Vivre en paix est un état de bonheur.

La fête de Samaïn est l’origine bien plus authentique et spirituelle que les déguisements commerciaux aujourd’hui Halloween.
Les païens étaient connectés à la nature de la vie, à l’esprit.
Dans leur savoir, cette nuit du 31 octobre au 1er novembre est celle où la rencontre avec les âmes peut se faire. Durant cette période, les Portes de l’Au-delà sont ouvertes et il n’y a plus de séparation entre les mondes.

Si cela connecte à votre conscience, cette nuit-là assez tard, allumez une bougie (ou plusieurs) au nom de vos disparus et envoyez tout votre amour.
Vous pouvez aussi en profiter pour exprimer ce que vous avez à leur dire pour vous alléger, vous libérer et vous réconcilier si besoin.
Pour pardonner aussi si besoin.
Être en paix avec une âme défunte est une bénédiction pour soi, pour l’autre âme et aussi, pour toute la famille et la descendance.
Et ça c’est un vrai cadeau d’amour.

L’église catholique a transformé cette fête en celle de tous les saints, sous-entendu, toutes les âmes qui sont sous la coupe d’un saint aussi.

Et le 2 novembre est celle des défunts, toujours vivants sous un autre aspect invisible à nos yeux.

Joeliah

L’eau informée peut être une source de rétablissement de santé.

Les eaux mariales sont connues comme à Lourdes et nombre de sources guérisseuses aussi.
Encore aujourd’hui, certaines personnes font des kilomètres pour aller se baigner dans des sources spéciales qui contiennent des particules et des informations qui font du bien au corps et parfois au moral.
Les cures thermales sont connues depuis l’antiquité et le bien-être apporté est important.

Il existe aussi une manière d’informer l’eau pour qu’elle restitue et amplifie l’information enregistrée.

Pour votre bien-être et même parfois guérison, vous pouvez encoder l’eau contenue dans une carafe en verre de préférence,

ou bouteille en verre de multiples façons :

En la posant sur un support ayant une figure géométrique comme la fleur de vie ou le cube de Métatron
ou tout dessous de verre ayant une intention positive qui va donner une structure précise.

En lui parlant directement car les sons encodent, par exemple : ‘Merci à la perfection de la source divine d’encoder cette eau à la norme de santé parfaite’.

En écrivant sur le support des mots spécifiques qui vont continuer d’envoyer l’information  santé, harmonie, amour, paix… (Le docteur Masaru Emoto l’a longuement démontré).

En notant des codes de guérison donné par Grigori Grabovoï – par exemple 719

En imposant vos mains et en laissant irradier votre énergie après avoir actionner le rayon vert de la santé.

Pensez à la dynamiser avant de la boire en secouant la bouteille et remerciez  pour les bienfaits apportés par cette eau.

Le corps humain  est composé à 75% d’eau… les cellules baignent dans de l’eau.. l’eau c’est la vie.

A votre santé !

