Bouddha tient un jour un satsang au cours duquel il observa en silence une fleur qu’il tenait dans sa main.

Quelques instants plus tard un de ceux présents, un moine nommé Mahakasyapa se mit à sourire.
On dit qu’il fut le seul à avoir compris ce discours silencieux.

Selon la légende, ce sourire,
c’est-à-dire l’éveil spirituel fut transmis par vingt-huit maîtres successifs et, beaucoup plus tard, fut à l’origine de la tradition Zen.

À la vue de la beauté d’une fleur, les humains s’éveillaient ainsi même si ce n’était que brièvement à la beauté qui fait essentiellement partie de leur être le plus profond, qui fait partie de leur essence, de leur véritable nature.

La première fois que la beauté fut reconnue, constitua un des événements les plus significatifs dans l’évolution de la conscience humaine étant donné le sentiment de joie et d’amour qui lui sont intrinsèquement liés.

Sans que nous le réalisions pleinement,
les fleurs sont devenues pour nous l’expression
manifesté de ce qui est le plus élevé,
le plus sacré et en fin de compte
le non manifesté en nous.

Plus éphémères, plus éthérées et plus délicates que les plantes dont elles sont issues,
les fleurs sont devenues en quelque sorte les messagères d’un autre monde,
un pont entre le monde physique manifesté et le monde non manifesté.

Elles transmettent non seulement une odeur délicate et agréable aux humains,
mais également la suavité du royaume de l’esprit.

« Nous sommes plus grands que nos pensées »

Extrait de Nouvelle terre par Eckhart Tolle

Dans la continuité de l’abondance universelle, voici 10 affirmations :

1. Dieu est généreux, une Abondance sans fin, la riche Substance omniprésente de l’univers. Cette Source de prospérité infinie qui comble tous les besoins est individualisée en moi, la réalité du moi.

2. J’élève mon esprit et mon coeur pour être conscient, pour comprendre et savoir que la présence divine je suis est la Source et la Substance de tous mes biens.

3. Je suis conscient de la présence intérieure est tant que mon Abondance généreuse. Je suis conscient de l’activité constante de cet esprit de prospérité infinie. Ainsi, ma conscience est remplie de lumière de vérité.

4. A travers ma conscience de ma divinité (Le Christ à l’intérieur de moi) en tant que ma Source, je puise à l’intérieur de mon esprit ma nature profonde la véritable Substance de l’esprit. Cette Substance est ma Source, ainsi ma conscience de la présence de Dieu à l’intérieur de moi est ma Source.

5. L’argent n’est pas ma Source. Aucune personne, aucun endroit, aucune condition n’est ma Source. Ma conscience, ma compréhension et ma connaissance de l’activité de l’esprit divin en moi qui répond à tous mes besoins est ma Source. Ma conscience de la vérité est illimitée et ainsi, ma Source est illimitée.

6. Ma source intérieure instantanément et constamment prend forme et fait l’expérience selon mes besoins et désirs. Et en tant que principe de Source en action, il est impossible pour moi d’avoir des besoins ou des désirs non comblés.

7. La conscience divine que je suis exprime pour toujours sa vraie nature d’Abondance. Ceci est sa responsabilité et non la mienne. Ma seule responsabilité est d’être conscient de cette vérité. En conséquence, je suis totalement confiant en lâchant prise et en laissant Dieu apparaître comme l’autosuffisance abondante dans ma vie et mes affaires.

8. Ma conscience de l’esprit en moi, en tant que ma Source illimitée a le pouvoir divin de restituer les années que les mantes religieuses ont mangé, de rendre toute chose nouvelle, de m’élever sur la haute route de la prospérité abondante. Cette compréhension et cette connaissance de l’esprit apparaissent sous toutes les formes visibles et expériences que je pourrais possiblement désirer.

9. Lorsque je suis conscient de la Divinité en moi en tant que ma réalisation totale, je suis totalement accomplie. Je suis maintenant conscient de cette vérité et ai trouvé le secret de la vie. Je relaxe avec la connaissance que l’activité de l’Abondance divine opère éternellement dans ma vie. Je dois être simplement conscient du courant, de la radiation et de l’énergie créatrice qui continuellement, facilement et sans efforts jaillit de ma conscience divine. Je suis maintenant conscient. Je suis maintenant dans le courant.

