J’ai eu un vrai coup de cœur pour ces magnifiques compositions de fleurs en forme de coqs. Et vous ?

Quelle belle idée !

 

Le nom de l’artiste est 秋天的晚霞的空间,
les nuages pourpres du soleil couchant d’automne
Merci !

Un vagabond joyeux avait pour passion la sagesse et il passait de village en village avec sa charrette pour aider les gens à trouver le bonheur.
Il le fit généreusement pendant des années usant souvent jusqu’à son dernier sou.

Parfois, des personnes très généreuses l’accueillaient pour un temps. Pour remplir sa bourse et payer quelques péages de ponts et impôts, il enseignait à de riches marchands comment développer encore mieux leur travail et s’enrichir puis repartait pour aider de son mieux ceux qu’il rencontrait.

Un jour, fatigué par ce long voyage, il arriva dans un village très particulier.

“Ici, c’est chacun pour soi”, lui dit un vieillard “car depuis la disette, le Roi a donné l’ordre de ne faire pousser qu’un seul légume par jardin et de partager équitablement, mais personne n’y arrive !”.

Le sage réunit les gens sur la place et écouta alors les doléances des villageois qui n’arrivaient pas à échanger équitablement.
Une pauvre femme toute maigre, lui expliqua qu’elle cultivait le persil et que personne ne voulait lui échanger d’autres légumes à cause du volume nécessaire pour le même poids. Il n’y a pas d’épluchure dans le persil, mais personne n’en tenait compte…
Un autre homme fit la même réflexion avec les épinards qu’il aurait volontiers échangé contre des carottes.
Une autre dit que le Diable était la cause de leur problème.

Alors, il eut une idée lumineuse : il demanda aux villageois d’apporter le plus grand chaudron qu’ils trouvaient, de le remplir d’eau et la mettre à bouillir sur un bon feu sur la place publique.
Chacun apportant équitablement du bois et de l’eau.

Ensuite, il prit un seau en fer, et demanda à chacun, tour à tour, de le rapporter rempli à raz bord de ses légumes épluchés et coupés.
Et il versait le contenu dans le chaudron.

Les volumes semblables ainsi obtenus avaient des poids totalement différents mais les villageois trouvaient que c’était équitable.
Lorsque la soupe fût prête, il invita chacun à venir se servir abondamment. Les villageois n’avaient pas mangé aussi bon et copieux depuis des lustres.
Ils promirent de continuer ainsi. Le partage fut vraiment bienvenu.

A son tour, l’homme leur demanda une compensation pour cet enseignement afin de continuer son chemin, et comme il ne pouvait emporter de denrées périssables, il leur demanda d’apporter chacun une cruche de bon vin dans le tonneau qui était sur sa charrette.

“Je pourrai le vendre ou échanger au besoin’. Et il les remercia.

Les villageois très contents rentrèrent chez eux chercher les cruches et chacun pu voir le ballet des personnes allant verser le contenu dans le tonneau.

 

Le lendemain, avant de partir, le vagabond sage leur dit :  “pour fêter mon départ et votre bonne entente, nous allons tous trinquer ensemble. Allez vite chercher vos verres”.

Chacun le fit avec plaisir et lui tendit son verre, mais tandis qu’il cherchait à servir le vin contenu dans le tonneau du don, seul un peu d’eau en sortit.

– “Comment cela est-il possible” ? Demanda le Sage.

Plusieurs villageois expliquèrent qu’ils avaient pensé que si chacun des autres versait du vin, ils pouvaient éviter de le faire et que le vagabond en aurait bien assez.

D’autres pensaient que la sagesse était un don de Dieu et ne devait pas être payée.

Un autre en haussant les épaules lui dit que l’enseignement était si commun qu’il y avait pensé depuis longtemps et donc qu’il n’avait rien à verser en échange.

Une personne pauvre expliqua avec humilité qu’elle avait remplit sa cruche d’eau et versé dans le tonneau pour donner ce qu’elle avait et faire comme les autres en pensant qu’un peu d’eau noyée au milieu de litres de bon vin ne ferait pas de différence.

D’autres, rentrées chez eux, avaient complètement oublié et étaient passé à d’autres occupations.

