Se libérer librement pour évoluer.

Parfois, la seule manière de trouver la paix est de lâcher prise sur des relations obsolètes qui pèsent sur le moral et pompent notre énergie.
Pourquoi garder des liens qui attachent la souffrance, le mépris, la médisance ou activent des blessures de rejet ou d’abandon ?
Pourquoi tricher sur des relations de circonstance ou d’obligations, qui n’apportent rien et même dérangent ?
Il est important d’être loyal avec soi-même et regarder en face la vérité de l’authenticité de la relation.
Se respecter, c’est respecter le divin en soi.
Se respecter, c’est respecter aussi le choix des autres et donc le divin chez les autres.

Ce n’est pas toujours facile de libérer une ou des personnes avec qui on a partagé de beaux moments et dont le souvenir est encore présent.
Juste comprendre que le passé est terminé et que l’énergie des relations actuelles engendrent plus de désagrément que de plaisirs.

Lorsque des personnes ne sont plus attirées par notre énergie, laissons-les avec d’autres personnes en harmonie avec elles.
Elles sont juste passées dans un plan parallèle.
Inutile de les critiquer, de se morfondre, de chercher ce qui a entrainé cela… c’est ainsi, c’est vibratoire, c’est la vie qui fluctue.
Les besoins de chacun changent en fonction des événements et des sentiments engendrés et des expériences de l’âme pour évoluer.
Couper les liens libère le présent et donc l’avenir et permet l’attraction de personnes en harmonie avec notre nouvelle énergie.
C’est se délester de chaines qui nous empêchent de cheminer légèrement.
C’est se permettre le renouveau libre, différent, plus en harmonie avec qui l’on est devenu car si les autres changent, c’est parce que nous aussi !
Nos nouveaux choix peuvent les perturber et ils ont besoin de se libérer aussi de cette nouvelle énergie.
La paix des uns nourrit la paix des autres.
Vivre pleinement et librement en paix c’est nourrir son bonheur.
Libérer en paix ceux qui choisissent une autre voie, c’est leur permettre de nourrir leur bonheur, sans nous.

Accepter ce fait, c’est permettre d’en faire le deuil et passer par les étapes comme la sidération, la colère, la tristesse et arriver à la paix et la joie de la nouvelle vie.

Joéliah

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