10. Je garde mon esprit et mes pensées loin de ce monde et je porte mon entière attention sur mon Dieu intérieur en tant que la seule cause de ma prospérité. Je reconnais la présence intérieure, en tant que seule activité de mes affaires financières, en tant que Substance de toute chose visible. Je mets ma foi en le principe de l’Abondance et en action à l’intérieur de moi.

auteur non cité, source :  www.intuitiveflow.com

Un jeune homme avait participé, dans la soirée, à une session sur la Bible.
L’enseignement portait sur l’importance d’écouter Dieu et d’obéir à la voix du Seigneur.
Le jeune homme ne pouvait s’empêcher de se demander :
«Dieu nous parle-t-il encore ?»
Il sortit alors avec des amis et discutèrent du message.
Plusieurs parlèrent des différentes façons que Dieu avait choisies pour les guider.

Il était environ dix heures du soir quand le jeune homme décida de rentrer chez lui.
S’asseyant dans sa voiture, il commença à prier :
« Seigneur… si Tu parles toujours aux hommes, parle moi, j’écouterai.
Je ferai de mon mieux pour obéir.»

Se trouvant alors sur la rue principale de la ville,
une pensée des plus étranges lui vint à l’esprit :
«Arrête-toi et achète un litre de lait.»
Il secoua la tête et dit : «Seigneur, est-ce Toi ?»
N’obtenant pas de réponse, il continua sa route.
Mais, de nouveau, la même pensée lui vint : «Achète un litre de lait.»
«D’accord, Seigneur, au cas où ce serait Toi, je vais acheter du lait.»
Cela ne paraissait pas être un test d’obéissance bien compliqué,
et puis, il pourrait toujours utiliser le lait le cas échéant.

Il s’arrêta, acheta un litre de lait
et repartit dans sa voiture dans l’intention de rentrer chez lui.

Alors qu’il dépassait le 7ème rue,
il entendit de nouveau un appel pressant :
«Fais demi-tour et prends la prochaine rue».
C’est fou, pensa-t-il.
Il n’obéit pas et continua tout droit.
Mais, de nouveau, il sentit qu’il devait tourner.
Il fit alors demi-tour à l’intersection suivante
et se dirigea vers la rue en question.
Mi-souriant, il dit : «D’accord, Seigneur, je le ferai.»
Il dépassa plusieurs immeubles quand soudain,
il eut l’impression qu’il devait s’arrêter.
Il se gara le long du trottoir et regarda autour de lui.
Il se trouvait dans une zone de la ville
qui n’était pas des plus sûres mais qui n’était pas la pire non plus.
Les magasins étaient fermés et la plupart des maisons n’étaient pas éclairées,
comme si les gens étaient déjà couchés.

De nouveau, un appel se fit sentir :
«Va donner le lait aux personnes
qui se trouvent dans la maison de l’autre côté de la rue.»
La maison en question était sombre
et il semblait que ses occupants étaient absents ou bien qu’ils dormaient déjà.
Il commença à ouvrir la portière de sa voiture
puis, se ravisant, se rassit au fond du siège.
«Seigneur, c’est du délire !
Ces gens dorment et si je les réveille
ils vont être furieux contre moi et j’aurai l’air stupide.»

Mais il sentit qu’il devait y aller.
Il ouvrit finalement la portière de sa voiture.
«D’accord, Seigneur. Si c’est Toi, j’irai leur donner le lait.
Si tu veux que j’aie l’air d’un fou, d’accord ! Je veux être obéissant.
J’imagine que cela comptera pour quelque chose,
mais s’ils ne répondent pas de suite, je me sauve !»

Il traversa la rue et sonna à la porte.
Il entendit du bruit à l’intérieur de la maison.
Un homme cria : «Qui est-ce ? Que voulez-vous ?»
et la porte s’ouvrit avant que le jeune homme n’ait pu s’en aller.

L’homme se tenait devant lui, en jeans et en t-shirt.
Il avait l’air de sortir de son lit.
Il avait un regard étrange et ne semblait pas très heureux
de voir un étranger se tenir sur le seuil de sa porte.

Le jeune homme brandit le litre de lait qu’il tenait à la main «Voilà !
Je vous ai apporté ceci.»
L’homme prit le lait et se précipita au fond du couloir, parlant très fort en espagnol.
Alors, une femme apparut portant le lait vers la cuisine.
L’homme la suivait, un bébé dans les bras.
Le bébé pleurait. L’homme versait des larmes.

