Il y a un pont qui relie le Paradis et la Terre.
On l’appelle le ‘Pont de l’Arc-en-ciel’ à cause de ses nombreuses couleurs.
Au bout du Pont de l’Arc-en-ciel, il y a un pays de prairies,
de collines et de vallées luxuriantes.

Quand un de nos compagnons fidèle décède, il va là-bas.
Il y a toujours de l’eau et de la nourriture et un soleil d’un temps printanier.
Les animaux vieux et faibles sont jeunes à nouveau. 

Ceux qui ont été blessés ou mutilés sont de nouveau en pleine forme.
Ils jouent ensemble toute la journée, Ils y sont heureux.
Une chose manque tout de même : 
ils ne sont pas avec ceux qui les ont aimés sur terre.

Alors, chaque jour ils courent et jouent, jusqu’au moment où l’un d’eux 
s’arrête soudain de jouer et regarde en l’air. Son nez s’agite ! 
Ses yeux fixent l’horizon ! Et tout d’un coup, il s’éloigne en courant 
du groupe, volant au-dessus de l’herbe verte, 
ses jambes le portant de plus en plus vite.

Il vous a vu, et, quand vous vous rencontrez,
vous prenez votre compagnon dans vos bras, et vous l’étreignez. 

Les bisous pleuvent sur votre visage encore et encore et encore, 
et vous caresser enfin à nouveau votre ami tant adoré.

Alors vous traversez ensemble le Pont de l’Arc-en-ciel,
pour ne plus jamais être séparé.

Auteur du texte et de l’image inconnus, je les remercie.

 

Cette belle vibration de l’Expression commence à se faire sentir pour annoncer le mois de mars qui s’en vient.

Nous serons appelé comme ce dauphin devant le soleil ardent à s’exprimer sur tous les angles, sous tous les aspects de notre vie tant au niveau familial que relationnel et professionnel.

Nous voyons à travers le monde que la vérité fait son chemin malgré les revers qui s’en suivent et les conséquences.

Il en va de même dans notre vie personnelle… notre âme est en quête de vérité, de transparence, d’intégrité et d’honnêteté.

Le temps n’est plus aux mensonges, aux cachotteries, aux passe-passe et surtout aux illusions que l’égo maintient encore dans ses tiroirs de contrôle et de résistance.

L’Expression  comme l’œil de cet aigle perché permet l’ouverture aux possibilités du Soi profond, celui qui contient tous les dons créateurs soutenus par la vibration du chiffre sacré 3.

Le chiffre sacré 3 rassemble les cœurs, les familles d’âmes comme la sainte trinité en nous qui vibre au même diapason que le triangle divin (Père-Mère et Fils)

L’expression de Soi ouvre comme le croissant de la lune à la beauté intérieure et au féminin sacré dans tous ses aspects de la sensibilité, de la beauté artistique, de créativité inspirée, d’écriture inspirée, de connexion et de communication.

La communication devient un aspect important au service de l’Expression de Soi : exprimer sa vérité, affirmer ses limites, afficher ses couleurs, partager ses opinions et ses aspirations, clarifier ses besoins, puis en final apprendre à se choisir, choisir le soi divin en soi, pour s’aimer soi.

J’invite donc tous ceux et celles qui sont nés au mois de mars sous la vibration du chiffre 3 (ou qui détiennent le chiffre 3 dans le jour ou l’année ou mission de vie) de bénéficier du passage de cette puissante vibration pour exprimer leur vérité, en toute simplicité, sans attente ou insistance.

Je termine avec la Lumière, celle de Guimel, L’Étincelle Divine de notre Coeur Sacré qui partage, qui donne avec Grâce de son abondance et de sa générosité. Elle nous invite donc, à donner, à partager, à communiquer et se laisser inspirer par la Grâce Divine qui contient en son essence toutes  possibilités d’expression et de création.

Sur ce, je dépose sur vos cœurs d’amour pur  la paix et la lumière

Murielle Robert, auteure de trois livres sur le tarot et le tout dernier sur la Numérologie Sacrée (les 4 codes divins de la date de naissance)

Pour toutes questions ou tirage gratuit en tarot : www.muriellerobert.com

Une ancienne bénédiction mexicaine qui concerne le pardon, l’affection, le détachement et la libération :

“Je libère mes parents du sentiment qu’ils m’ont déjà laissé tomber.

Je libère mes enfants du besoin de m’apporter de la fierté, qu’ils écrivent leurs propres voies selon leurs coeurs, celles qui murmurent tout le temps dans leurs oreilles.

Je libère mon partenaire de l’obligation de me compléter. Je ne manque de rien, j’apprends avec tous les êtres, tout le temps.

Je t’honore, je t’aime et je te reconnais innocent.

Je remercie mes grands-parents et mes ancêtres qui se sont rassemblés pour que je puisse respirer la vie aujourd’hui.

Je les libère des échecs passés et des désirs insatisfaits, conscients qu’ils ont fait de leur mieux pour résoudre leurs situations dans la conscience qu’ils avaient à ce moment-là.

Je me mets à nu devant vos yeux, afin que vous sachiez que je ne cache rien ou ne dois rien d’autre que d’être fidèle à moi-même et à mon existence même et que je marche avec la sagesse du cœur.

Je suis conscient(e) que je réalise mon projet de vie en toutes responsabilités, libre des liens familiaux invisibles et visibles qui pourraient troubler ma paix et mon bonheur.

Je renonce au rôle de sauveur, d’être celui qui unit ou répond aux attentes des autres.

