous qui est émis dans l’univers ?… Le rejet de cette chose qui crée en réalité une vibration d’appel d’amour de la part de cette chose… cette personne ou cette situation !

Alors pour être aimée, elle va se manifester encore plus au lieu de disparaitre. Elle peut changer de forme ou de personne, mais l’expérience se renouvellera tant que l’amour n’aura pas trouvé sa place.

Car l’amour est lumière et nous sommes des esprits lumineux qui avons choisi de venir manifester cette lumière sur la Terre sous notre forme unique.

Il est donc important d’apaiser cette vibration de rejet.

La technique d’amour du Ho’Oponopono peut déjà déblayer le terrain : Je m’aime et j’aime la vie, aussi je suis désolé(e) (d’avoir rejeté ceci), pardon, je t’aime, merci.
A répéter des dizaines de fois s’il le faut, comme un mantra, avec la ferme intention de neutraliser la vibration de rejet et ce qui s’y rapporte.

Ensuite, il est bon de libérer dans le corps tout ce qui gène et cela peut se faire par la kinésiologie, l’EFT, la reconnexion, la méthode ‘JE commande’, les Rayons sacrés (le turquoise et le rose), un bon massage, un sauna ou un bain de rayons et de lumière… des larmes ou du rire… et toute méthode qui vous réussit.
Ceci tous les jours s’il le faut.

Dès que la libération de ce qui dérange est faite, il est impératif, aussitôt de remplacer la vibration par une plus élevée !
Décréter les nouveaux choix avec amour et la foi qu’ils sont déjà en train de se mettre en action.
Cette nouvelle réalité se mettra en action très rapidement si vous avez fait le nettoyage de manière consciente et avec la volonté ferme de libérer le passé.

En libérant les mauvaises images, pensées, souvenirs et habitudes du passé, et en les remplaçant consciemment et régulièrement par des choix positifs de mieux-être, de paix, de respect, d’autorisation d’Être, d’aimer et d’être aimé, la transformation peut-être palpable en peu de temps.

Le rayon bleu de la force et du courage peut vous aider à développer cette habitude positive et essentielle pour l’illumination de notre vie et le rayon violet vous aider à libérer.

Que le meilleur soit !
Joéliah

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Pour vous aider :

ou encore

La douceur et le chemin de croix, par Simon Leclerc , Écrit le 9 février 2018 :

Bonjour à vous tous,

C’est toujours un plaisir pour moi de reprendre l’enseignement et de créer un nouveau message pour le site Internet. Ces éclairages me permettent de mieux intégrer ce que je partage, et lorsque cela résonne avec les gens qui les lisent, c’est encore plus stimulant pour moi.

Ces dernières années, j’ai été encouragé à entrevoir la vie sous l’angle de mes idéaux, car je savais que si je voulais donner un sens à mon incarnation, il me fallait m’y aligner. J’hésite ici à employer les termes «mission de vie» ou «mandat d’incarnation», car pour moi, il s’agit vraiment de se créer une vie heureuse où ce que l’on entreprend nous apporte de la joie. Cela n’a rien à voir avec un devoir accablant ou une forme quelconque de missionnariat. C’est un chemin réjouissant destiné à nous rendre profondément heureux.

Un mandat d’incarnation fastidieux, austère et déprimant ne peut correspondre à ce qui est insufflé par l’âme. Si un être se sent attiré par un chemin lourd où le but est d’accomplir une tâche qu’il considère nécessaire, il est plus que probable qu’il s’agisse plutôt d’une mémoire nourrie par une sensation de culpabilité. L’être a alors l’impression qu’il doit accomplir une certaine tâche pour se racheter d’un quelconque passé, ou, comme disaient nos ancêtres, «pour gagner son ciel». De mon côté, quand je parle d’une «mission de vie», je fais référence à un parcours qui apporte une joie profonde et réelle, tout en sollicitant le meilleur de nous. Découvrir ce chemin qui nous fera vibrer en profondeur est le «but de notre incarnation» et c’est la voie royale qui conduit au bonheur.

La quête
L’une des principales quêtes que nous entreprenons dans notre vie est celle de découvrir ce que nous aimons vraiment, ce qui nous anime profondément. Trouver ce que sont ces qualités uniques que nous portons en nous. Et ensuite, lorsque nous les reconnaissons, le but est de les mettre en mouvement pour qu’elles puissent servir la vie autour de nous, en stimulant par la même occasion l’être incarné que nous sommes. Pour moi, c’est ce qui apporte le bonheur et nous aligne, par le fait même, avec notre mission de vie. Personnellement, je ne vois aucune différence entre la joie profonde et le mandat d’incarnation. Les deux sont directement liés.

À l’opposé, nous pourrions associer la dépression à l’écart qui existe entre ce que nous sommes réellement et ce que nous faisons de notre vie, la façon dont nous nous déployons. La dépression agit dans ce contexte comme un fusible qui disjoncte, ce qui coupe l’être de sa force vitale. C’est un signal qui indique que l’extérieur n’est plus en alignement avec l’intérieur.

Plusieurs raisons humaines et sociales expliquent cette séparation intérieure et font en sorte que nous nous éloignons graduellement de notre essence. Mais comme je l’ai souvent mentionné dans mes écrits passés, la principale est liée à notre besoin fondamental d’être aimé et reconnu par nos proches, ce qui conditionne notre relation aux autres. Sans toujours le réaliser, cela nous conduit parfois très loin de ce qui nous procure une joie réelle, car notre envie de plaire nous fera confondre nos élans profonds avec ceux qui seront les plus «acceptables» socialement et aptes à nous procurer l’amour et la reconnaissance.