Les derniers, le ventre bien plein, n’avaient même pas entendu la demande et avaient fait une bonne sieste.

Ils s’attendaient tous à un sermon, mais le vagabond sage leur donna un bel enseignement de responsabilité  :
‘Je suis entièrement responsable de cela car en entrant dans ce village, j’ai accepté d’ajuster ma fréquence sur la peur du manque et par résonance, j’ai attiré ce manque. Je vous remercie pour la leçon.
Ceci m’aide à comprendre quels sont mes vrais choix de valeur et comment je dois réajuster.

Je choisis donc de m’élever au niveau de la valeur du tonneau plein et repars vers de nouveaux lieux qui correspondent à ce choix.
Je vais désormais rencontrer des personnes qui en comprennent la valeur et sont prêtes à la gratifier dans le partage, comme cette bonne soupe qui demande peu à chacun et devient un merveilleux repas.

Certains villageois apprécièrent cette nouvelle leçon et lui offrirent leur meilleur vin en abondance.
Le tonneau fut vite rempli avec joie et remerciements.

A partir de ce jour-là, le vagabond remercia chaque jour pour cette belle leçon et pour le tonneau constamment plein de bon vin partout où il allait.

Conte philosophique de Joéliah©/

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Photo : Copyright (c) 123RF Stock Photos

Il suffit parfois de reconnaitre ses qualités et de les développer pour changer sa vie et celle des autres.

Ce protocole peut vous y aider ou l’un de vos proches :

Beaucoup d’amis des animaux rêvent de pouvoir communiquer avec eux. Savoir ce qu’ils ressentent, ce qui leur fait du bien ou ce qui les stresse. Comment améliorer leur condition de vie.
Comprendre leurs états de santé ou d’âme pour pouvoir mieux les aider ou juste les laisser tranquille…
Pouvoir les accompagner dans des moments difficiles.
Pour performer dans leur travail (vétérinaires, éleveurs, gardiens…)
Ou juste faire passer un vrai message compris.

Je me souviens avoir lu une histoire (je ne me souviens plus de l’auteur) lorsque j’étais jeune, où un enfant qui possédait un cochon d’inde (j’en avais un à l’époque) allait avoir la chance, pendant 1mn de pouvoir lui parler pour de vrai à minuit.
Alors, il réfléchissait à ce qu’il allait lui dire : son nom, son âge, l’école où il allait, le nom de ses amis et autres renseignements sur sa vie. Plein d’idées lui venaient.
Et là, à l’heure donnée, lorsque le sas de communication s’est ouvert entre-eux, la seule phrase qui lui est venue est : ‘je t’aime’ et l’animal lui a répondu ‘je t’aime’.

Et je me suis posée la question alors, qu’aurais-je dit à mon ami ? Et aux autres animaux ?
Et surtout, je m’étais imaginée que c’était possible à tout moment et que, finalement, lorsque la vraie porte du coeur s’ouvrait, le fameux ‘sas magique’, ils entendaient et nous pouvions les entendre, mais différemment d’une communication normale.

Depuis, j’ai appris que tout est conscience et vie, et les animaux, comme les plantes, les minéraux et les humains peuvent communiquer entre-eux.
Idem avec tous les êtres invisibles… et c’est un cadeau de pouvoir, ainsi, découvrir d’autres mondes.
J’ai pu ainsi communiquer (parfois sans le chercher, juste parce que le sas c’est ouvert) avec un rocher, de l’eau, des arbres, des animaux, des anges, des maitres de lumière et recevoir de beaux messages…  tout est conscience.

Vous aimeriez aussi pouvoir communiquer avec votre animal ou les animaux en général ?
Peut-être pour améliorer votre rapport avec eux  ?

Mon amie Sylvie Chaiffre le fait depuis des années et l’enseigne et, aujourd’hui vous offre 4 vidéos qui vous feront découvrir la communication d’âme à âme avec les animaux et elle s’y connait depuis des années.
Recevez gratuitement ses 4 vidéos (inscrivez-vous ici).

Et s’il en fallait… pour vous prouver que les animaux entendent  ce que  vous dites, même dans votre langue…voici ma dernière anecdote.