J’apprends à travers, et seulement à travers, l’AMOUR, je bénis mon essence, ma façon d’exprimer, même si quelqu’un ne me comprend pas.

Je me comprends moi-même, parce que moi seule ai vécu mon histoire, parce que je me connais, je sais qui je suis, ce que je ressens, ce que je fais et pourquoi je le fais.

Je me respecte et m’approuve.
J’honore la Divinité en moi et en toi …

Nous sommes libres.”

Source: Anna Yaevah

photo : https://fr.123rf.com/profile_ulkas

Lors d’un séminaire consacré aux couples à l’Université de Fresno (Californie), un des conférenciers a demandé à une femme dans l’assistance : « Votre mari vous rend-il heureuse ? Vous rend-il vraiment heureuse ? »

À ce moment, le mari a relevé la tête, totalement sûr de lui. Il savait que son épouse répondrait par l’affirmative car elle ne s’était jamais plainte pendant leur mariage. Cependant, sa femme a répondu par un “non” tonitruant, un “non” bien catégorique ! « Non, mon mari ne me rend pas heureuse! » Son mari était complètement déconcerté, mais elle a continué :

« Mon mari ne m’a jamais rendue heureuse et il ne me rend pas heureuse ! Je suis heureuse. »

« Le fait d’être heureuse ou pas ne dépend pas de lui, mais de moi. Mon bonheur ne dépend que d’une seule personne : moi. C’est moi qui décide que je serai heureuse dans chaque situation et à chaque moment de ma vie, car si mon bonheur dépendait de quelqu’un, de quelque chose ou d’une circonstance sur la face de la terre, j’aurais de graves problèmes.

Tout ce qui existe dans cette vie change en permanence : l’être humain, la richesse, mon corps, le climat, ma volonté, les plaisirs, les amis, ma santé physique et mentale. En fait, la liste est interminable. Je dois décider d’être heureuse indépendamment de tout le reste. Que ma maison soit vide ou pleine : je suis heureuse ! Que je sorte accompagnée ou seule : je suis heureuse ! Que je gagne un bon salaire ou non : je suis heureuse !

Je suis aujourd’hui mariée mais j’étais déjà heureuse célibataire. Je suis heureuse par moi-même. J’appelle des “expériences” les autres choses, personnes, moments, situations. Elles peuvent ou non m’apporter des moments de joie ou de tristesse. Quand une personne que j’aime meurt, je suis une personne heureuse qui vit un moment inévitable de tristesse.

J’apprends grâce aux expériences passagères et je vis celles qui sont éternelles comme aimer, pardonner, aider, comprendre, accepter, consoler.

Certaines personnes affirment : aujourd’hui je ne peux pas être heureux parce que je suis malade, parce que je n’ai pas d’argent, parce qu’il fait très chaud, parce qu’il fait très froid, parce que quelqu’un m’a insulté, parce qu’une personne ne m’aime plus, parce que je n’ai pas su me mettre en valeur, parce que mon mari n’est pas tel que je l’espérais, parce que mes enfants ne me rendent pas heureux, parce que mes amis ne me rendent pas heureux, parce que mon travail est inintéressant, et ainsi de suite.

J’aime la vie que je mène mais pas parce que ma vie est plus facile que celle des autres. C’est parce que j’ai décidé d’être heureuse et je suis responsable de mon bonheur. Quand j’enlève cette obligation à mon mari et à toute autre personne, je les libère du poids de me porter sur leurs épaules. Leur vie est beaucoup plus légère. Et c’est ainsi que j’ai réussi à avoir un mariage heureux tout au long de ces années. »

La morale de cette histoire ? Vous l’avez devinée :

Ne laissez jamais entre les mains d’une autre personne une responsabilité aussi grande que d’assumer et de susciter votre bonheur. Soyez heureuse et heureux, même quand il fait chaud, même quand vous êtes malade, même quand vous n’avez pas d’argent, même quand une personne vous a blessé ou blessée, même quand on ne vous aime pas ou que l’on ne vous estime pas à votre juste valeur. Un conseil valable pour les femmes et les hommes de tout âge.

Image : https://fr.123rf.com/profile_lindrik
source https://fr.aleteia.org/2016/03/08/votre-mari-vous-rend-il-heureuse/

Quand quelqu’un t’insulte, te réduit à une chose,
Quand on te donne un conseil que tu n’as pas demandé,
Quand quelqu’un te rend responsable de sa douleur,
Quand quelqu’un ne t’écoute pas, et parle sans arrêt de lui-même,
Quand quelqu’un te compare aux autres,
Quand quelqu’un ignore, invalide, juge ou ridiculise tes pensées ou des sentiments…

Arrête-toi. Respire.

Reconnais que c’est leur douleur, non la tienne.
Reconnais qu’ils sont en train de rêver le seul rêve qu’ils peuvent rêver jusqu’à ce qu’ils s’éveillent.
Reconnais qu’ils ne te connaissent pas, mais seulement leur fantaisie.

Peut-être ont-ils du mal à s’aimer eux-mêmes.
Peut-être cherchent-ils leur valeur à l’extérieur.
Peut-être sont-ils déconnectés de leur respiration, de leur corps, de ce qui est vivant et précieux en eux, de leur véritable vocation.

Peut-être vivent-ils dans un monde dualiste de bon et mauvais, vrai et faux, succès et échec.

Peut-être ont-ils oublié la simple joie d’être.

Peut-être que tu comprends cela.
Peut-être as-tu été là où ils ont été .
Ne cherche pas à les changer maintenant.
Peut-être ne changeront-ils jamais.