Comprenons que plus l’amour que nous recevons est inconditionnel dès notre jeune âge, plus nous aurons envie de nous poser la question «qui suis-je» et de chercher la réponse? À l’opposé, plus cet amour sera conditionnel et plus nous voudrons nous adapter pour devenir ce qui aura le plus de chance de nous procurer la reconnaissance et l’amour de nos proches. C’est ce mécanisme qui façonne les humains que nous sommes et qui nous éloigne, ou nous rapproche, de nos pulsions profondes.

Maintenant, ceci étant dit, lorsque cette étape de reconnaissance de soi est atteinte et qu’un être sait ce qui l’anime vraiment, la phase suivante de se mettre en mouvement pour concrétiser ses idéaux et se réaliser n’est pas toujours simple. Voilà le thème que j’aimerais aborder à travers cet écrit.

La volonté de l’âme
Dans ma pratique d’accompagnement, j’entends des gens me poser des questions sur «la volonté de l’âme». On me demande parfois» est-ce que mon âme veut que je sois en amour», ou «qu’est-ce que mon âme attend de moi»? Ce type de question provient d’une sensation de séparation qui est basée sur l’observation que la vie ne semble pas toujours aller dans la direction souhaitée. Certaines personnes ont l’impression que si elles ne parviennent pas à créer quelque chose qui leur tient à cœur, c’est alors que «la volonté de l’âme» est différente de la leur. Ces gens s’imaginent que leur âme possède une sorte d’agenda parallèle incompréhensible qu’ils associent aux mystères de l’incarnation. Et c’est ce mystère qui les amène à se demander ce que leur âme veut, comme s’il s’agissait d’un étranger avec lequel on doit composer.

Les obstacles à créer nos idéaux, ce qui nous rend profondément joyeux, n’ont rien à voir avec les freins posés par l’âme. Celle-ci ne pose aucun frein, au contraire même. Elle nous aide plutôt à enlever les barrières en stimulant nos qualités profondes et en nous faisant ressentir de la joie lorsque nous nous y alignons. Son idéal est le même que le nôtre. Si un parcours nous apporte une joie profonde, il correspond nécessairement à «la volonté de notre âme». Comment pourrait-il en être autrement?

Ceci étant dit, alors d’où proviennent ces sensations d’obstructions et les obstacles qui nous empêchent de créer ce qui nous apporte de la joie dans notre vie? S’ils ne proviennent pas de l’âme, quel aspect de nous les crée? En réalité, ce sont les mémoires – celles présentées plus tôt – et le regard que nous portons sur elles qui nous maintiennent dans une sensation de dette. «Je pourrai créer ma vie rêvée lorsque j’aurai remboursé mon dû, lorsque je me serai affranchi de mes obligations». C’est ce que certains ont nommé le karma. C’est lié à une impression de ne pas mériter ce que l’on souhaite, et cela vient saboter notre vie et repousse continuellement l’échéancier du bonheur.

Le karma
S’il est vrai que le karma existe dans le monde des humains, il est associé au défi de nous pardonner de nos inconsciences passées et non pas à une loi cosmique universelle qui nous impose de rembourser d’anciennes dettes. Cette résistance à nous offrir l’amour inconditionnel que réclame inlassablement «l’humain-en-voyage-sur-Terre» nous maintient dans la roue karmique. Sans ce regard de bienveillance envers notre être profond, celui qui fait son possible pour retrouver la paix et la lumière, nous avons l’impression que nous devons nous racheter d’un passé lourd et honteux en redevenant pur et parfait, à coup d’efforts et de démonstration d’excellence. Nous croyons qu’ainsi, nous pourrons prouver que nous sommes «dignes de recevoir» la lumière de Dieu.

Le karma est une illusion créée par le jugement de soi et la sensation qu’il faille payer pour se racheter d’actions passées qui ont eu lieu à un moment où nous étions inconscients. Aussi réelle que puisse paraître cette illusion dans notre vie, qui nous fait croire que nous devons mériter ce que nous souhaitons, c’est l’amour inconditionnel de soi qui permet de la déstructurer. Cela nous permet de transformer la sensation d’adversité en véritable mouvement de collaboration où le soutien extérieur devient le prolongement de notre monde intérieur qui nous rappelle que nous sommes notre principal allié.

Ma propre quête
Afin de manifester mes propres idéaux dans ma vie, j’avais évalué qu’une certaine quantité d’effort me serait nécessaire et j’étais prêt à investir beaucoup d’énergie pour y parvenir. Je me disais qu’il devait certainement exister une corrélation entre ces efforts mis en place et la concrétisation de mes rêves. C’est du moins ce que je croyais.

Comme certains d’entre vous le savent, ces trois dernières années m’ont conduit aux quatre coins du globe pour découvrir différentes cultures et m’intégrer dans des milieux de vie variés. À chaque endroit visité, j’ai participé à des projets locaux, soit via l’intermédiaire d’une ONG canadienne ou directement auprès des organisations rencontrées.

Dans l’ordre chronologique, ces projets m’ont conduit au Vietnam, au Sénégal, en Chine, en Inde et en Irlande, et chacune de ces «escales prolongées» m’a amené à vivre une forme ou une autre d’ajustement. Bien que ces aventures m’aient permis de découvrir des capacités d’adaptation insoupçonnées en moi, je dois admettre qu’à plusieurs reprises, surtout au début, je me suis demandé ce que je faisais là.

J’ai longtemps pensé que pour atteindre les sommets de mon être, je devais conquérir la montagne de ma vie et «vaincre mes démons intérieurs». Je me disais que c’est ce qui allait permettre de laisser émerger mon être vrai. J’estimais que c’était dans l’adversité que je découvrirais ma détermination et mon engagement personnel, une façon pour moi de «faire mes preuves» à l’école de la vie. Cette vision m’a amené à vivre des expériences parsemées d’obstacles qui donnaient un sens à ma quête spirituelle. Je les voyais comme des trophées sur la route qui témoignaient des épreuves traversées. C’était pour moi le passage obligé qui me permettrait de parvenir à mes fins.