Lorsque je vais ramasser les 4 œufs de mes 4 poules, chacune de race différente, je les remercie toujours pour leur  cadeau et j’ajoute ‘Que le meilleur soit ! Merci’.
Chaque œuf est reconnaissable.

Un petit de la naine ‘Arletti’ une Pékin, un roux de ‘Gaïa’ dont j’ignore la race, un clair de ‘Diamant’ une bleu de Hollande  et un autre un peu plus foncé de ‘Cacaille, la coucou de Rennes.
Elles sont chouchoutées et vivront jusqu’à ce que la vie décide de se retirer d’elles naturellement.

Hier, voici le plus bel oeuf possible de Diamant ! Deux en un.
Sûr qu’elle a chanté un peu plus fort quand elle a fini !… MERCI, MERCI, MERCI…

Cela m’a rappelé l’histoire de Christine Pagnier Guillot, une amie qui vit en Martinique et grande amie des animaux.
Alors que la gréve générale durait depuis plusieurs semaines et que la pénurie se manifestait, elle a demandé un effort à ses poules qui lui en ont fait d’aussi gros…
Alors merci la vie  !

Si vous voulez aussi apprendre à communiquer avec les animaux, n’hésitez pas, inscrivez-vous ici .
Pour la communication avec les mondes invisibles, vous aurez bientôt une autre possibilité d’apprendre avec une autre amie bien lumineuse.
Et juste pour le meilleur au quotidien, communiquez consciemment avec ceux que vous aimez et que vous côtoyez, avec respect et bienveillance.
Nous sommes sur Terre pour créer notre paradis, pensons-y !

Que le meilleur soit !

Joéliah

Répondre avec politesse.

Voilà plusieurs fois que je reçois des demandes, souvent telles qu’elles :

– Donnez-moi un décret pour que je trouve un travail rapidement.
– je n’arrive pas à enregistrer l’audio sur mon ordinateur!!!
– qui a créé votre site ?
– Je ne trouve plus votre dernière lettre.

Ces personnes s’adressent à moi comme à un moteur de recherche…

Lorsque j’avais vu film, “Et la tendresse, bordel” dans les années 70, j’avais été choquée par le titre.
Déjà, à l’époque, j’avais reçu l’éducation d’être polie envers tout le monde même si, parfois, j’aurai préféré fuir que d’aller embrasser une parente qui avait de la barbe.
On me parlait de respect et je n’avais pas vraiment compris l’utilité.

Aujourd’hui, je la comprends d’une manière consciente et vibratoire.

Le fait d’apporter une formule de bienvenue ouvre la porte à la reconnaissance respectueuse de l’autre.

Bonjour = je vous souhaite un bon Jour.
Beau moment présent = je souhaite que tout se passe bien pour vous, quelque soit le moment où vous lisez ces lignes.
Salut = je vous salue.
Cher untel, chère unetelle apporte une note de valeur ou de tendresse selon les personnes, etc.

Ensuite, la formulation des phrases qu’elles soient écrites ou orales, joue aussi un rôle.
L’agressivité ou la sérénité changent tout.
Il existe une manière dite ‘sandwich’ d’apporter les choses de manière à ce qu’elles soient bien acceptées. Une couche d’enrobage qui entoure ce que l’on  veut vraiment dire, permet de le faire passer en douceur.

Plutôt qu’une insulte du genre ‘décidément, tu ne sais rien faire’, qui détruit l’autre sans lui donner de chance d’avoir de la valeur, imaginez : d’habitude tu t’appliques et là je trouve que tu t’es laissé aller. J’ai confiance et je compte sur toi pour rectifier la prochaine fois.
Ô combien la personne est respectée et a envie de donner plus !

Enfin, un mot de remerciement ou de salutations termine la conversation avec respect.

Analysez votre façon de faire. Ne laissez-pas les SMS et autres habitudes modernes d’écriture vous priver de cette magnifique énergie du respect.
Apprenez le respect à vos enfants et petits-enfants.
Cela élève la vibration des deux parts de la communication.

La politesse, le respect, la révélation de sa lumière, la reconnaissance et la libération des zones d’ombres font (entre-autres) partie de l’axe du rayonnement lumineux dans l’enseignement des 13 Rayons sacrés.