Ne cherche pas à les corriger.
Ils n’ont pas demandé à être corrigés.
Plus tu pousses, plus ils te repousseront.

Ne te laisse pas prendre dans leur tissu de peines.
Vois clair, aie même de la compassion, mais ne pousse pas.

C’est OK qu’ils soient contrariés. Ça l’est vraiment.
Donne-leur l’espace pour être contrariés.
C’est OK qu’ils soient déçus par toi.
Donne-leur l’espace pour être déçus.
C’est OK qu’ils te jugent.
Fais de la place pour leurs jugements aussi.

Fais de la place pour tes propres pensées et sentiments !
Permets-toi de te sentir triste, en colère, coupable, d’avoir des doutes.
Laisse ces précieuses énergies être lavées à travers toi.
Elles ne te feront pas de mal si tu leur permets de bouger.

Oui, tu rencontreras beaucoup de gardiens dans ce voyage.
Continue ton chemin quand même et permets aux autres de poursuivre le leur.

Tu n’as pas besoin de justifier ton chemin ou de le défendre.
Reste proche de toi dans ces moments éprouvants.

Ne combats pas l’obscurité; de toute façon elle n’a pas de pouvoir.

Simplement augmente ta lumière.

Jeff FOSTER

Image : https://fr.123rf.com/profile_frugo

Il y a quelques temps, en groupe, nous avons fait notre ‘tableau de soi’ du moment présent en collant des images qui nous ressemblaient et exprimaient notre vibration. La photo de ce tableau représente pour moi : la lumière, la beauté, la liberté, l’élévation spirituelle, les êtres de lumière et guides, et bien sur la vie. Il a quelque peu perdu de sa superbe, mais est toujours affiché dans mon bureau et j’aime à m’y plonger de temps en temps dedans, pour nourrir mon âme – Joéliah

Cet article d’Iris, présente l’intérêt d’un tel tableau :

Le tableau du soi

Vous avez surement déjà entendu parler du tableau de vision ou « Vision board » en version anglophone. Cet outil de développement personnel, fortement utilisé pour la loi d’attraction, qui consiste à créer un tableau avec des illustrations, qui représentent ce que nous souhaitons voir se matérialiser dans notre vie.

Aujourd’hui, j’aimerai vous présenter une alternative à ce tableau qui est le Tableau du Soi.

Rien n’est plus important dans notre évolution que de se connecter à soi, se connaitre, se ressentir, être fière de qui l’on est dans le présent. Une recette magique qui ouvre bien des portes, dont la loi d’attraction, et surtout, l’expansion de l’être. Car c’est en ressentant la joie de qui nous sommes dans le présent que cette fameuse loi se met en route, car nous rayonnons pleinement l’être que nous sommes. L’univers écoute nos vibrations, il écoute celles que l’on émet à l’égard de notre propre personne.

La joie d’être soi…

Mais sachons-nous déjà qui nous sommes ? Cela est plus incertains dans une société qui nous dicte inconsciemment la personnalité que nous devons endosser au risque de créer la croyance intérieure, que d’être authentique nous rend marginal, abandonné, rejeté, jugé. Nous étalons ce mécanisme à d’autres concepts, comme la spiritualité. Inconsciemment, nous établissons une identité qui nous parait légitime. Nous nous poussons à nous fondre dans un moule au risque de complètement oublier l’étincelle de l’âme, ce soi, qui n’a qu’une envie, celle d’être en vie et de manière authentique.

Le Tableau du Soi est un outil qui vous permet de mieux vous rendre compte de qui vous êtes et d’en être fière.

Tout comme un tableau de vision il vous suffit de découper des petites images, les télécharger ou les dessiner.
Mais attention, choisissez exclusivement des images qui vous représentent, celles qui correspondent à la personne que vous êtes, là, tout de suite, maintenant. J’exclue dans ces images toutes notions de personnes, d’animaux, car lorsque l’on s’identifie à un être vivant, c’est qu’il y a dépendance affective et manque d’amour de soi.

Vous aimez le bleu ? Vous trouvez que son énergie correspond à la vôtre ? Allez hop ! On découpe ! et on colle !
Et on continue avec tout un tas d’image qui vous font le même effet.

Une fois assemblées, ces images les unes à côté des autres, forment un tableau, un tableau de vous, un tableau de votre soi, votre propre personnalité.

Je vous invite chaque jour à choisir une image de votre tableau, et à vous l’approprier par des ressentis. C’est-à-dire, ne pas l’intellectualiser mais focaliser votre attention sur ce que vous ressentez à sa vue, soyez en fière, soyez fière de vous.

Ce tableau du Soi est voué à être changé autant de fois que vous le souhaitez. Ecoutez-vous, si vous sentez qu’une image ne résonne pas avec la personne qui s’affine au fil du temps, alors n’hésitez pas à la changer. Soyez fière d’être une personne qui se découvre tous les jours et qui affine sa perception de qui elle est.

En exemple, je vous présente le tableau de mon moi (voir sur la page originale) :

Dans ce tableau il y a des couleurs, la créativité, la joie …
Un carnet, qui représente l’écriture, la lecture…
Des villes et paysages que j’affectionne, qui représentent mes origines ou mes envies de voyage.
Des bras, dont le mouvement évoque pour moi la danse de la liberté.
Des fleurs, un café, un cristal, une vie rythmée de nature, de cuisine de spiritualité, de trésors terrestres…

***Tout partage est bienvenu si le texte n’est ni tronqué, ni plagié et que la source (http://irisandco.fr/2018/02/16/tableau-du-soi/) est clairement citée***

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR …

Suffisamment d’argent à elle pour quitter
la maison et se louer un hébergement,
au cas où elle le souhaiterait ou en aurait besoin.