Tout en pleurant, il dit :
«Nous avons eu de grosses factures à payer ce mois-ci
et nous manquions d’argent.
Nous n’avions plus de lait pour notre enfant.
J’étais justement en train de prier en demandant à Dieu
comment faire pour trouver du lait quand vous avez frappé à la porte.»
Depuis la cuisine, son épouse cria :
«Je lui ai demandé d’envoyer un ange avec du lait !
Êtes-vous un ange ?»

Le jeune homme ouvrit alors son portefeuille,
prit tout l’argent qu’il contenait, le donna à l’homme,
puis il fit demi-tour et se dirigea vers sa voiture, le visage inondé de larmes.

Il venait d’obtenir la preuve que Dieu exauçait encore les prières !

Auteur inconnu

Photo ; https://pixabay.com/fr/users/Couleur-1195798/

OMA : La rose me disait aussi : “Non seulement tu ne dois pas t’arrêter à mon apparence, amis tu dois chercher aussi à connaître de quelles quintessences je suis faite, comment je les prépare et les distille. Celui qui arrive à comprendre comment je travaille, pourra entreprendre le même travail sur les substances qui sont en lui et les distiller pour en faire des parfums qui embaumeront l’atmosphère”

Est-ce qu’on les sentira vraiment ?

Peut-être pas tout de suite, mais en attendant, ce sont des émanations psychiques qu’il est possible de percevoir.

N’avez-vous jamais senti que de certains êtres vicieux, pervers, il émane quelque chose de nauséabonds, alors qu’auprès d’autres êtres, purs, pleins d’amour et de lumière on croît sentir un parfum délicieux ?

Il peut arriver que, lorsque des personnes sont réunies pour prier, la simplicité de leur cœur, la ferveur qu’elles mettent dans leurs prières, touchent certaines régions du monde spirituel, et les entités qui les habitent répondent alors par un parfum de rose.

C’est certainement ce que savait la petite sainte Thérèse de l’Enfant jésus, elle qui avait dit qu’après sa mort elle ferait tomber sur la terre une pluie de roses… j’aime beaucoup la petite sainte Thérèse”.

Omraam Michael Aïvanhov

Photo Joéliah

Il était une fois un père qui était très frustré à cause de son fils qui ne semblait pas être très viril malgré ses seize ans. Le père alla voir un Maître Zen et lui demanda d’aider son fils à devenir un homme, un vrai.

Le maître lui dit :

« Je peux vous aider. Par contre, votre fils devra vous quitter pour venir chez moi pendant trois mois. Pendant tout ce temps-là, vous ne serez pas autorisé à le voir. Je vous assure entière satisfaction après ces trois mois. »

Comme promis, le père ne revint donc que trois mois plus tard. Le maître organisa un Kumité (combat de karaté) pour que le père puisse voir les résultats de l’entraînement de son fils.

Quand démarra le combat, le père découvrit que l’adversaire de son fils était en fait un entraîneur.

L’entraîneur s’était bien sûr assuré d’être parfaitement bien préparé pour gagner avant même qu’il ne commence à attaquer. De l’autre côté, le fils tombait aussitôt après qu’il eut été attaqué, sans aucune résistance.

Cependant, le garçon n’abandonnait pas et se relevait immédiatement après sa chute. Cela ne continua ainsi pas moins d’une vingtaine de fois. Son père fut embarrassé et eut de la peine pour lui, mais n’osa rien dire.

Le garçon perdit lamentablement, à la fin le combat. Le maître demanda au père :

« Ne pensez-vous pas que votre fils a montré de la virilité? »

« J’ai eu honte de lui ! Après trois mois d’entraînements, quel genre de résultat est-ce ? ! Il était si faible et tombait aussitôt qu’il était attaqué. Je ne pense pas du tout qu’il soit viril. »
Le père était très déçu.

Le maître dit au père : « Je suis désolé que vous ne regardiez l’échec et la réussite que sous leurs formes superficielles.

N’avez-vous pas remarqué que votre fils avait du courage et de la bravoure pour se relever après toutes ses chutes ?

C’est une réussite si on se relève autant de fois qu’on chute, c’est là la qualité d’un homme, un vrai. »

Le père eut une soudaine compréhension, remercia de tout cœur le maître et ramena ainsi son fils chez lui.

Auteur du texte et de la photo non indiqués.