Joéliah

Il y a de nombreuses autres possibilités…

Photo GDJ Pixabay

Saul, canalisé par John Smallman

Nous tous, de la création divine, sommes sur une voie d’évolution spirituelle qui se poursuit éternellement.
Vous vous demandez: « Pourquoi? Ne sommes-nous pas tous déjà des créations divines parfaites? »
Et oui, bien sûr que nous le sommes, mais en tant qu’êtres créatifs, il y a toujours plus à créer, infiniment plus, et c’est une des joies d’être Un avec la Source, il y a toujours la joie de découvrir plus pour créer. Tout un paradoxe!
Ainsi, la joie ne cesse jamais, elle ne fait que s’agrandir et s’intensifier. Cependant, les mots – langage verbal ou écrit utilisé par les êtres incarnés – sont un moyen totalement inadéquat afin de communier. Nous sommes tous dans une relation divine et cette relation est un état de communion. Les êtres humains, en tant qu’êtres sociaux, comprennent très bien cela, même si, bien sûr, il y a des moments où vous souhaitez vous reposer de votre relation afin de passer du temps tranquille dans votre sanctuaire intérieur sacré. Cependant, lorsque vous vous éveillerez et que vous serez pleinement conscient qu’à chaque instant vous êtes UN, alors votre relation deviendra constante mais non intrusive, un état de paix s’installera dans l’engagement; l’amour sera offert et non quémandé. Cela peut être difficile à imaginer pour la plupart d’entre vous car vous avez tous vécu de nombreuses relations exigeantes.
En tant qu’êtres humains, vos relations sont le plus souvent fondées sur vos besoins et ne sont pas exemptes d’obligations de toute sorte, bien que le bien-être de vos proches en fasse très souvent partie. Cependant, l’amour avec un grand « A », n’exige aucun engagement ni aucune obligation; Il est juste toujours présent, toujours disponible, omniprésent et, lorsque vous vous ouvrez à Lui, Il vous étreint immédiatement en acceptant la totalité de ce que vous êtes, sans aucune condition.
Or, l’Amour est votre nature et même si vous Le bloquez, refusez de L’accepter ou de Le reconnaître, c’est tout de même ce que vous êtes. La seule raison pour laquelle vous ne le ressentez pas ou que vous l’ignorez, c’est à cause des choix falsifiés que vous faites qui sont influencés par des croyances erronées sur vous-mêmes. D’ailleurs, l’un de ces principaux choix est de vous croire indigne de l’amour de Dieu. Comprenez que Dieu ne vous juge jamais; tous les jugements de soi négatifs et/ou les reproches que vous éprouvez sont motivés par l’ego. Quant à lui, l’Ego est motivé par la peur, car il a pour mission de vous protéger en tout temps des menaces constantes et parfois généralisées de l’environnement terrestre.

S’éveiller, c’est donc lâcher prise sur la peur car l’on prend pleinement conscience qu’il n’y a rien à craindre.

Vous êtes des êtres divins et éternels créés à partir de l’Amour et existant dans un état éternel d’Amour. MAIS, vous avez choisi de faire l’expérience de la vie sous une forme humaine, et votre corps humain est sujet à la peur, à la souffrance et à la douleur. Là encore, vous devez savoir que les événements et les relations que vous expérimentez en tant qu’êtres humains font partie des chemins de vie que vous avez planifiés pour vous-mêmes avant de vous incarner et ce, pour les leçons que vous souhaitiez apprendre. Il n’y a pas d’accident ou de coïncidence – à un niveau plus élevé, vous les avez choisis – et ce sont toutes des opportunités pour vous d’apprendre, et la leçon est toujours qu’il n’y a que l’Amour.
Plus vous pourrez maintenir et manifester l’intention d’être un être aimant et cela, peu importe les circonstances dans lesquelles vous vous trouvez, moins vous souffrirez. Bien entendu, vous risquez de souffrir de la maladie et des dommages à votre forme humaine, et cela vous arrivera très probablement, car vous êtes incité à prêter attention aux leçons qui vous sont proposées. Mais vous ne pouvez pas comprendre ces leçons à travers le raisonnement intellectuel et l’analyse, vous devez d’abord aller à l’intérieur de votre sanctuaire intérieur sacré et vous poser tranquillement en votre esprit / cerveau aussi calmement que possible, afin que vous puissiez vous relier consciemment à votre intuition. Alors, votre guidance intérieure sera en mesure de vous soutenir à travers l’expérience que vous vivez jusqu’à ce que vous poussiez ce fameux «Ah! J’ai compris!»
Évidemment, les leçons qui vous sont proposées ne sont pas seulement pour vous; elles s’adressent aussi à celles et ceux qui gravitent, de près ou de loin, autour de vous. Rappelez-vous, vous avez choisi de vous incarner à ce moment crucial, alors que l’humanité s’épanouit spirituellement, parce que vous étiez désireuses et désireux d’apporter votre aide dans ce processus. C’est un défi énorme pour toutes les personnes impliquées, exigeant beaucoup de patience et d’acceptation de votre part lorsque vous faites face aux défis qui se présentent devant vous. Et vous avez tous, sans exception, tout ce dont vous avez besoin pour réussir cette magnifique entreprise – un soutien constant et illimité de la part de celles et ceux qui sont dans les royaumes spirituels, y compris, bien sûr, votre propre soi spirituel ou supérieur.
Ce pour quoi vous vous êtes incarné, les actions que vous faites, est absolument essentiel et ne peut être fait par quiconque d’autre; vous avez chacun votre propre rôle à jouer, et tous vous réaliserez ce que vous êtes venu accomplir.
Mais, bien sûr, en tant qu’êtres humains, votre conscience du déroulement de ce plan divin est très limitée, de sorte que, souvent, il semble que vous luttiez dans le noir sans même une petite lampe de poche pour éclairer votre chemin. Par conséquent, méditer en votre sanctuaire intérieur sacré au moins une fois par jour, et de préférence plus fréquemment – lorsque vous attendez dans la circulation, en ligne, ou que quelqu’un arrive. Un moment par ici et un moment par là vous permet d’augmenter votre intention constante d’aimer tout ce qui se produit, même si vous ne comprenez pas toujours ce que vous faites. Renouvelez votre intention, dans le moment présent, puis continuez à vaquer à vos occupations, sachant que vous faites une énorme différence.
Vous êtes tous très aimés et très honorés lorsque vous suivez vos chemins apparemment individuels vers l’éveil. Votre éveil est divinement assuré, et quand cela se produira, vous vous éveillerez dans une joie incroyable. En vérité, l’éclat du plan divin de Dieu pour sa création dépasse de loin toute description; il ne peut être expérimenté. Mais vous, vous l’expérimenterez tous parce qu’il a été conçu en pensant à vous, dans l’esprit de Dieu, là où réside votre demeure éternelle.
Avec tant d’amour, Saul.