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR …

quelque chose de parfait à se mettre
sur le dos au cas où son employeur,
ou l’homme de ses rêves voudrait la rencontrer dans une heure.

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR…

Une jeunesse qu’elle est heureuse de laisser derrière elle.

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR…

Un passé suffisamment juteux pour avoir hâte de le raconter durant son grand âge.

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR…

Un tournevis, une perceuse sans fil,
et un soutien-gorge en dentelle noire

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR…

Une amie qui la fait toujours rire
et une autre qui la laisse pleurer.

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR…

Un beau meuble qui n’a pas déjà appartenu
à une personne de sa famille.

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR…

Huit assiettes assorties, des verres à vin sur tige,
et une recette en vue d’un repas
qui donnera à ses invités le sentiment
d’être honorés.

UNE FEMME DEVRAIT AVOIR…

Le sentiment de maîtriser sa destinée.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Comment tomber en amour sans se perdre elle-même.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Comment quitter un emploi, rompre avec un amant, et confronter une amie sans gâcher l’amitié.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Quand il faut faire des efforts et quand il vaut mieux partir.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Qu’elle ne peut pas changer la longueur de ses jambes, la largeur de ses hanches,
ou la nature de ses parents.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Que son enfance n’a peut-être pas été parfaite, mais qu’elle est terminée.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Ce qu’elle est prête à faire ou non pour l’amour ou autre chose.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Comment vivre seule même si ça ne lui plaît pas.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

En qui elle peut avoir confiance ou non,
et pourquoi elle ne devrait pas s’en tenir responsable.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Où aller, que ce soit à la table de la cuisine
de sa meilleure amie ou dans une charmante auberge au fond des bois quand son âme a besoin de paix.

TOUTE FEMME DEVRAIT SAVOIR…

Ce qu’elle peut accomplir ou non dans une journée, dans un mois et dans une année.

 

Source Maya Angelou

Trouvé sur le Facebook e Merlin Charles.
photo : https://fr.123rf.com/profile_alexandralexey

Et à votre avis,

un HOMME DEVRAIT AVOIR…  ?

Ma réponse ; une femme qu’il aime et qui est amoureuse de lui et tout ce dont il a besoin pour manifester son meilleur.
et vous ? Que leur et vous souhaitez-vous ?

J’ajouterai, UNE FEMME DEVRAIT ÊTRE FIÈRE D’ELLE.

Que le meilleur soit !
Joéliah

Avez-vous parfois le sentiment d’être traité(e) par des personnes d’une manière que vous ne feriez jamais ? Comment est-ce possible puisqu’il est dit faites aux autres ce que vous aimeriez que l’on vous fasse … ?

Ce message de Marie-Pier Charron, de Matin Magique, est explicatif :

Ne confondez pas ce qui vous est offert avec ce que vous valez.

La façon dont une personne vous traite n’est pas (forcément) le reflet de votre beauté ni de votre grandeur.

C’est le reflet de la façon dont elle traite les autres, tout simplement.
L’expression de qui elle elle, le prolongement de comment elle se sent.

Si elle donne des miettes, cela ne fait pas de vous une personne qui mérite des miettes.
Cela fait d’elle une personne qui donne des miettes. Point final.

Certes, la décision de se rapprocher de vous ou non dépend de son attrait pour vous. Mais même son attirance n’est pas une mesure infaillible…
Par exemple, combien de gens recherchent la compagnie de personnes qui nourrissent leurs vieux schémas toxiques et fuient celles avec qui ils pourraient vivre quelque chose de vrai et de beau ?
On pourrait dire que parfois, être rejeté semble même le plus grand compliment.

Ainsi, chacun donne seulement ce qu’il est capable de donner.
La capacité de donner d’une personne – ou ce qui l’attire – repose sur des facteurs qui n’ont absolument rien à voir avec nous.
Et aussi convaincants soient les scénarios qu’on a l’habitude de se monter, la seule et unique raison pour laquelle on reçoit des miettes, chers amis, est qu’on choisit de les accepter.

Sur ce, je vous souhaite une très belle journée !

Source :  matinmagique.com

Alors, restez vous-mêmes, valorisez-vous et offrez-vous les fleurs que vous méritez !

Image : https://fr.123rf.com/profile_evdoha

La douceur et le chemin de croix, par Simon Leclerc , Écrit le 9 février 2018 :

Bonjour à vous tous,

C’est toujours un plaisir pour moi de reprendre l’enseignement et de créer un nouveau message pour le site Internet. Ces éclairages me permettent de mieux intégrer ce que je partage, et lorsque cela résonne avec les gens qui les lisent, c’est encore plus stimulant pour moi.

Ces dernières années, j’ai été encouragé à entrevoir la vie sous l’angle de mes idéaux, car je savais que si je voulais donner un sens à mon incarnation, il me fallait m’y aligner. J’hésite ici à employer les termes «mission de vie» ou «mandat d’incarnation», car pour moi, il s’agit vraiment de se créer une vie heureuse où ce que l’on entreprend nous apporte de la joie. Cela n’a rien à voir avec un devoir accablant ou une forme quelconque de missionnariat. C’est un chemin réjouissant destiné à nous rendre profondément heureux.