En dehors de ma zone
Durant les sept mois qu’a duré mon aventure au Vietnam, la première des cinq, j’ai vécu en dehors de ma zone de confort. J’habitais une ville de 10 millions d’habitants (Ho Chi Ming City) où, dès les premiers jours, j’ai dû composer avec des sollicitations de toutes sortes, trouver mes repères, apprendre à me déplacer en scooter (une première pour moi) et développer des liens dans une langue diamétralement opposée de la mienne (voir texte Le tourisme spirituel). J’ai donc passé sept mois en suradaptation.

Par la suite, l’ONG avec laquelle j’œuvrais m’a proposé un nouveau projet au Sénégal. Bien que la vie y fût plus douce et agréable qu’au Vietnam, et que le peuple y parle le français, j’ai tout de même dû composer avec une nouvelle réalité en lien avec la sécurité. Les Sénégalais sont très accueillants et chaleureux, mais comme plusieurs pays en développement, l’état de survie que vivent certains citoyens les pousse à commettre des larcins quand ils ne risquent pas de se faire prendre. Et les blancs sont plus ciblés, puisqu’ils sont associés à la richesse. Donc dès que la noirceur tombait, je devais être plus vigilant et éviter de me retrouver isolé. Ce sont du moins les consignes que mon organisation m’avait transmises.

Dans le contexte de cette expérience et du couvre-feu que je m’étais fixé autour de 22h, j’ai fini par me créer une forme de routine qui, graduellement, m’a amené à m’intérioriser de plus en plus. Puisque l’extérieur m’était moins hospitalier et que j’avais accès à un balcon qui donnait sur la mer, j’avais pris l’habitude d’aller y méditer tous les soirs, transporté par les sons de la mer.

La verticalité
Mes méditations prolongées sur ce balcon m’ont permis de contacter des dimensions spirituelles nouvelles de mon être et plus cela évoluait, plus je vibrais à un rythme élevé. Cet état m’avait amené à percevoir mon être dans sa verticalité, unissant le haut et le bas à travers mon corps physique qui semblait agir comme un pont entre le ciel et la terre. À partir d’un certain état d’être, une période qui a duré environ deux ou trois jours, je ressentais une telle sensation d’union avec moi-même que tout mon corps physique vibrait.

Au fur et à mesure de l’évolution de ces sensations, j’ai commencé à percevoir mon humain sous un nouveau jour. Déjà, cette impression d’hostilité extérieure avait créé en moi une nouvelle réalité qui m’amenait à ressentir de plus en plus de compassion pour l’être humain que je suis, qui était à ce moment captif de son environnement immédiat. Je me suis mis à contempler tous les efforts que j’avais investis dans ma vie pour réaliser mes rêves et je constatais l’impasse dans laquelle je me trouvais. J’avais continuellement la sensation que quelque chose était sur le point de se manifester, et pourtant, je voyais bien que ma vie ne correspondait pas à ce que je souhaitais. J’étais devenu prisonnier, à l’autre bout du monde, alors que je rêvais de magie et d’union.

«Bientôt» était devenu le mot le plus récurent de mon vocabulaire intérieur. Je m’y accrochais pour éviter de ressentir ma désillusion. À un moment, j’ai eu un choc. C’était comme si j’étais sur le quai d’une gare et que j’attendais un train invisible. Je me suis vu devant ce mirage à espérer ma vie rêvée, d’un «bientôt» à l’autre, pour réaliser que cela ne se produisait jamais. Oui j’étais rendu au bout du monde, engagé dans un projet au potentiel de rayonnement international, mais dans des conditions de vie difficiles, en suradaptation et en isolement, avec un mandat qui ne me donnait pas la sensation de faire une différence dans la communauté où j’étais. Je me disais que ça ne pouvait pas être cela ma «vie rêvée».

Après le choc passé à constater ma désillusion, j’ai été poussé intérieurement à contempler l’humain que je suis à partir de ma verticalité, de cet état d’être décrit précédemment. Je voyais tous les efforts que j’avais mis en place pour en arriver là, alors que je ne pouvais que constater le manque de joie profonde que je ressentais dans ma vie. Tout me semblait requérir des efforts et de la détermination, alors que je me sentais continuellement évalué sur mes intentions et mon niveau d’engagement qui me permettraient, selon ce que je croyais, de «gagner mon ciel «sur Terre.

La perspective de Dieu
Dans ce moment de lucidité accrue, alors que je rencontrais une dimension plus intime de mon incarnation, j’ai commencé à contempler mon humain avec un regard de plus en plus amoureux. C’était comme si je m’observais à partir de la perspective de Dieu. Je voyais tous les gestes que j’avais posés par le passé afin d’atteindre mes buts, tous ces efforts investis pour que ma vie concrète corresponde à mes idéaux. Je faisais mon possible pour retrouver la paix et la lumière, je trébuchais parfois, et me relevais invariablement ensuite. Et malgré ma détermination, j’étais motivé par une quête qui m’apparaissait de plus en plus illusoire. Je voyais les «bientôt» se succéder, et j’observais qu’à un moment, j’aurais atteint les limites de mes capacités. La solution devait nécessairement être ailleurs.

Peu à peu, j’ai contemplé une idée qui émergeait graduellement en moi. Je voyais cette croyance qui me soufflait à l’oreille que je devais «mériter» ce ciel tant convoité sur Terre pour qu’il me soit enfin offert. J’avais fini par croire que mes efforts constituaient une sorte de banque de données, tel un système de pointage dont les unités pourraient un jour être échangées contre des points bonheur.