Source: https://johnsmallman.wordpress.com

Image pixabay Myriams-foto

Connaissez-vous ce terme ? L’acédie est un état d’être qui touche énormément de personnes dans le monde entier.
Une maladie physique ? Non, plutôt mentale, c’est une somme de croyances qui font que les personnes nient totalement leur état d’être divin ou spirituel.

Il correspond à l’état de sa véritable nature, au vide de l’âme. Cet état d’errance terrestre. Il n’y a rien d’autre que la matière…
c’est un déni total de sa source de lumière.

Ceci créée un désintéressement total de toute forme de vie et une souffrance profonde. Un mal être récurent.
L’acédie est la mère de tous les vices, car elle n’est rattachée à aucune vertu noble et permets aussi bien la propre destruction de la personne que celle des autres.

C’est l’état de tous ceux qui font des actions sans aucun état d’âme. Tuer, torturer, profiter, voler, violer, tricher, se faire souffrir ou détruire la nature… peu importe, il n’y a aucune conscience de la valeur de la vie.

L’être acédiaque obéi à des ordres de nature inférieure sans penser aux conséquences de ses actions car d’autres profits sont en jeu comme la survie, la peur, l’argent, le pouvoir, l’orgueil.

Ce qui donne des automates de la destruction soit constants, soit dans un cadre précis.

Ce terme a été modifié au moyen-âge pour être remplacé dans les péchés capitaux, par la paresse et a perdu énormément de sa compréhension.

L’acédie est l’oubli de la source, la paresse du savoir métaphysique, le rejet d’une possibilité de force supérieure active en soi.
C’est ce qui cause énormément de maux sur la Terre .
Pourtant, dès que ce défaut est libéré par l’ouverture à cette compréhension fondamentale, tout se transforme rapidement.

La lumière s’installe et tout semble s’illuminer dans  la vie qui d’un coup à du sens !

Parfois c’est un choc qui permet cette libération, parfois un accident, la perte totale de repère. Parfois de cheminer physiquement (chemin de Compostelle par exemple) et parfois, juste une profonde envie qui permet de rencontrer ‘la’ personne qui change tout dans sa vie, le maitre, une guidance…

Dès que l’envie de s’ouvrir à la vérité se met en action, le voile  de l’obscurantisme se lève et les yeux de l’âme voient une réalité différente.

La guérison de l’épidémie d’acédie est en action…  à chacun de rayonner pour lever toutes ces croyances car la présence d’une personne lumineuse éclaire tout autour d’elle.

Et lorsque la lumière apparait, tout devient plus léger et rassurant.

C’est pourquoi œuvrer à faire rayonner ses qualités et vertus est une base profonde de toute spiritualité authentique.