Un mandat d’incarnation fastidieux, austère et déprimant ne peut correspondre à ce qui est insufflé par l’âme. Si un être se sent attiré par un chemin lourd où le but est d’accomplir une tâche qu’il considère nécessaire, il est plus que probable qu’il s’agisse plutôt d’une mémoire nourrie par une sensation de culpabilité. L’être a alors l’impression qu’il doit accomplir une certaine tâche pour se racheter d’un quelconque passé, ou, comme disaient nos ancêtres, «pour gagner son ciel». De mon côté, quand je parle d’une «mission de vie», je fais référence à un parcours qui apporte une joie profonde et réelle, tout en sollicitant le meilleur de nous. Découvrir ce chemin qui nous fera vibrer en profondeur est le «but de notre incarnation» et c’est la voie royale qui conduit au bonheur.

La quête
L’une des principales quêtes que nous entreprenons dans notre vie est celle de découvrir ce que nous aimons vraiment, ce qui nous anime profondément. Trouver ce que sont ces qualités uniques que nous portons en nous. Et ensuite, lorsque nous les reconnaissons, le but est de les mettre en mouvement pour qu’elles puissent servir la vie autour de nous, en stimulant par la même occasion l’être incarné que nous sommes. Pour moi, c’est ce qui apporte le bonheur et nous aligne, par le fait même, avec notre mission de vie. Personnellement, je ne vois aucune différence entre la joie profonde et le mandat d’incarnation. Les deux sont directement liés.

À l’opposé, nous pourrions associer la dépression à l’écart qui existe entre ce que nous sommes réellement et ce que nous faisons de notre vie, la façon dont nous nous déployons. La dépression agit dans ce contexte comme un fusible qui disjoncte, ce qui coupe l’être de sa force vitale. C’est un signal qui indique que l’extérieur n’est plus en alignement avec l’intérieur.

Plusieurs raisons humaines et sociales expliquent cette séparation intérieure et font en sorte que nous nous éloignons graduellement de notre essence. Mais comme je l’ai souvent mentionné dans mes écrits passés, la principale est liée à notre besoin fondamental d’être aimé et reconnu par nos proches, ce qui conditionne notre relation aux autres. Sans toujours le réaliser, cela nous conduit parfois très loin de ce qui nous procure une joie réelle, car notre envie de plaire nous fera confondre nos élans profonds avec ceux qui seront les plus «acceptables» socialement et aptes à nous procurer l’amour et la reconnaissance.

Comprenons que plus l’amour que nous recevons est inconditionnel dès notre jeune âge, plus nous aurons envie de nous poser la question «qui suis-je» et de chercher la réponse? À l’opposé, plus cet amour sera conditionnel et plus nous voudrons nous adapter pour devenir ce qui aura le plus de chance de nous procurer la reconnaissance et l’amour de nos proches. C’est ce mécanisme qui façonne les humains que nous sommes et qui nous éloigne, ou nous rapproche, de nos pulsions profondes.

Maintenant, ceci étant dit, lorsque cette étape de reconnaissance de soi est atteinte et qu’un être sait ce qui l’anime vraiment, la phase suivante de se mettre en mouvement pour concrétiser ses idéaux et se réaliser n’est pas toujours simple. Voilà le thème que j’aimerais aborder à travers cet écrit.

La volonté de l’âme
Dans ma pratique d’accompagnement, j’entends des gens me poser des questions sur «la volonté de l’âme». On me demande parfois» est-ce que mon âme veut que je sois en amour», ou «qu’est-ce que mon âme attend de moi»? Ce type de question provient d’une sensation de séparation qui est basée sur l’observation que la vie ne semble pas toujours aller dans la direction souhaitée. Certaines personnes ont l’impression que si elles ne parviennent pas à créer quelque chose qui leur tient à cœur, c’est alors que «la volonté de l’âme» est différente de la leur. Ces gens s’imaginent que leur âme possède une sorte d’agenda parallèle incompréhensible qu’ils associent aux mystères de l’incarnation. Et c’est ce mystère qui les amène à se demander ce que leur âme veut, comme s’il s’agissait d’un étranger avec lequel on doit composer.

Les obstacles à créer nos idéaux, ce qui nous rend profondément joyeux, n’ont rien à voir avec les freins posés par l’âme. Celle-ci ne pose aucun frein, au contraire même. Elle nous aide plutôt à enlever les barrières en stimulant nos qualités profondes et en nous faisant ressentir de la joie lorsque nous nous y alignons. Son idéal est le même que le nôtre. Si un parcours nous apporte une joie profonde, il correspond nécessairement à «la volonté de notre âme». Comment pourrait-il en être autrement?

Ceci étant dit, alors d’où proviennent ces sensations d’obstructions et les obstacles qui nous empêchent de créer ce qui nous apporte de la joie dans notre vie? S’ils ne proviennent pas de l’âme, quel aspect de nous les crée? En réalité, ce sont les mémoires – celles présentées plus tôt – et le regard que nous portons sur elles qui nous maintiennent dans une sensation de dette. «Je pourrai créer ma vie rêvée lorsque j’aurai remboursé mon dû, lorsque je me serai affranchi de mes obligations». C’est ce que certains ont nommé le karma. C’est lié à une impression de ne pas mériter ce que l’on souhaite, et cela vient saboter notre vie et repousse continuellement l’échéancier du bonheur.