Murielle Robert : La Numérologie Sacrée est une numérologie de l’âme car elle est associée aux images des 22 cartes de tarot que ce soit de Marseille ou du tarot des 4 vérités . Chaque carte révèle des symboles dont il est plus facile de capter la signification et l’interprétation sans que le mental interfère…votre vibration fera le reste et c’est ainsi que l’âme se révèle dans toute sa splendeur.

Aussi la Numérologie Sacrée n’a pas le but d’une prédiction quelconque ou tout aspect de divination pour le futur.  Les chiffres proposent des forces qui sont déjà à l’intérieur de vous comme des perles à découvrir, à solliciter pour éveiller leur lumière et leurs vibrations… Tout dépendra de leur développement si ces perles sont favorisées à éclore dans un environnement sain et dans un terrain propice…tout comme les chiffres… s’ils s’éveillent dans un terrain propice à leur développement et s’ils croissent dans un environnement familial sain.

Les alliances parentales et leurs influences sur vos deux forces vibratoires du couple intérieur: le féminin et le masculin

Les alliances parentales

Les alliances parentales sont des liens bien campés dans notre génétique intérieure et qui regorgent d’information sur la raison « inévitable » d’avoir choisis nos parents.

Par résonance vibratoire, il va de soi que les parents ont aussi choisis leurs enfants comme un consensus inconscient ou pas.

Ce qui devient intéressant, ce sont les dons qui sont à notre portée bien inscrits dans notre date de naissance. Nous pouvons les décoder et y découvrir ce pourquoi nous avons choisi tel parent et savoir leurs effets bénéfiques ou non qui en découlent, au nom de l’évolution… plus ardue pour certains mais avec de grands enseignements et de leçons de vie, tout aussi enrichissantes, quelques soient leur teneur de difficulté et d’apprentissage.

Les deux sources d’influences et de références

Le féminin et le masculin

Pour simplifier ici cette démarche vers Soi, il n’y a pas lieu de s’attarder sur les vies antérieures qui sont également des filons, des traces et des références sur ce pourquoi nous avons choisis nos parents comme guides de ressource et de développement.

Il sera plus simple et éclairant de se référer sur les lignes vibratoires de nos deux forces en nous : le féminin et le masculin qui deviendront des miroirs de nos parents intérieurs et par alliances, nos parents guides sur ce voyage terrestre.

Il est préférable également de ne pas s’attarder à la personnalité de nos deux parents, ni à leur énergie propre. C’est seulement nous qui allons capter leur énergie et deviendra une source de référence pour notre apprentissage et notre évolution… sur nos mémoires vibrationnelles que nous portons depuis bien des vies. C’est le pourquoi nous avons choisi tel parent plutôt qu’un autre et de vivre leurs influences et d’aller au-delà selon l’impact émotionnel.

 Donc, c’est à partir de la date de naissance, surtout le mois de naissance  qui sera le point de départ pour définir nos deux forces : le féminin et le masculin  et comment ces deux forces peuvent se rallier pour créer l’harmonie  ou… comment elles peuvent devenir conflictuelles.

En conclusion, la Numérologie Sacrée nous offre une belle exploration de notre couple intérieur afin qu’il soit de plus en plus harmonieux et lumineux et ainsi s’attirer la personne harmonieuse ou vivre en harmonie avec celle que nous avons déjà.

Que l’Amour soit… pour S’aimer Soi !

Murielle Robert, auteure de trois livres sur le tarot et le tout dernier en imprimerie : La Numérologie Sacrée de votre Couple Intérieur

Marcher vers Soi

  au fil des dunes…

   Voyage initiatique 

VOULEZ VOUS ACCÉDER À L’ESSENTIEL DE VOUS-MÊMES DANS UNE QUÊTE HUMAINE ET SPIRITUELLE ?

Vous pouvez vivre une expérience exceptionnelle du 16 au 24 octobre 2018.

Stage organisé par Alain et Hannah Sembély et l’association Taodyssée.