Que le meilleur soit !

Joéliah

Guide en rayonnement du meilleur en soi.

Photo activedia-Pixabay

Vivez consciemment l’instant présent

Enracinez-vous et vivez consciemment dans l’instant présent pour avoir le plus d’énergie active possible. Restez centré sur ce qui se présente.

Si vous errez dans le passé, vous perdez de la concentration et vous ravivez des souvenirs qui ne sont peut-être pas rayonnants et construisent un présent de vibration identique..

 

Si vous vous projetez dans le futur, surtout avec des doutes ou peurs, vous perdez votre paix en créant de l’angoisse…

En vivant en paix, et en conscience l’instant, vous devenez plus vigilant sur ce qui arrive et vous pouvez rectifier immédiatement.

Soyez attentif à vos pensées, à vos réactions.

 

Si vous avez besoin de l’aide d’une qualité,  activez-là par un décret spécifique, ou si vous connaissez,  demandez à l’ange porteur de la qualité de vous insuffler cette vibration.

Vous pouvez aussi de manière plus simple, ressentir comment vous désirez être, respirer en fermant les yeux et en vous imaginant plein de cette qualité ou dans l’état désiré et laisser faire l’énergie universelle à travers vous.

Vous remerciez et vous continuez de vivre instant présent après instant présent sachant que vous devenez  le maitre de votre vie.

Profitez de ce que la vie vous offre à chaque instant présent.

Joéliah

Guide en rayonnement.

8 : Tenez un cahier de progression

L’activation des qualités transforment automatiquement et cela se fait petit à petit.
L’entourage peut se rendre compte des transformations et pas forcément la personne concernée.
C’est pourquoi, tenir un cahier de progression peut grandement aider à constater les résultats.
L’ego aime être rassuré des progrès de ses efforts.
Il quitte sa zone de confort et a besoin de nouveaux points d’ancrage.

Prenez un joli carnet ou cahier et notez votre état d’esprit en général, comment vous vous sentez en  vous  levant, quelle réaction vous avez eu devant telle situation, sur quel ton vous avez répondu lors d’une conversation, d’un conflit…
Observez et notez votre état de ressenti intérieur.

Prenez un point à améliorer puis axez-vous sur ce point pendant quelques jours.
Activez la vibration du Rayons sacré qui peut vous aider grâce à son décret et surtout par l’intention ferme de vouloir développer la qualité dont vous avez besoin.

Plus tard, observez-vous et notez les changements.
Notez aussi les compliments ou réflexions de vos connaissances.

Félicitez-vous de tenir vos engagements d’élévation !

Joéliah – guide en rayonnement.

Photo Ulleo – Pixabay

 

Par Simon Leclerc : Bonjour à vous tous,

Je suis heureux de revenir vers vous en ce jour afin de partager un nouvel éclairage sur ce chemin qui nous rapproche toujours davantage de l’unité recherchée avec nous-même. En fait, quel est ce «nous-même» qui à la fois nous intrigue et nous fascine? Lorsque l’on comprend que le but du chemin spirituel est de fusionner complètement avec notre essence, de la devenir en totalité, la véritable question devient «qui suis-je donc vraiment, au-delà de ce qui est visible; quelle est mon essence»?

Bien sûr, nous avons développé une perception sociale de nous-même qui a débuté par nos relations familiales. Cela nous a appris à nous découvrir dans une dynamique qui a d’abord été motivée par notre envie d’être aimé. Comme je l’ai souvent mentionné, dès notre arrivée au monde, notre première pulsion de vie nous pousse à vouloir être aimé de notre «comité d’accueil», et ce à n’importe quel prix. Si cet amour reçu est inconditionnel, nous apprendrons dès le départ à développer une reconnaissance profonde de notre être, de notre essence, car nous serons alors rassurés sur le fait que peu importe ce que nous découvrirons de nous, cela sera accepté et aimé. Dans ces conditions, la quête de soi devient grandement facilitée.