Le karma
S’il est vrai que le karma existe dans le monde des humains, il est associé au défi de nous pardonner de nos inconsciences passées et non pas à une loi cosmique universelle qui nous impose de rembourser d’anciennes dettes. Cette résistance à nous offrir l’amour inconditionnel que réclame inlassablement «l’humain-en-voyage-sur-Terre» nous maintient dans la roue karmique. Sans ce regard de bienveillance envers notre être profond, celui qui fait son possible pour retrouver la paix et la lumière, nous avons l’impression que nous devons nous racheter d’un passé lourd et honteux en redevenant pur et parfait, à coup d’efforts et de démonstration d’excellence. Nous croyons qu’ainsi, nous pourrons prouver que nous sommes «dignes de recevoir» la lumière de Dieu.

Le karma est une illusion créée par le jugement de soi et la sensation qu’il faille payer pour se racheter d’actions passées qui ont eu lieu à un moment où nous étions inconscients. Aussi réelle que puisse paraître cette illusion dans notre vie, qui nous fait croire que nous devons mériter ce que nous souhaitons, c’est l’amour inconditionnel de soi qui permet de la déstructurer. Cela nous permet de transformer la sensation d’adversité en véritable mouvement de collaboration où le soutien extérieur devient le prolongement de notre monde intérieur qui nous rappelle que nous sommes notre principal allié.

Ma propre quête
Afin de manifester mes propres idéaux dans ma vie, j’avais évalué qu’une certaine quantité d’effort me serait nécessaire et j’étais prêt à investir beaucoup d’énergie pour y parvenir. Je me disais qu’il devait certainement exister une corrélation entre ces efforts mis en place et la concrétisation de mes rêves. C’est du moins ce que je croyais.

Comme certains d’entre vous le savent, ces trois dernières années m’ont conduit aux quatre coins du globe pour découvrir différentes cultures et m’intégrer dans des milieux de vie variés. À chaque endroit visité, j’ai participé à des projets locaux, soit via l’intermédiaire d’une ONG canadienne ou directement auprès des organisations rencontrées.

Dans l’ordre chronologique, ces projets m’ont conduit au Vietnam, au Sénégal, en Chine, en Inde et en Irlande, et chacune de ces «escales prolongées» m’a amené à vivre une forme ou une autre d’ajustement. Bien que ces aventures m’aient permis de découvrir des capacités d’adaptation insoupçonnées en moi, je dois admettre qu’à plusieurs reprises, surtout au début, je me suis demandé ce que je faisais là.

J’ai longtemps pensé que pour atteindre les sommets de mon être, je devais conquérir la montagne de ma vie et «vaincre mes démons intérieurs». Je me disais que c’est ce qui allait permettre de laisser émerger mon être vrai. J’estimais que c’était dans l’adversité que je découvrirais ma détermination et mon engagement personnel, une façon pour moi de «faire mes preuves» à l’école de la vie. Cette vision m’a amené à vivre des expériences parsemées d’obstacles qui donnaient un sens à ma quête spirituelle. Je les voyais comme des trophées sur la route qui témoignaient des épreuves traversées. C’était pour moi le passage obligé qui me permettrait de parvenir à mes fins.

En dehors de ma zone
Durant les sept mois qu’a duré mon aventure au Vietnam, la première des cinq, j’ai vécu en dehors de ma zone de confort. J’habitais une ville de 10 millions d’habitants (Ho Chi Ming City) où, dès les premiers jours, j’ai dû composer avec des sollicitations de toutes sortes, trouver mes repères, apprendre à me déplacer en scooter (une première pour moi) et développer des liens dans une langue diamétralement opposée de la mienne (voir texte Le tourisme spirituel). J’ai donc passé sept mois en suradaptation.

Par la suite, l’ONG avec laquelle j’œuvrais m’a proposé un nouveau projet au Sénégal. Bien que la vie y fût plus douce et agréable qu’au Vietnam, et que le peuple y parle le français, j’ai tout de même dû composer avec une nouvelle réalité en lien avec la sécurité. Les Sénégalais sont très accueillants et chaleureux, mais comme plusieurs pays en développement, l’état de survie que vivent certains citoyens les pousse à commettre des larcins quand ils ne risquent pas de se faire prendre. Et les blancs sont plus ciblés, puisqu’ils sont associés à la richesse. Donc dès que la noirceur tombait, je devais être plus vigilant et éviter de me retrouver isolé. Ce sont du moins les consignes que mon organisation m’avait transmises.

Dans le contexte de cette expérience et du couvre-feu que je m’étais fixé autour de 22h, j’ai fini par me créer une forme de routine qui, graduellement, m’a amené à m’intérioriser de plus en plus. Puisque l’extérieur m’était moins hospitalier et que j’avais accès à un balcon qui donnait sur la mer, j’avais pris l’habitude d’aller y méditer tous les soirs, transporté par les sons de la mer.

La verticalité
Mes méditations prolongées sur ce balcon m’ont permis de contacter des dimensions spirituelles nouvelles de mon être et plus cela évoluait, plus je vibrais à un rythme élevé. Cet état m’avait amené à percevoir mon être dans sa verticalité, unissant le haut et le bas à travers mon corps physique qui semblait agir comme un pont entre le ciel et la terre. À partir d’un certain état d’être, une période qui a duré environ deux ou trois jours, je ressentais une telle sensation d’union avec moi-même que tout mon corps physique vibrait.

Au fur et à mesure de l’évolution de ces sensations, j’ai commencé à percevoir mon humain sous un nouveau jour. Déjà, cette impression d’hostilité extérieure avait créé en moi une nouvelle réalité qui m’amenait à ressentir de plus en plus de compassion pour l’être humain que je suis, qui était à ce moment captif de son environnement immédiat. Je me suis mis à contempler tous les efforts que j’avais investis dans ma vie pour réaliser mes rêves et je constatais l’impasse dans laquelle je me trouvais. J’avais continuellement la sensation que quelque chose était sur le point de se manifester, et pourtant, je voyais bien que ma vie ne correspondait pas à ce que je souhaitais. J’étais devenu prisonnier, à l’autre bout du monde, alors que je rêvais de magie et d’union.