J’étais là, complètement observateur de mon l’illusion, tout en ressentant mon être d’un point de vue universel. Et à ce moment, j’ai eu une envie irrésistible de me prendre dans les bras et d’accueillir cet humain que je suis : celui qui souhaite aimer et être aimé, mais qui parfois a peur d’être humilié et trahi, et qui se referme sur lui-même. Celui qui, enfant, tentait par tous les moyens d’attirer l’attention de son père pour être reconnu, et qui désespérait d’y arriver. Son père devenu «ses pairs» une fois adulte, je voyais celui qui cherchait continuellement les regards d’approbations des adultes qui l’entouraient.

Cet être-là que je rencontrais, celui que je nomme l’humain-en-voyage-sur-Terre, me demandait d’être aimé et de retrouver sa place au cœur de mon voyage spirituel. Pour moi, c’était un aspect de mon incarnation qui voulait «réintégrer la maison de Dieu». Je comprenais que si je lui refusais mon amour, c’est tout l’Univers qui, à travers moi, le rejetait. Via cette expérience expansive, j’étais devenu l’Univers et c’est Dieu qui s’exprimait à travers moi, en tant que moi. J’assumais alors le rôle de m’accueillir moi-même, car il m’incombait de le faire si je voulais que l’Univers m’accueille.

Revenir à la maison
Pour moi, redevenir le Maître de sa vie veut dire «ramener tous les aspects de soi à la maison», ce qui implique nécessairement d’inclure l’humain et toutes ses expériences dans l’équation. Nous ne pouvons pas l’abandonner sur Terre dans l’espoir de retrouver enfin sa lumière, car l’illusion de nous croire ainsi épurés et allégés de nos ombres en les rejetant ne fait que les nourrir. Il n’est pas possible de retrouver sa lumière, si l’on choisit de rejeter des aspects de soi au passage.

C’est cela qui crée les véritables drames de nos incarnations. Non pas le fait d’habiter sur une planète inhospitalière et inéquitable, mais la violence du regard que nous posons parfois sur notre propre humain qui fait son possible pour retrouver sa lumière, sa joie, et créer sa vie rêvée. Faire de cette planète le jardin d’Eden promis par tant de religions, c’est de comprendre et de ressentir que ce jardin est déjà ici, sur Terre, précisément là où nous sommes. Il correspond à l’amour et à la reconnaissance de l’être humain-en-voyage-sur-Terre, et de son parcours pour redevenir l’Homme-Dieu, le Dieu-Homme.

Si nous ne nous offrons pas ce regard compatissant envers nous-mêmes et continuons d’entretenir l’illusion que nos limitations sont des obstacles à notre lumière, la vie nous le reflète en amplifiant ces obstacles dans notre vie. Et alors, nous évoluons sur un chemin de croix et nous nous accrochons à l’espoir que le prochain «bientôt» sera le dernier, ou l’avant-dernier, ou le précédent, et ainsi de suite. Cette illusion n’a pas de fin, elle s’arrête quand nous le choisissons.

Évoluer à son rythme
Partir réellement d’où l’on est dans la vie au lieu d’où l’on aimerait être est une clé qui, personnellement, m’a permis de développer un regard de compassion envers mon être humain-en-voyage-sur-Terre. Cela m’a appris à suivre et à respecter mon propre rythme d’évolution. Trop souvent, la comparaison nous éloigne de nous en nous faisant croire que nous devrions être ailleurs, que nous devrions être autre chose que ce que nous sommes. Et sans s’en rendre compte, cela nous amène à regarder nos limitations avec mépris, les voyant comme des obstacles à notre déploiement.

Sur mon balcon en Afrique, j’ai réalisé que la sensation continuelle d’adversité et d’emprisonnement que je ressentais dans ma vie provenait de cette illusion que je nourrissais en moi. Je croyais que je devais conquérir mon être pour planter mon propre drapeau à son sommet, et ce faisait, j’avais fait de ma vie un chemin de croix qui me permettait de justifier ma conquête. Même si j’avais continuellement l’impression de me rapprocher de mon but, les «bientôt» se succédaient et j’étais toujours au même endroit, prisonnier de ma réalité.

Quand j’ai compris cela, tout s’est éclairci. J’ai transformé mon regard intérieur pour créer une nouvelle réalité de douceur, de joie et d’expansion, et dans les heures qui ont suivi ma reprogrammation, j’ai entendu une voix en moi me disant qu’il était temps pour moi de revenir au Canada. C’est ce que j’ai fait, et plus rien n’a été pareil par la suite. Les voyages qui ont succédé cette expérience m’ont renvoyé une nouvelle image de mon être, à la fois beaucoup plus engagé dans des projets concrets, mais aussi vivant une grande légèreté sur un chemin où la joie et l’harmonie pouvaient maintenant m’accompagner.

Expérience d’autoguérison
Récemment, je me suis blessé en pratiquant un sport que j’aime beaucoup. Fort de toutes mes lectures sur la spiritualité et de mes années de méditation, j’ai effectué une expérience d’autoguérison afin de rétablir mon bras. J’ai élevé mon rythme vibratoire et j’ai visualisé / ressenti mon membre comme étant déjà guéri. Après les quelques minutes qu’a duré cette expérience, j’ai observé que ma douleur était tout aussi présente qu’avant l’exercice. Je suis alors entré en méditation profonde pour questionner mon être, et j’ai reçu que je n’étais pas encore rendu à ce niveau d’autoguérison, que c’était prématuré pour moi de chercher à obtenir des résultats instantanés. On me disait que ce serait éventuellement possible, mais pas en ce moment dans ma vie.