L’amour extérieur
L’autre chemin, le plus courant, est celui de venir au monde avec un «comité d’accueil» carencé. La plupart des parents, ayant eux-mêmes appris à s’adapter à l’amour conditionnel qu’ils ont reçu de leurs propres parents, ont retransmis la même chose à leurs enfants. Naturellement, ils vont alors considérer que cette façon d’aimer est le meilleur moyen de stimuler leur enfant à devenir un bon citoyen adapté et aimé de tous. Mais en réalité, ils lui transmettent les balises qu’ils ont eux-mêmes reçues étant jeunes et qui leur a procuré l’amour. Même si celui-ci était conditionnel, il a été une nourriture essentielle à leur développement.

Puisque tous les compromis qui étaient nécessaires ont été faits pour obtenir l’amour, les parents auront donc l’impression que c’est ce même «héritage» qu’ils doivent à leur tour retransmettre à leur enfant s’ils veulent s’assurer que ce dernier soit un citoyen bien outillé pour vivre dans le monde. Ce faisant, l’être ainsi socialisé n’arrive plus à savoir qui il est en dehors du regard des autres, et la quête de l’amour extérieur devient alors le seul but de sa vie.

Ceux et celles qui s’engagent sur la voie de la conscience réapprendront progressivement à s’aimer et se reconnaître en dehors du giron familial. Une quête sincère de sens apporte graduellement des réponses concrètes à des questions de plus en plus élaborées. Mais là encore, le vrai du faux n’est pas toujours simple à départager, car les parents deviennent éventuellement la société, et ce qui semble être acceptable et valorisé collectivement forme alors une balise qui oriente la quête de compréhension de soi. On pense parfois qu’une pulsion est profonde, mais elle peut être motivée par ce besoin intense de reconnaissance extérieure, la nécessité de nous comporter de façon acceptable pour être aimé.

Le premier défi de notre vie est donc de découvrir nos qualités profondes, au-delà de notre besoin d’être aimé et accepté des autres. Et par la suite, c’est de mettre en place des moyens concrets pour les déployer dans le monde. Cette démarche est en lien direct avec le bonheur, car plus nous offrons nos talents réels, pas uniquement ceux qui nous ont apporté l’amour de nos proches, plus l’énergie de vie circule à travers nous. C’est cette sensation d’offrande qui crée la joie intérieure. La définition la plus simple que j’ai du bonheur est de savoir qui l’on est et de faire en sorte de l’offrir aux autres.

Un piège potentiel
Lorsque nous nous connaissons bien, savons ce que sont nos qualités réelles et avons mis en place des moyens pour les offrir au monde, nous sommes en lien avec une énergie de vie qui nous nourrit. Mais paradoxalement, même si c’est un but en soi, cela devient aussi une identité qui peut éventuellement nous piéger. Car même si notre mouvement est sincère et vibre profondément en nous, il nous procure aussi de l’amour et de la reconnaissance extérieurs, et cela devient grisant. Si nous n’en sommes pas conscients, cela peut nous faire perdre de vue l’essentiel. Il faut se rappeler que cette démarche vise d’abord à extérioriser notre essence et à la laisser circuler pour nourrir la vie et inspirer chacun à en faire autant. Le piège ici est de nous nourrir des bénéfices collatéraux extérieurs que ce mouvement de vérité avec soi nous procure.

Personnellement, je dois reconnaître que l’un des plus grands défis sociaux que j’ai eu à rencontrer dans ma vie a été de savoir comment entrer en relation avec les gens, sans présenter le spiritualiste que je suis. C’est comme si je ne savais plus qui être en dehors d’un être spirituel en cheminement de conscience. Je me suis longtemps senti comme «un extra-terrestre» et dès que je devais retirer mon chapeau spirituel, je perdais mes repères. Ce processus m’a amené à vraiment me questionner sur ma façon d’être dans le monde afin de revenir à l’essentiel, à ma raison d’être sur terre. Car si je n’avais plus l’aspect spirituel à présenter au monde, c’est comme si je n’étais plus «présentable».

Je sais que nous ne sommes pas incarnés pour créer un groupe restreint d’individu vivant en autarcie les uns avec les autres, mais pour éclairer ce qui cherche à l’être, pour éveiller les consciences, un pas à la fois. Oser être soi-même veut dire «se connaître, se reconnaître et s’offrir».