Le rayon violet de la diplomatie et de la transmutation, le bleu de la foi et le blanc de la  pureté sont au cœur de cet axe important. Il y en a deux autres.

Ce sont des bases que j’enseigne dans le programme rayonnant pour vivre une spiritualité saine et joyeuse.

Si vous voulez recevoir 7 vidéos gratuites, inscrivez-vous ici.
Je me ferai une joie de vous accueillir si vous choisissez ensuite d’entrer dans le groupe des rayonnants.
Que le meilleur soit !

Joéliah

Extrait issu de l’infolettre du 31 octobre.

Image : Droit d’auteur : https://fr.123rf.com/profile_solomapoppy

L’amour est sans limite. A 98 ans, Ada Keating a emménagé dans la maison de retraite à Huyton, en Angleterre, où est maintenant son fils, afin de pouvoir le câliner et veiller sur lui.

Ada qui ne s’est jamais mariée, a toujours vécu avec son fils Tom, peintre à la retraite de 80 ans. Lorsqu’il a décidé de vivre en maison  de retraite, cette ancienne infirmière qui a toujours veillé sur lui à décidé de le suivre.

Un fait rare qui pourrait bien se manifester de plus en plus avec l’augmentation des centenaires.

Alors encore longue vie à cette maman poule et ce fils poussin… et que l’amour les réunissent toujours.

 

Message reçu dans l’énergie du Rayon blanc de la pureté : Chers enfants de lumière en incarnation, nous vous invitons à trouver ce grand silence intérieur qui est plein de paix et de sérénité, d’amour et de possibilités. Un silence magique, réparateur où vous pouvez entendre la voix de votre Esprit.

Trouvez-le à l’intérieur de vous, allez le chercher à l’intérieur, ce silence qui permet de guérir et de libérer toutes vos souffrances.
Celui qui permet d’effacer tout ce que vous pouvez entendre et qui ne vous convient plus.

Lorsqu’il vous arrive une réflexion, une situation qui vous bouscule, une émotion qui vous dérange, vous avez naturellement plusieurs façons de réagir.
Vous pouvez entrer dans cette énergie et recevoir aussitôt la violence du contrecoup.
Vous pouvez aussi entrer dans votre zone de silence et faire comme ci cela ne vous concernait pas, au lieu de buter sur une réflexion, de vous mettre en colère ou de vous laisser blesser par une critique.
N’en faites-pas un échec parce que vous avez un barrage devant vous, faites le silence intérieur et laisser glisser ce qui vient.

Vous pouvez imaginer une rivière et comme si ce qui venait d’être dit ou qui arrivait, était un bateau qui vogue tranquillement et qui part au loin.
Laissez aller simplement, observez, libérez.

Le silence de la neutralité vous permet de ne rien emmagasiner, de ne pas répondre, de ne pas faire écho ou éponge sur ce qui se présente.

Ce silence vient de l’amour, ce silence vient de votre conscience de paix.
Aussi apprenez à développer cette paix en vous.

En méditant régulièrement, en parlant plus doucement, en réfléchissant avant de parler, en mettant de la douceur dans vos actes.
En souriant d’avantage et en aimant d’avantage.

Voilà comment, petit à petit, vous allez pouvoir aussi vous guérir, guérir ce mental, guérir ces émotions et guérir votre corps.

En vous se trouve cette zone de paix, trouvez-là, éveillez-là, faites la vivre au maximum.
C’est un endroit qui vous fait du bien.
Pour le trouver rappelez-vous un moment où vous étiez vraiment bien.
Un moment de quiétude, un moment où tout vous semblait possible. Un moment où la paix régnait à l’intérieur de vous-même et réveillez cette sensation, réveillez cette mémoire et activez-là dans votre corps.
En apprennent à apaiser votre corps, vous apprendrez développer beaucoup plus de possibilités.
Vous allez apprendre à vous valoriser, à prendre plus de place dans votre vie.
C’est ainsi que vous allez grandir en conscience dans la paix et que votre monde sera de plus en plus en paix autour de vous.

Soyez bénis
Les guides de lumière canalisés par Joéliah.

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