«Bientôt» était devenu le mot le plus récurent de mon vocabulaire intérieur. Je m’y accrochais pour éviter de ressentir ma désillusion. À un moment, j’ai eu un choc. C’était comme si j’étais sur le quai d’une gare et que j’attendais un train invisible. Je me suis vu devant ce mirage à espérer ma vie rêvée, d’un «bientôt» à l’autre, pour réaliser que cela ne se produisait jamais. Oui j’étais rendu au bout du monde, engagé dans un projet au potentiel de rayonnement international, mais dans des conditions de vie difficiles, en suradaptation et en isolement, avec un mandat qui ne me donnait pas la sensation de faire une différence dans la communauté où j’étais. Je me disais que ça ne pouvait pas être cela ma «vie rêvée».

Après le choc passé à constater ma désillusion, j’ai été poussé intérieurement à contempler l’humain que je suis à partir de ma verticalité, de cet état d’être décrit précédemment. Je voyais tous les efforts que j’avais mis en place pour en arriver là, alors que je ne pouvais que constater le manque de joie profonde que je ressentais dans ma vie. Tout me semblait requérir des efforts et de la détermination, alors que je me sentais continuellement évalué sur mes intentions et mon niveau d’engagement qui me permettraient, selon ce que je croyais, de «gagner mon ciel «sur Terre.

La perspective de Dieu
Dans ce moment de lucidité accrue, alors que je rencontrais une dimension plus intime de mon incarnation, j’ai commencé à contempler mon humain avec un regard de plus en plus amoureux. C’était comme si je m’observais à partir de la perspective de Dieu. Je voyais tous les gestes que j’avais posés par le passé afin d’atteindre mes buts, tous ces efforts investis pour que ma vie concrète corresponde à mes idéaux. Je faisais mon possible pour retrouver la paix et la lumière, je trébuchais parfois, et me relevais invariablement ensuite. Et malgré ma détermination, j’étais motivé par une quête qui m’apparaissait de plus en plus illusoire. Je voyais les «bientôt» se succéder, et j’observais qu’à un moment, j’aurais atteint les limites de mes capacités. La solution devait nécessairement être ailleurs.

Peu à peu, j’ai contemplé une idée qui émergeait graduellement en moi. Je voyais cette croyance qui me soufflait à l’oreille que je devais «mériter» ce ciel tant convoité sur Terre pour qu’il me soit enfin offert. J’avais fini par croire que mes efforts constituaient une sorte de banque de données, tel un système de pointage dont les unités pourraient un jour être échangées contre des points bonheur.

J’étais là, complètement observateur de mon l’illusion, tout en ressentant mon être d’un point de vue universel. Et à ce moment, j’ai eu une envie irrésistible de me prendre dans les bras et d’accueillir cet humain que je suis : celui qui souhaite aimer et être aimé, mais qui parfois a peur d’être humilié et trahi, et qui se referme sur lui-même. Celui qui, enfant, tentait par tous les moyens d’attirer l’attention de son père pour être reconnu, et qui désespérait d’y arriver. Son père devenu «ses pairs» une fois adulte, je voyais celui qui cherchait continuellement les regards d’approbations des adultes qui l’entouraient.

Cet être-là que je rencontrais, celui que je nomme l’humain-en-voyage-sur-Terre, me demandait d’être aimé et de retrouver sa place au cœur de mon voyage spirituel. Pour moi, c’était un aspect de mon incarnation qui voulait «réintégrer la maison de Dieu». Je comprenais que si je lui refusais mon amour, c’est tout l’Univers qui, à travers moi, le rejetait. Via cette expérience expansive, j’étais devenu l’Univers et c’est Dieu qui s’exprimait à travers moi, en tant que moi. J’assumais alors le rôle de m’accueillir moi-même, car il m’incombait de le faire si je voulais que l’Univers m’accueille.

Revenir à la maison
Pour moi, redevenir le Maître de sa vie veut dire «ramener tous les aspects de soi à la maison», ce qui implique nécessairement d’inclure l’humain et toutes ses expériences dans l’équation. Nous ne pouvons pas l’abandonner sur Terre dans l’espoir de retrouver enfin sa lumière, car l’illusion de nous croire ainsi épurés et allégés de nos ombres en les rejetant ne fait que les nourrir. Il n’est pas possible de retrouver sa lumière, si l’on choisit de rejeter des aspects de soi au passage.

C’est cela qui crée les véritables drames de nos incarnations. Non pas le fait d’habiter sur une planète inhospitalière et inéquitable, mais la violence du regard que nous posons parfois sur notre propre humain qui fait son possible pour retrouver sa lumière, sa joie, et créer sa vie rêvée. Faire de cette planète le jardin d’Eden promis par tant de religions, c’est de comprendre et de ressentir que ce jardin est déjà ici, sur Terre, précisément là où nous sommes. Il correspond à l’amour et à la reconnaissance de l’être humain-en-voyage-sur-Terre, et de son parcours pour redevenir l’Homme-Dieu, le Dieu-Homme.