Renseignements et inscription

https://taodyssee.learnybox.com/itinerance-intime-octobre-2018/

Contact : 06 60 37 53 56

Un jeune homme sollicita un poste dans une grande entreprise.
Après l’entretien d’embauche de sélection, le directeur adjoint l’envoya vers le directeur général pour une dernière entrevue.
Le directeur a bien regardé son CV : il était tout simplement excellent (de grandes écoles, de beaux stages…).
Aussi, le DG lui a demandé : « As-tu reçu une bourse d’étude pendant ton cursus scolaire ? »
Le jeune diplômé lui a répondu tout simplement « non ».
« Est-ce ton père qui a payé tes études ? »
« Oui » répondit le jeune.
« Où travaille ton père ? »
« Mon père fait des travaux de forge. »
Le directeur a demandé au jeune de lui montrer ses mains.
Le jeune lui a montré une paire de mains lisses et parfaites.
« As-tu jamais aidé ton père dans son travail, ne serait-ce qu’une seule fois ? »
« Mon père a toujours voulu que j’étudie davantage.
En outre, il peut mieux faire ces tâches que moi.»
Le directeur a dit :
« J’ai une demande à te faire : quand tu iras à la maison aujourd’hui, observe et lave les mains de ton père puis reviens me voir demain matin. »
Ni une, ni deux, le jeune s’empresse de prendre congé pour aller vite répondre à la requête du DG.
Quand il rentra à la maison, il se mit à chercher son père et lui demanda la permission de laver ses mains.
Son père se sentit heureux de la subite attention de son fils et les lui présenta avec bienveillance.
Après un temps d’arrêt, le jeune homme entreprit de laver doucement les mains paternelles.
Pour la première fois, il se rendit compte de l’état des mains de son père : elles étaient ridées et avaient tant de cicatrices qu’il pouvait à peine toutes les compter.
Certaines d’entre elles étaient encore à vif et quand il avait le malheur d’y toucher, son père tressaillait de douleur.
Pour le jeune homme, ce fut comme un seau d’eau glacée lancé en plein visage !
Il se rendit peu à peu compte du sacrifice de son père.
Car chacune de ces cicatrices représentait le prix à payer pour SON éducation, SES activités de l’école et SON futur.
Après avoir fini de nettoyer les mains de son père, le jeune commença à mettre de l’ordre dans l’atelier.
Cette nuit-là fut un magnifique moment ‘père et fils’ durant lequel ils parlèrent très longtemps.
Au matin suivant et comme prévu, le jeune est retourné voir le directeur.
Ce dernier s’est vite rendu compte des larmes dans les yeux du jeune homme. Aussi lui-a-t-il demandé : « Peux-tu me dire ce qui te fait pleurer et ce que tu as appris hier en rentrant chez toi ? »
Le jeune a répondu : « j’ai nettoyé les mains de mon père puis j’ai fini par ranger son atelier… mais ce n’est pas le plus important.
Je sais maintenant reconnaître ce qui mérite d’être apprécié.
Sans mon père, je ne serais pas celui que je suis aujourd’hui.
En aidant mon père, je me suis rendu compte de la dureté de son labeur et de mon arrogante indifférence.
Aujourd’hui, j’apprécie son sacrifice à sa juste valeur et le trésor qu’est l’aide familiale.
Le directeur a dit : « Voilà ce que je cherche chez mon personnel. Je veux engager des personnes pouvant apprécier l’effort fourni par les autres, des personnes qui ont conscience de la souffrance d’autrui, des personnes qui ne mettent pas l’argent comme seul objectif dans la vie…
Tu es embauché ».
Un enfant trop protégé à qui les parents donnent tout ce qu’il veut, développe « une mentalité de droit » et ignore les sacrifices qu’il a fallu faire pour en arriver là!

Si vous vous reconnaissez dans ce type de parents protecteurs, pensez-vous agir pour le bien de vos enfants ou au contraire, les guider sur le mauvais chemin?

Vous pouvez donner à vos enfants ce qu’ils souhaitent le plus au monde : une maison chaleureuse, un bon repas, une grande école, un téléphone portable dernier cri…
Quand vous devez faire le ménage ou peindre une chambre, pensez tout simplement à les mettre à contribution.
Après avoir mangé, qu’ils lavent et rangent la vaisselle entre frères et sœurs pour apprendre la vraie valeur de l’entraide et les qualités nécessaires pour mener une belle vie.
Un jour, quand vous aurez les cheveux bien blancs, vous serez heureux de voir vos enfants épanouis, suivre votre exemple et apprendre à leurs propres enfants l’expérience de la difficulté et l’importance du travail en groupe!