Sans trop réfléchir, j’ai mis de côté cette expérience pour poursuivre mes activités, avec l’envie de guérir le plus rapidement possible, sachant que le temps serait mon meilleur allié. Après deux semaines de retrait de mon activité sportive, je constatais, à mon grand désarroi, que mon bras n’était toujours pas guéri et je ne voyais pas d’amélioration. Non seulement mon expérience d’autoguérison ne l’avait pas «réparé», mais rien n’avait changé depuis. Je ne comprenais pas ce qui se passait.

Quelques jours plus tard, après l’une de mes méditations, j’ai posé la question sur la situation, et tout d’un coup, ça m’a frappé. Quand j’ai terminé mon exercice d’autoguérison deux semaines plus tôt et constaté mon incapacité à apporter une différence immédiate à mon état, j’ai jugé mes aptitudes de guérison et le rythme de récupération de mon corps. Je voulais que ça aille plus vite, et dès lors, je suis entré en dissonance avec mon être. Ça m’a sauté aux yeux que par ce simple exercice d’autoguérison et «l’échec» qu’il a représenté à mes yeux, je me suis jugé et aussitôt fait, j’ai alourdi précisément ce que je voulais stimuler.

Après avoir réalisé mon erreur et la lourdeur du regard que j’avais posé sur moi, j’ai retiré les jugements et me suis rappelé l’importance de «partir d’où j’étais» au lieu «d’où j’aurais aimé être» pour mieux m’accompagner. Et magiquement, j’ai aussitôt ressenti l’énergie y circuler de nouveau et mon bras s’est remis à guérir. L’exercice d’autoguérison pouvait maintenant agir, au rythme parfait, sans le sable dans l’engrenage que j’avais ajouté. Quelques jours plus tard, j’étais presque rétabli, alors que la douleur avait auparavant duré près de trois semaines, sans aucune amélioration.

Les ailes de l’amour
En vérité, c’est l’amour et la compassion envers l’humain que nous sommes qui ouvrent la porte à nos pouvoirs sur Terre. Il n’y a rien à conquérir, nous sommes déjà rendus. Nous l’avons oublié, voilà tout. Et c’est sur les ailes de l’amour de soi – et de tout ce que cela implique – que le chemin du retour à la super conscience peut s’effectuer.

S’aligner avec son plan de vie veut dire vivre des expériences qui nous apportent une joie réelle et profonde, peu importe ce qu’elles sont. Il existe autant de chemins de vie qu’il y a d’humains sur Terre et aucun parcours n’est similaire à un autre. Le but n’est donc pas de suivre le chemin des autres, mais de s’en inspirer pour découvrir le sien, celui qui nous apportera une joie réelle et qui nous rapprochera de l’Homme-Dieu, le Dieu-Homme que nous sommes.

Les aventures que j’ai vécues dans les dernières années m’ont permis de réaliser que mon parcours spirituel pouvait être joyeux et agréable, tout en m’amenant à découvrir mes étonnantes (et très pratiques) capacités d’adaptation. Tous les projets que j’ai vécus ont présenté une gradation dans l’expérience de la légèreté et de la joie, mais c’est une fois rendu en Irlande que j’ai constaté comment la vie pouvait être à la fois douce et stimulante.

Je comprends aujourd’hui que la joie, la douceur et l’harmonie peuvent faire partie du voyage et qu’il est possible de transformer le chemin de croix en jardin de fleurs où chacune des odeurs sur le parcours représente une nouvelle aventure à découvrir. Cette voie m’a appris à être bienveillant envers moi-même, et lorsque je m’éloigne de cet état, je me souviens de la douceur du regard de l’Univers en mon endroit. Par résonnance, lorsque je deviens ce regard et que je l’incarne concrètement, c’est l’Univers tout entier qui s’exprime à travers moi. Et la douceur que je rencontre dans ma vie me le rappelle continuellement.

Je suis heureux d’avoir pu partager avec vous ce nouvel enseignement sur l’amour de soi qui, je l’espère, aura su éclairer votre chemin. Vous aurez compris que le but ici n’était pas de parler de moi, mais de vous présenter mon parcours pour inspirer le vôtre. Sur ce, je vous salue et vous souhaite un futur béni, sachant qu’il prend naissance au présent.

Salutations à tous

Simon Leclerc

… au service de la Grande Fraternité Humaine et Universelle

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Écrit le 9 février 2018, par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com)

Vous pouvez partager librement ce message à la condition d’en conserver l’intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci

Image !https://fr.123rf.com/profile_grigory_bruev

Parmi les grandes qualités qui font la différence dans la réussite, il y en a une qui est importante, c’est la persévérance. Qualité contenue dans le premier rayon sacré bleu.
Lorsque l’on est certain de notre mission ou notre but, garder le cap est essentiel. Et ce, quel que soit ce qui arrive en étant certain de l’atteindre, en faisant tout ce qu’il faut pour que ça marche et sans se laisser abattre à la moindre contrariété.
C’est nécessaire pour avancer dans l’assurance de la réussite.

La facilité est de lâcher dès qu’un barrage se place sur le chemin.
Le temps, les circonstances, un incident technique, un accident, un sabotage, un empêchement mécanique ou autre et beaucoup abandonnent en cours de route.
Une phrase que j’entends alors est : ‘c’est un signe du destin pour que j’abandonne’ ou encore ‘ce n’est pas pour moi’, sans penser que ça peut être juste un test pour vérifier l’importance du choix.
La vie aime nous mettre à l’essai pour renforcer notre détermination.

Nous sommes responsables de notre vie et si nous ne pouvons pas vraiment agir sur le temps (un peu pour les initiés) sur les événements extérieurs ou l’état de la route, ou encore sur l’attitude des autres personnes. notre attitude fait toute la différence.
Pester, se mettre en colère, critiquer ou pleurer sur son sort n’améliore souvent rien. Abandonner encore moins. Notre corps en prend un coup et les toxines s’installent avec leur acidité.