S’offrir au monde
Dans ce contexte, la quête spirituelle consiste d’abord à s’extraire des besoins de reconnaissance extérieure pour laisser émerger, enfin, notre essence. Oui, les talents font partie de cette essence, mais ils ne la définissent pas. Ils en sont le prolongement, la partie visible. En même temps, ils ne sont pas le seul moyen que nous employons pour nous «offrir» au monde. Laisser vibrer notre essence, sans rien avoir à démontrer ni à prouver, est un magnifique moyen de répandre la conscience et l’amour autour de nous. Cela éveille la nature universelle en chacun.

Quand une essence éveillée en rencontre une autre endormie, cette dernière se met à syntoniser la fréquence de l’éveil, comme un poste de radio, et cherche à insuffler ce nouvel état à la conscience. Cette dernière ne le nommera pas ainsi, mais elle ressent une effervescence dans la rencontre, sans vraiment comprendre pourquoi. En fait, ce rendez-vous crée un effet de résonnance qui pousse chacun vers sa propre lumière. Parfois, les gens sont simplement touchés par une présence, un regard ou un sourire, sans geste ni parole.

Être dans le monde ne veut donc pas dire de continuellement offrir nos qualités aux autres. Savoir qui l’on est, l’assumer et le laisser vibrer à travers nous est souvent beaucoup aidant que toutes les interventions concrètes que nous pouvons effectuer dans le monde. Lorsque nous sommes réceptifs à l’amour, la vie se charge de créer des prétextes pour que nous puissions toucher les êtres autour de nous, sans besoin de comprendre ce qui est réellement en jeu. C’est l’amour dans son expression la plus pure.

Dieu à travers nous
Sur mon chemin, j’ai compris qu’il y avait un piège à associer mon essence à mes qualités. Car si ces qualités n’étaient pas «sollicitées», je ne savais plus comment me présenter. Comme si toute ma vie humaine tournait autour de ces qualités et que sans elles, je n’étais plus rien. Comment pourrais-je alors circuler incognito dans le monde, si mon seul moyen d’être moi-même est de rechercher les tribunes qui permettront à mes qualités profondes d’être utiles et bénéfiques?

Mon travail d’accompagnement en individuel est un magnifique moyen que j’ai dans ma vie pour me désidentifier de mes qualités de guide-accompagnant, tout en les présentant au monde. Car la seule façon pour que le processus de réception fonctionne est d’accepter que je ne le contrôle pas. C’est ce que je nomme la « Grande Main » qui gère l’ensemble de la transmission et je ne fais que communiquer ce que je reçois. Je dis toujours que je suis en contact avec l’intelligence cellulaire de la personne que je rencontre et c’est elle qui me guide.

Beaucoup d’artistes ont perdu l’inspiration due à une réappropriation personnelle du processus créatif qui leur permettait de communier avec la «Grande Main». Ils n’ont pas compris le fragile équilibre qui existe entre humilité et reconnaissance profonde de soi. Comme le disaient les Maîtres dans le magnifique livre La Vie des Maîtres de Baird Thomas Spalding: «Seul je ne peux rien, c’est Dieu à travers moi qui accomplit tout le travail». Ce n’est pas Dieu, ce n’est pas moi, c’est «Dieu à travers moi» qui est le grand magicien. C’est l’union des deux. J’adore cette citation.

Personnellement, je comprends que le processus de réception qui me permet d’accompagner les gens me dépasse complètement. En même temps, pour qu’il fonctionne, je dois assumer ma part. Je ne peux donc pas me présenter au rendez-vous sans reconnaître mes qualités, mais en parallèle, je dois comprendre que c’est mon essence, ou Dieu, qui est le véritable artisan derrière tout cela. Si je cherche à m’approprier le processus, tout va s’arrêter et je ne recevrai plus rien.

Le détachement
C’est en ce sens que j’observe qu’au-delà des qualités profondes, il existe une autre réalité intérieure, encore plus vaste et importante, qui laisse émerger un être universel qui SAIT qu’il fait partie du tout. Cet aspect de nous n’a rien à faire, il EST. Et pour moi, le processus qui conduit vers cette essence est associé au détachement, à une forme de désidentification.