Auteur inconnu –

Source texte et image page Facebook de Jean-marc Ziegler – merci

Sentir la chaleur d’une mère, son attention et son affection en venant au monde, est peut-être l’un des besoins les plus grands qu’un être humain peut éprouver tout au long de sa vie. Il existera peu de choses dont nous aurons davantage besoin. En effet, la première frayeur que nous connaissons est la peur de la perdre, d’avoir une mère absente qui ne vient pas nous secourir lorsque nous en avons besoin. S’il en est ainsi, rien au monde ne pourra le compenser.

Nous sommes capables d’accepter et de supporter tout ce qu’elle fait lors des premiers moments de notre vie. Nous pouvons lui pardonner en un clin d’œil si elle nous critique sévèrement ou si elle nous dévalorise. En outre, nous n’osons même pas remettre en question la façon dont elle nous traite. Nous avons même tendance à nous reprocher d’avoir déclenché sa colère. Nous craignons surtout, lors de ces premières années, qu’elle nous quitte.

“La main qui berce le berceau est la main qui gouverne le monde.” -William Ross Wallace-

Indépendamment de sa disponibilité, une mère doit parfois s’absenter. Elle nous laisse seul, même si ce n’est que pour de brefs moments. Nous ne nous résignons cependant pas à ce qu’il en soit ainsi. En effet, nous ne sommes pas conscients du temps à un si jeune âge, de sorte que nous ne savons pas si elle reviendra. Nous apprenons peu à peu à faire face à ces courtes absences, même si elles sont synonymes de douleur et de peur.

Une blessure s’ouvre dans notre cœur si, pour une raison ou une autre, notre mère s’absente non pour de courtes périodes, mais la plupart du temps. Cette blessure peut en outre ne jamais se refermer. Et lorsque cette mère est totalement absente, les dommages émotionnels sont si importants qu’ils laisseront des séquelles dans notre esprit, notamment si cela arrive lors des six premières années de notre vie.
Une mère absente

Certaines personnes atteignent l’âge adulte en se sentant terrifiées dans toutes les situations où elles doivent être seules. Lorsqu’il n’y a personne à la maison, par exemple. De sorte que s’ouvre en elles un puits d’angoisse dans lequel elles sentent qu’elles se noient. Ces personnes sont souvent charmantes. Elles ont en effet appris qu’elles doivent “bien se comporter” et faire ce que les autres attendent. Mais elles sont comme des enfants terrifiés qui succombent à la peur lorsqu’elles sont seules.

L’absence de la mère pourrait également être à l’origine de nombreux troubles du sommeil et de l’alimentation. Peut-être que la mère voulait que son bébé mange et dorme, et le manipulait sans lui offrir une présence inconditionnelle. Ne pas dormir et ne pas manger pouvait parfois constituer un moyen de la contrarier. De lui faire payer une dette, même si au final l’enfant est celui qui en paye le prix.

Une mère qui s’absente fréquemment et pendant de longues périodes peut induire un fort état d’anxiété chez son enfant. La peur apparaît lorsqu’elle part, mais également lorsqu’elle revient car l’enfant ne sait pas quand elle repartira. Certaines mères utilisent cette peur pour “contrôler” leurs enfants. Elles menacent de les abandonner lorsqu’ils n’obéissent pas. L’enfant n’a pas d’échappatoire s’il ne dispose pas d’une mère suffisamment bonne.

L’enfant qui vit avec une mère absente développe à son égard comportement qui suit une séquence typique : protestation, désespoir et éloignement. L’absence ne déclenche pas l’affection. Elle fait que les émotions deviennent folles. Cela finit par bloquer les sentiments amoureux. Cette absence peut en outre générer une haine sourde pour avoir été soumis à ce cercle vicieux fatal de vouloir et de perdre, encore et encore.

Une mère absente peut donner naissance à des êtres humains distants, en colère et tristes. Leurs enfants apprennent peu à peu et avec une âme brûlante, qu’ils doivent finalement faire face au monde seuls.

Ainsi, les enfant portent parfois des masques pour survivre à cette situation qu’ils ressentent comme très dangereuse. Le masque du sympathique, de l’obéissant, de la terreur du quartier, de l’insensible … Il leur sera difficile de reconnaître, à l’âge adulte, ce qui se situe derrière cette fausse personnalité qu’ils se sont inventée pour faire face à l’abandon.

La confiance dans les autres est ce qui se perd en fin de compte avec une mère absente. Également, l’espoir que quelqu’un puisse répondre à nos besoins ou même nous aimer. De sorte que la personne essayera d’aimer, dans la vie adulte, en créant des liens de dépendance absolue, lesquels échoueront encore et encore.