L’important alors est de rester axé sur son désir profond et de vérifier quelle
vibration nous envoyons, afin de recevoir des circonstances adaptées en retour.

Il en est de même pour des états d’être comme la paix ou la liberté.
Il faut parfois peu de choses pour que la colère ou l’emprisonnement des
pensées se mettent en action. Et badaboum… le taux énergétique s’effondre.

Dès que l’on s’en aperçoit et pour retrouver son bon niveau vibratoire, il est nécessaire de libérer l’émotion, de souffler, se recentrer sur ce choix et de l’exprimer.
Alors, la persévérance agit pour nous guider avec constance, dans la paix et la joie de l’accomplissement.

Que le meilleur soit !
Joéliah.

Issu de l’infolettre du 8 février.

A la suite de cette lecture,

Jean Marc Chenu à canalisé ce beau message d’un Groupe d’âmes (dont l’essence de Wayne D. Dyer) :

La persévérance ! voila le mot clé que tu évoques.
A ce mot Nous pourrions ajouter la Persévérance du Cœur.

Sans cette Persévérance du Cœur rien n’est vraiment  possible.
Vous ne pouvez franchir les étapes vers la réalisation de Vous -Même.

Qu’est ce que la réalisation de Vous-Même ?
Elle est simplement le fait de vous sentir bien, de prendre Dieu en Vous.

Que survienne un petit grain de sable dans les rouages et la belle persévérance fond comme neige au soleil si vous ne savez la maintenir bien au creux de votre Cœur et si vous ne savez Qui Vous Êtes.
Comme tu le dis, arrive ce que vous croyez être un ” signe ” et votre ego fait le reste : sauve Qui peut !
La fragilité prend le dessus.

Comment renforcer la Persévérance du Cœur ?
Tous les exercices qui vous rapprochent de votre Dieu Créateur sont bons.
Tout ce qui vous met en Joie vous ancre en vous même.
Toutes vos pensées qui vous touchent au plus profond de votre Âme sont des points d’ancrage.

Parfois l’attente de résultat vous met dans l’impatience.
Sachez que ce que vous attendez est déjà là. Il est là dans le monde de l’Invisible.
Ce n’est que le temps de la matérialisation qui est est en route.
Les obstacles auxquels tu fais référence ne sont que les doutes qui se matérialisent à leur façon.

Seule la Foi, la Foi aveugle, qui ne demande rien, qui n’a pas besoin de preuve, qui soulève les montagne, qui ne se montre pas là où vous l’attendriez vous rappellera au combien la Vie se fait aimante si vous lui faites cette place en votre Cœur.
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Voici la vibra-conférence du 25 janvier 2018, en vue de la bénédiction de l’année que j’ai eu le plaisir d’animer sur le Réseau Terres d’Amour.

Si vous êtes intéressé(e) pour recevoir les 7 audios gratuits dont il est question à la fin, cliquez ici et inscrivez-vous.

Vous en recevrez un par jour.

Belle écoute, Joéliah

Vous avez certainement déjà vu chez vous, chez des amis ou en vidéo, des amitiés extraordinaires entre humains et animaux, et entre animaux de races totalement différentes tel ce chien et ce varan qui dorment ensemble.

Cet amour inconditionnel est naturel chez l’humain à la naissance, l’enfant aime ceux qui sont aimables dans son entourage, c’est à dire à aimer et qui aiment. Il s’attache à n’importe quelle personne même si elles sont de race complètement différente.

Ce sont les conditionnements, les croyances, les interdits qui structurent ensuite le cerveau et déstructurent cet amour.  Il est limité, conditionné à des clauses bien particulières.

Un enfant élevé dans la plénitude de la bienveillance, garde cet amour en tant qu’adulte.

Tous les animaux sont sensibles à l’amitié, à l’amour et à la tendresse, sauf rares exceptions et ce sont, très souvent, des modèles pour les hommes qui, pourtant, les détruisent par milliards pour la nourriture, la peau et tous ce qu’ils peuvent en ‘tirer’.

Peu ont compris qu’ils sont aussi des manifestations du divin et de l’amour de la vie et les respectent comme tels. Ceux qui le font ont compris la grandeur de l’unité et de l’extraordinaire magnificence de la richesse de la vie.

Pour un moment de bonheur intérieur, prenez le temps, régulièrement d’honorer ce cadeau magnifique que nous donnent ces animaux. Bénissez-les et bénissez-vous.

Ouvrez-vous à la tolérance et l’acceptation des différences.

Aimez également toutes les parties de vous qui sont aussi ‘différentes’ et que vous avez conditionnées a être aimées ou non.

Plus l’élévation se fait et plus l’amour augmente pour tout ce qui est.

Que le meilleur soit !

Joéliah

Photo d’archives familiales.

 

Message de Maitre Hilarion :
La santé est véritablement une histoire d’amour entre vous, votre corps, vos pensées, vos émotions et votre grand moi supérieur, votre Présence divine.
Devenez un « Je suis amour total ».
Voilà, voilà une grande mission qui est donnée à tous : se retrouver enfant divin manifesté en totale union avec l’énergie du Divin et manifester tous les pouvoirs qui passent par le Père en vous dans votre vie de tous les jours.
Pour la santé il faut beaucoup d’amour, de compassion, de foi, de courage, il vous faut du respect, de la joie, de la paix intérieure. Il vous faut être libre de vouloir être en pleine santé.

Prenez cette habitude de toujours bénir ce que vous mettez à l’intérieur de vous-mêmes et de transmuter cela en pure lumière d’amour ainsi cet amour rentrera en vous et vous permettra de vous illuminer à chaque fois”.