Je comprends qu’il n’y a pas qu’une seule couche qui recouvre notre essence et que ce processus requiert plusieurs étapes de désidentification. Car si on laisse aller ce que l’on croit être, ce à quoi nous sommes identifiés et attachés, cela ne nous amène pas instantanément à contacter notre essence. Une sorte de vide, de vertige, prend d’abord place.

Sur mon propre chemin spirituel, j’ai compris avec le recul que toutes les étapes qui m’ont amené à me détacher des éléments qui donnaient un sens à ma vie sont arrivées à un moment où j’étais prêt à les laisser aller. Je me suis rendu compte que mon Âme a judicieusement orchestré ce processus pour me faire conscientiser mes attachements lorsque j’étais prêt à me désidentifier d’eux. Autrement, je ne les voyais pas.

Avoir des ailes
Plusieurs personnes associent le détachement à une sorte de gouffre. Ils s’imaginent que s’ils laissent partir ce qui les définit, ce qui meuble leur identité, la vie va tout d’un coup perdre son sens. Mais en réalité, l’attachement est lié à notre identité humaine, à une quête de sécurité qui nous fait sentir en terrain connu et nous protège du «méchant inconnu» souvent source de peur. Par définition, l’inconnu cherche à devenir connu, et lorsqu’il l’est, il n’éveille plus de crainte. C’est ainsi que nous apprenons à vivre, en faisant UN avec la vie et sa créativité infinie, sans avoir besoin de nous démarquer pour exister.

Si je ne suis plus un guérisseur, un communicateur, un organisateur, un enseignant, etc, qui suis-je? Que me reste-t-il de moi? Il me reste l’essentiel, soit l’essence de mon être.

Le détachement donne des ailes, car il nous prédispose à l’aventure humaine en nous faisant apprécier tout ce qui est, ce que nous rencontrons, sans jamais avoir besoin de l’accaparer, car nous savons qu’il y a toujours plus à découvrir. Nous n’attendons plus rien des autres, car la reconnaissance véritable provient de l’intérieur.

En se détachant de notre identité humaine, la vie ne devient pas fade, au contraire. Elle est encore plus savoureuse, car elle nous fait ressentir notre essence véritable en mouvement. L’aventurier en nous peut alors se déployer sans aucune limite ni contrainte, car son offrande devient multiple. Parfois, ce sont des mots ou des actions, et d’autres fois, c’est une présence amoureuse, un regard, une écoute, etc.

Il n’y a rien à faire. C’est une invitation à être, tout simplement.

Je ne prétends évidemment pas avoir intégré l’ensemble du partage de ce jour, mais c’est mon chemin spirituel que je vous présente en toute simplicité. Ce faisant, cela me permet aussi de mieux l’articuler. J’espère qu’il résonnera avec vous et saura se frayer un chemin jusqu’à votre conscience.

S’il vous est difficile de le comprendre, demandez à votre sagesse intérieure de vous le représenter avec vos propres mots. Demandez d’en faire l’expérience. Cela deviendra alors une sagesse pour vous.

Sur ce, je vous salue et vous souhaite un futur béni, sachant qu’il prend naissance au présent.

Salutations à tous

Simon Leclerc

… au service de la Grande Fraternité Humaine et Universelle

————————————–

Écrit le 16 octobre 2018, par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com)

Vous pouvez partager librement ce message à la condition d’en conserver l’intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci

Photo, Kellepics pixabay

RECONNEXION AVEC SOI : Séjour du 31/10 au 08/11/2018
Voici une invitation à vivre une expérience inoubliable !
Laisser le tumulte de son quotidien, ses affairements, ses préoccupations pour se retrouver dans la quiétude, la beauté et l’immensité du désert.

“Dans le désert, le paysage ne parle pas, il prophétise’’ dit Rainer  M. Rilke

Vous vous enfoncez dans le désert, mais c’est lui qui vous pénètre…

A la sensation de ses pas posés, à l’écoute de soi, du corps, de son esprit, dans le silence des lieux, revenez à votre essentiel.

Plus que se ressourcer, renouer avec votre intériorité. Ici tout est prétexte à cette reconnexion au Soi.

De la contemplation du soleil qui se lève à la contemplation de l’immensité de la voix lactée, des temps de marches, des exercices d’introspection, des méditations, des temps de silence vivez des moments profonds au cours de cette aventure hors norme !