Par ailleurs, les relations avec les autres restent parfois pleines de suspicion, ou exigent des autres des comportements impossibles. Une mère absente laisse derrière elle un être humain qui apprend à établir des liens pleins de colère, d’anxiété et surtout de méfiance.

https://nospensees.fr/les-sequelles-dune-mere-absente/
Partagé sur Facebook par Merlin Charles.
Image :https://fr.123rf.com/profile_bugphai

Voilà plus de 26 ans que je canalise les anges et les êtres de lumière et ce qui m’étonne toujours, c’est la justesse de l’aide qu’ils peuvent apporter.
Leur expression est libre d’ego tout en étant adaptée à l’humanité. Souvent, je me dis, comment peuvent-ils savoir tout ça ?
En fait nous sommes tous issus du Un et donc, nous sommes tous reliés en Esprit.

Mais comment fais-tu pour canaliser les êtres de lumière ? Comment puis-je faire comme toi… ? Je reçois souvent ces questions et honnêtement, comme je le fais naturellement, je ne sais pas vraiment quoi répondre et surtout pas comment l’enseigner.

Et pourtant, je sais que c’est un vrai cadeau de pouvoir recevoir ainsi des conseils précieux, des aides, des réponses parfois étonnantes.

Également d’autres personnes me demandent comment gérer leur clair-audience qui s’ouvre, est-ce que ce sont de vrais messages, comment vérifier… ?

Alors j’ai une bonne nouvelle pour toutes celles et ceux qui ont besoin d’aide en ce domaine.

Mon amie de cœur, Sophie Guedj Metthey, une sœur d’âme, channel depuis plus de 15 ans sait le faire et même très bien !

Elle a déjà aidé de nombreuses personnes à communiquer avec les êtres de lumière et, aujourd’hui, elle vous offre une mini-formation gratuite pour découvrir ou approfondir votre capacité à recevoir et rayonner l’amour et la guidance de ces êtres de lumière.

Si cela touche votre conscience, si vous sentez l’appel, Il suffit de vous inscrire en cliquant ici.

Vous y découvrirez notamment si cela fait partie de votre mission d’âme.

Qui peut communiquer avec les êtres de lumière et pourquoi ?

Un point très important : comment les éviter les pièges de la canalisation pour vivre cette
reliance de manière sereine et confiante.

Comment reconnaitre une canalisation authentique et développer votre discernement ?

Elle vous révélera 7 clés pour faciliter votre contact avec les plans célestes et beaucoup d’autres informations passionnantes.

Inscrivez-vous aujourd’hui, cette mini-formation est proposée gratuitement pendant quelques jours seulement.

Voici une anecdote, qui prouve que les guides peuvent aider de manière extraordinaire.

Il y a une quinzaine d’années, je ne connaissais pas encore les Rayons sacrés, et je voulais passer une maitrise Reiki. Je sentais que c’était important pour pouvoir aider mon frère et surtout, elle se passait le jour de mon anniversaire trois jours plus tard.
J’avais pris ça pour le signe que c’était bien pour moi.
Sauf que je n’avais pas du tout l’argent pour ça.

J’étais alors en Guadeloupe et comme tous les jeudis soir, j’avais été animer un groupe sur l’étude des qualités angéliques à Basse-Terre à 40km de chez moi.

Sur la route du retour, j’ai demandé aux guides de m’aider à trouver l’argent ou une solution et j’ai remercié.
A peine quelques mn passées, j’ai reçu une information clairement ans mon esprit.
Ton amie Carole a l’argent pour la maitrise et aimerait être initiée mais elle n’est pas prête.
Si elle paye pour toi et que tu l’inities plus tard, ce serait une bonne solution.
Bon sang mais c’est bien sur !
Cela était devenu évident, c’était ‘la’ solution à laquelle je n’avais pas du tout pensé.

Et le lendemain matin, j’avais appelé mon amie qui me dit un grand OUI et surtout pleine de joie que ce soit moi qui l’initierai plus tard et de venir chercher l’argent.
Et trois jours après j’étais initiée…

Des histoires comme ça, j’en ai plein et vous pouvez en avoir.

Donnez-vous cette opportunité et devenez vous-aussi ‘réceptionniste’ d’aides magiques.

Rappel du lien d’inscription ici.

Que le meilleur soit !

Joéliah

(valable quelques jours seulement)

Peinture de Mario Duguay