Extrait d’un message de Maître Hilarion canalisé par Joéliah,  du livre ‘l’amour et la sagesse des 7 rayons sacrés’ (en vente  ici)

Souvenez-vous que vous êtes un être de lumière manifesté dans différents corps et que, plus vous êtes aligné à votre vraie nature et plus votre santé rayonne.

Aimez-vous !
Joéliah

 

 

Archange CAMAEL : Bienheureux maîtres d’amour divin et d’énergie, vous êtes grandement aimés et honorés.

 

 

 

 

Rayonner l’amour ne se vit pas dans le mental mais dans tout votre être.

Rayonner l’amour se vit au quotidien, il agit déjà dans l’acceptation totale de l’un et de l’autre tel qu’il est.

L’amour peut restreindre, l’amour peut limiter, l’amour oblige l’autre à devenir lui-même.

Les Maîtres d’amour qui ont compris, qui se sont élevés déjà dans des vibrations supérieures ne font rien à votre place, ils aiment, ils envoient de l’énergie d’amour et ils aident chacun à trouver l’amour à l’intérieur d’eux-mêmes.

A l’intérieur, chaque personne doit trouver et exprimer l’amour de son propre cœur vers l’extérieur.
Comment une personne pourrait trouver l’amour si tout lui était donné, sans qu’elle ne sache d’où cela vient, quel effort il faut faire pour être en amour.

Comprenez la différence entre attachement et amour, possession et amour.

L’amour des maîtres est un amour inconditionnel, un amour qui sait ce que chacun est et où chacun arrivera un jour.

L’arbre qui laisse tomber un gland sait qu’à l’intérieur de ce gland il y a toute la possibilité de devenir un arbre semblable à lui voir supérieur à lui.

Il lui faut simplement du temps, de la lumière, de la nourriture, la nourriture de la terre, et de l’air et du soleil oui.

Et si un arbre gardait ses graines en se disant : ” Oh non, il n’est pas encore prêt, il n’est pas encore capable, je le garde parce que je lui donne plein d’amour,  je l’aime”… ce gland finirait par ce dessécher sur l’arbre et ne pourrait jamais exprimer sa potentialité.

Les humains ont tendance à faire la même chose, ils gardent les leurs près d’eux, pour protéger, mais ils oublient  que chaque individu doit développer sa partie adulte par ses propres expériences, par son propre amour.

Le plus grand acte d’amour que vous pouvez faire est de libérer ces personnes, de libérer ces êtres qui sont là autour de vous et de les laisser vivre eux-mêmes leurs propres expériences, leurs propres vies.

Plus vous pensez pour eux, plus vous restreignez leurs possibilités.

Libérez-vous, libérez-les, aimez et soyez sûrs que leur potentialité va se réveiller.

C’est cela votre acte d’amour que vous devez faire pour vous, pour les autres, c’est être certain qu’ils iront bien, être certain qu’ils iront mieux, être certain qu’ils réussiront à devenir des maîtres.

Oui, vous devez être des maîtres d’amour qui ne tiennent pas et qui, simplement, enseignent par leurs propres actions, leur propre état d’être cet amour.

Aidez quand vous pouvez, lâchez dès que vous le pouvez, c’est un grand conseil.

Lorsqu’une personne demande conseil à un maître, à un archange, à un ange, celui-ci répond à sa demande ponctuelle et puis se retire, regarde d’en haut et attend, laisse faire mais n’intervient pas dans le cours des choses et si l’élève se trompe, alors il le laisse se tromper car il sait qu’un jour cet élève sera un maître.

Faîtes la même chose, diffusez cette énergie d’amour et répandez-la au monde.

Tout est en vous, toute possibilité est en vous pour que vous soyez libre, tolérant, et que vous ayez beaucoup de compassion pour ceux qui n’ont pas comme vous la chance de comprendre et de rayonner cet amour.

Du plus haut du rayonnement d’amour qui tombe sur la Terre, recevez ma bénédiction archangélique.

Archange Camael
Canalisé par Joéliah.

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Jour 2 et mois 2(février) de l’année 2(2018)= 11= 2

Le chiffre 2 du mariage sacré de notre âme de lumière qui attend depuis si longtemps de s’unir avec son Soi Divin, noces mystiques de cette union à l’intérieur même de notre temple sacré.

Enfin le chiffre 2 retrouve ses polarités unifiées qui symbolisent la fin de la séparation et de la dualité.

Enfin c’est la connexion ultime de l’âme avec sa Source Divine après avoir passé par toutes les expériences terrestres pour finalement  retourner vers sa Demeure Céleste, son énergie de pureté originelle, là d’où elle vient.

Durant tout ce voyage, elle avait en son enceinte matricielle son étincelle divine BETH lui permettant de se recentrer dan sa Maison Intérieure et s’ouvrir à son canal de lumière « l’Intuition » une grâce divine en communication constante avec sa lumière pure et sachant au fond d’elle même qu’elle était Lumière et qu’elle retournerait à sa Lumière.

BETH est aussi la gardienne de toutes les connaissances depuis le début  des temps puisque de vies en vies l’âme se révèle à son humanité comme exploratrice des expériences évolutives…puis au bout…la reconnexion avec sa Source Divine…

La Papesse du chiffre 2 en tarot de Marseille démontre bien le symbole d’une femme voilée  qui garde ses secrets et son attention vers l’intérieur, vers sa croix lumineuse au centre du Cœur pour ne pas se laisser distraire par l’extérieur. Son chapeau qui se hisse vers le haut démontre bien son intention de rester connectée à sa source lumineuse sans avoir besoin de regarder son livre des connaissances puisqu’elle sait qu’elle sait.