 

Les journées passées au cœur de l’immensité de ce désert seront rythmées par des temps de marche adaptés et accessibles à toutes les personnes.

͚͛Fort d’une expérience de  plus de 20 ans dans le voyage et d’enseignements reçus dans le domaine énergétique, diplômé en coaching de vie et coaching quintessence, Thierry Fleury vous convie à vivre une expérience inoubliable au sud du Maroc, accompagné de ses amis Touaregs.

Un retour à votre essence.

Il vous conduira à vous reconnecter à  votre monde intérieur, à votre Soi.

Séjour du 31/10 au 08/11/2018

Organisation Voyage
:
Agence LES DESTINATIONS DE FACE
RCS 749 984944
Assurance RC agent de voyage
: HISCOX n° HA RCP0232605
Autorisation vente de voyage:
n° IM094130004 au registre officiel de Atout
France
Notre légalité vous assure des prestations réglementées et professionnelles
Garanties financière
: APST 15 Av Carnot 75017 PARIS
Dates du voyage

Programme détaillé – Renseignements et inscription
auprès de Thierry FLEURY
Tel :
06 12 96 92 61
Mail :
fleury.thierry1@gmail.com
Les places étant limitées, nous vous invitons à poser une option dès que possible

Photo : fabiowanderley

7ème  conseil – enrichissez votre savoir en permanence.

Il existe des virtuoses autodidactes dans tous les domaines, y compris en rayonnement.
Cependant, c’est une infime partie de la population.
Ces personnes sont toujours en relation directe avec l’Esprit et reçoivent des informations précises régulièrement.

Ce sont des personnes inspirantes qui prouvent que tout est possible.

Quel que soit votre niveau, continuez d’apprendre régulièrement, de pratiquer et surtout,  d’enrichir votre savoir pour progresser.

Prenez de nombreuses notes et ajoutez vos commentaires et ressentis.

Prenez modèle sur des personnes rayonnantes et reproduisez leurs attitudes.

Lisez des biographies de personnes inspirantes pour avoir des exemples de transformation.

Formez-vous, participez à des séminaires en direct pour rencontrer d’autres personnes qui avancent en même temps que vous.

Nourrissez votre esprit de belles lectures saines, des livres qui donnent des trucs et conseils pour vous améliorer.

Rester sur ses acquis en pensant tout savoir et la porte ouverte au déclin… car la vie et perpétuelle transformation.

Surtout à cette époque où les transformations sont très rapides.

Une personne qui n’évolue pas régresse.

Pratiquez ce que vous savez, observez, corrigez, rassurez-vous, persévérez et progressez toujours…

Réjouissez-vous de faire ce que peu de personnes font !

Et remerciez-vous.

Joéliah- guide en rayonnement.

Ps : Ces conseils sont offerts pour le rayonnement de tous,
merci de garder la source, ils restent la propriété de l’auteure.
Photo  Stocksnap Pixabay

Soyez le maitre de votre ego.

Que fait un bon maitre d’école face à son élève ?
Il l’accueille et le rassure, vérifie qu’il ai le niveau et le matériel nécessaire,
puis lui apprend de nouvelles connaissances.
Il fait bien attention à ce que son savoir passe bien.

Il montre des exemples, il s’assure que l’élève à compris.
Il fait répéter certaines leçons et donne des devoirs pour compléter la compréhension.

Et parfois fait même des tests surprises pour vérifier son savoir et des bilans de compétence…
Enfin,  il félicite pour les progrès et rassure l’élève.

C’est ainsi que votre esprit supérieur doit agir envers votre ego qui n’a pas trop envie de changer et préfère laisser aller, s’amuser, rester à regarder la vie passer, jouer et oublier sa mission d’humain spirituel.

Vous êtes à la fois le maitre et l’élève…

Conseil : vous surveiller et observer vos comportements, rectifier pour devenir un exemple,  répéter, appliquer et persévérer pour que le rayonnement naturel devienne spontané.

Joéliah, guide en rayonnement spirituel et personnel.

Gardez la signature si vous diffusez. merci.

Photo Pixabay, Sasin.