Honorer le divin en soi

C’est un cadeau de savoir que la vie continue lors de la transition et que personne n’est séparé de sa Source.
La Source, c’est la manifestation du champ quantique qui nous entoure, la force céleste qui nous donne vie, le Royaume intérieur par lequel nous sommes filles et fils de l’amour universel.
C’est une force éternelle  – appelée Dieu, Seigneur, Adonaï, Chi… ) qui remplit l’univers intérieur et extérieur dont nous sommes entièrement constitués.
C’est la Source de Tout, le UN innommable, qui est partout, qui sait tout et peut tout.
Nous sommes toutes et tous UN avec cette Source pour l’éternité, sous des formes variables.
La pure lumière amour est la partie la plus élevée, les sombres abîmes, les enfers, la partie la plus dense, la plus difficile à vivre car pleine de souffrances et de croyances de séparation.

Notre mode de vie, nos vibrations déterminent à quel niveau nous nous trouvons, aussi bien vivant physiquement, que vivant en Esprit.
Trouver et entretenir cette connexion en permanence est le plus beau cadeau à se faire.
C’est honorer sa vraie nature, celle qui donne et entretient la vie.
Plus nous communions à cette Source et plus la vie est rayonnante.
C’est assez difficile à comprendre lorsque l’humain est enseigné, depuis son enfance à des croyances séparatives, à des obligations pour pouvoir ‘recevoir’ le divin en soi, à des rythmes de prières ou des rituels, pour être aimé de Dieu ou pire, de plus en plus, à vivre sans même savoir qu’il est une conscience et une âme.

Beaucoup d’humains oublient leur véritable nature spirituelle.

 Je me réfère à un texte de Christian Bobin de 2001 : “La Terre se couvre d’une nouvelle race d’hommes, à la fois instruits et analphabètes, maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes, oubliant même ce qu’un tel mot a pu jadis désigner.

Quand quelque chose de la vie les atteint malgré tout – un deuil ou une rupture – ces gens sont plus démunis que des nouveaux-nés. Il leur faudrait alors parler une langue qui n’a plus cours, autrement plus fine que le patois informatique.”
Il est temps de retrouver cette nature et de libérer le ‘pauvre pêcheur’ pour honorer le divin qui se manifeste par soi.
Temps d’honorer et de bénir qui l’on est.
S’aimer, hors du contexte égotique orgueilleux, c’est aimer le divin en soi.
Se respecter, c’est honorer le divin en soi.
L’ascension, l’élévation ne peut se vivre qu’en étant conscients de notre structure quantique lumineuse et en l’honorant au plus haut point.
Que le meilleur soit !
Joéliah

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