Bénéficier de cette journée du 2-2-2- et les jours qui suivent pour rester connecté à l’intérieur de votre temple sacré, prêt à vous révéler ses secrets et ses richesses insoupçonnés d’informations et de connaissances de «soi » …vous n’avez qu’à demander à votre Soi divin, à BETH ou toute référence d’être de lumière. Toutes ces sources lumineuses et ressources sont à votre disposition pour vous livrer  des enseignements précieux appropriés à votre évolution ou  ce que vous avez besoin de savoir…Elles vous dévoileront peut-être leurs secrets insoupçonnés.

Pour tous et celles qui ont le chiffre 2 en mois de naissance ou jour de naissance 

Bénéficiez du passage de cette puissante vibration du chiffre 2 pour vous connecter avec toutes les possibilités d’utiliser votre intuition puisque  vos ressentis deviendront de plus en plus percutants et révélateurs.

Vous êtes aussi des êtres de lumière avec des capacités extraordinaires de connexion et de communication célestes, que ce soit avec vos anges, vos guides, votre âme, la Source, tout est possible et facilitant pour vous.

 La clé : faire confiance à vos ressentis qui ne passent pas  par le mental car c’est une lumière pure.

Paix et amour

Murielle Robert, auteure de trois livres sur le tarot et le tout dernier « en numérique » sur la Numérologie Sacrée (les 4 codes divins de la date de naissance)

Pour toutes questions ou informations : www.muriellrobert.com

Lettre du 31 janvier : Bonjour et beau moment présent,

Nous sommes en pleine Ère du Verseau, le temps des révélations indiqué dans la Bible. Celui où l’énergie de l’air est activé avec celui de la transparence.

La carte de tarot du Verseau représente la tempérance. Une femme avec des ailes – qui tient deux jarres et verse l’eau puisée dans la rivière (ère des poissons) dans une autre jarre d’une certaine distance. Elle le fait debout, au grand air et ceci rend l’eau visible et tout ce qu’elle contient par le passage de l’air.

L’eau est symbole des émotions, l’air celui de la communication. Elle a un pied sur terre, la matière et un pied dans l’eau.

On peut y voir un symbole actuel très puissant, où la femme déploie ses ailes pour prendre sa place et libérer des milliers d’années d’oppression de la part de la gente masculine.
On peut aussi penser que c’est un ange et que cela représente la spiritualité qui s’active au grand jour pour nettoyer.
Les deux sont compatibles.

Actuellement, les femmes osent exprimer leur ras-le-bol de l’attitude sexuelle de certains hommes.
Une certaine énergie est activée pour rétablir le respect.
Certes, il y a et aura toujours des dérives, sauf que chaque acteur saura qu’il tient un rôle différent.
La loi de la rectification est en action.
Les femmes aussi doivent réveiller leur respect vis à vis des femmes, à commencer par elles-mêmes et également des hommes.
Les hommes doivent apprendre à se respecter et à respecter les femmes.

C’est l’enseignement contenu dans les rayons sacrés argent nacré et or qui équilibrent parfaitement des deux aspects, comme le Tao ou Yang et Yin sont égaux et totalement complémentaires.
Le féminin sacré et le masculin sacré se réveillent pour le bien de l’humanité.

Voici un message que j’ai reçu en janvier 2012 et, qui déjà, parlait de l’éveil des femmes.

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Mes chers enfants d’amour et de lumière,

Soyez tous bénis d’être ici, de vous être rassemblés pour pouvoir venir ensemble choisir de créer votre nouvelle vie.
Considérez chaque jour, chaque moment qui sépare le jour de la nuit, comme un nouveau passage, comme une nouvelle création.
Ainsi vous pouvez vraiment changer, transformer votre vie à tout moment.

Le monde entier a besoin de l’éveil des femmes.
De nombreuses femmes vont se révolter pour indiquer qu’elles existent et qu’elles ont le même droit que les hommes.
Elles ont le même droit de vivre et d’être écoutées, entendues.
La femme est une force pour la vie, une force pour la nature et une force pour l’humanité.
Aussi, femmes, soyez conscientes du travail que vous avez à faire.
Il n’est pas question de détruire l’homme ni de vous laisser écraser.

Il est bon de revaloriser l’image de l’homme et l’image de la femme afin que vous puissiez vivre à égalité comme un drapeau qui aurait deux couleurs et se mettrait à voguer, à flotter au fil du vent.
Vous avez tous l’énergie inverse à l’intérieur de vous.
Femme vous avez l’énergie Yang et homme vous avez l’énergie Yin.
Ce qui fait ce grand attrait, est que l’une et l’autre de ces énergies sont là pour apporter la plénitude de la vie.
Tant que vous rejetez une partie de vous-même, vous ne pouvez pas être complet. Vous ne pouvez pas être entier.

La polarité masculine est celle qui vous aide à vivre dynamiquement, à diriger, à construire, à orienter votre énergie vers l’action, le don et la défense.

La polarité féminine sert à accueillir et recevoir, à protéger, à concevoir et générer, à partager et à donner.

Formez votre TAO intérieur.

Aimez-vous les uns les autres, aimez-vous et osez vous le dire. Osez le dire aux autres, osez le dire aux membres de votre famille et à tous ceux qui sont avec vous car nul ne peut dire “je t’aime” sinon le “je” qui est à l’intérieur de vous.

Osez prononcer ces paroles, osez accueillir les choix de l’autre et ainsi vous pourrez vraiment trouver le bonheur et la paix.

Vous êtes aimés et bénis.

Lady Nada canalisée par Joéliah le 7 janvier 2012

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Bonne pleine lune et, que le meilleur soit !

Joéliah

Image du net, sans nom d’auteur indiqué