Si nous ne nous offrons pas ce regard compatissant envers nous-mêmes et continuons d’entretenir l’illusion que nos limitations sont des obstacles à notre lumière, la vie nous le reflète en amplifiant ces obstacles dans notre vie. Et alors, nous évoluons sur un chemin de croix et nous nous accrochons à l’espoir que le prochain «bientôt» sera le dernier, ou l’avant-dernier, ou le précédent, et ainsi de suite. Cette illusion n’a pas de fin, elle s’arrête quand nous le choisissons.

Évoluer à son rythme
Partir réellement d’où l’on est dans la vie au lieu d’où l’on aimerait être est une clé qui, personnellement, m’a permis de développer un regard de compassion envers mon être humain-en-voyage-sur-Terre. Cela m’a appris à suivre et à respecter mon propre rythme d’évolution. Trop souvent, la comparaison nous éloigne de nous en nous faisant croire que nous devrions être ailleurs, que nous devrions être autre chose que ce que nous sommes. Et sans s’en rendre compte, cela nous amène à regarder nos limitations avec mépris, les voyant comme des obstacles à notre déploiement.

Sur mon balcon en Afrique, j’ai réalisé que la sensation continuelle d’adversité et d’emprisonnement que je ressentais dans ma vie provenait de cette illusion que je nourrissais en moi. Je croyais que je devais conquérir mon être pour planter mon propre drapeau à son sommet, et ce faisait, j’avais fait de ma vie un chemin de croix qui me permettait de justifier ma conquête. Même si j’avais continuellement l’impression de me rapprocher de mon but, les «bientôt» se succédaient et j’étais toujours au même endroit, prisonnier de ma réalité.

Quand j’ai compris cela, tout s’est éclairci. J’ai transformé mon regard intérieur pour créer une nouvelle réalité de douceur, de joie et d’expansion, et dans les heures qui ont suivi ma reprogrammation, j’ai entendu une voix en moi me disant qu’il était temps pour moi de revenir au Canada. C’est ce que j’ai fait, et plus rien n’a été pareil par la suite. Les voyages qui ont succédé cette expérience m’ont renvoyé une nouvelle image de mon être, à la fois beaucoup plus engagé dans des projets concrets, mais aussi vivant une grande légèreté sur un chemin où la joie et l’harmonie pouvaient maintenant m’accompagner.

Expérience d’autoguérison
Récemment, je me suis blessé en pratiquant un sport que j’aime beaucoup. Fort de toutes mes lectures sur la spiritualité et de mes années de méditation, j’ai effectué une expérience d’autoguérison afin de rétablir mon bras. J’ai élevé mon rythme vibratoire et j’ai visualisé / ressenti mon membre comme étant déjà guéri. Après les quelques minutes qu’a duré cette expérience, j’ai observé que ma douleur était tout aussi présente qu’avant l’exercice. Je suis alors entré en méditation profonde pour questionner mon être, et j’ai reçu que je n’étais pas encore rendu à ce niveau d’autoguérison, que c’était prématuré pour moi de chercher à obtenir des résultats instantanés. On me disait que ce serait éventuellement possible, mais pas en ce moment dans ma vie.

Sans trop réfléchir, j’ai mis de côté cette expérience pour poursuivre mes activités, avec l’envie de guérir le plus rapidement possible, sachant que le temps serait mon meilleur allié. Après deux semaines de retrait de mon activité sportive, je constatais, à mon grand désarroi, que mon bras n’était toujours pas guéri et je ne voyais pas d’amélioration. Non seulement mon expérience d’autoguérison ne l’avait pas «réparé», mais rien n’avait changé depuis. Je ne comprenais pas ce qui se passait.

Quelques jours plus tard, après l’une de mes méditations, j’ai posé la question sur la situation, et tout d’un coup, ça m’a frappé. Quand j’ai terminé mon exercice d’autoguérison deux semaines plus tôt et constaté mon incapacité à apporter une différence immédiate à mon état, j’ai jugé mes aptitudes de guérison et le rythme de récupération de mon corps. Je voulais que ça aille plus vite, et dès lors, je suis entré en dissonance avec mon être. Ça m’a sauté aux yeux que par ce simple exercice d’autoguérison et «l’échec» qu’il a représenté à mes yeux, je me suis jugé et aussitôt fait, j’ai alourdi précisément ce que je voulais stimuler.

Après avoir réalisé mon erreur et la lourdeur du regard que j’avais posé sur moi, j’ai retiré les jugements et me suis rappelé l’importance de «partir d’où j’étais» au lieu «d’où j’aurais aimé être» pour mieux m’accompagner. Et magiquement, j’ai aussitôt ressenti l’énergie y circuler de nouveau et mon bras s’est remis à guérir. L’exercice d’autoguérison pouvait maintenant agir, au rythme parfait, sans le sable dans l’engrenage que j’avais ajouté. Quelques jours plus tard, j’étais presque rétabli, alors que la douleur avait auparavant duré près de trois semaines, sans aucune amélioration.

Les ailes de l’amour
En vérité, c’est l’amour et la compassion envers l’humain que nous sommes qui ouvrent la porte à nos pouvoirs sur Terre. Il n’y a rien à conquérir, nous sommes déjà rendus. Nous l’avons oublié, voilà tout. Et c’est sur les ailes de l’amour de soi – et de tout ce que cela implique – que le chemin du retour à la super conscience peut s’effectuer.

S’aligner avec son plan de vie veut dire vivre des expériences qui nous apportent une joie réelle et profonde, peu importe ce qu’elles sont. Il existe autant de chemins de vie qu’il y a d’humains sur Terre et aucun parcours n’est similaire à un autre. Le but n’est donc pas de suivre le chemin des autres, mais de s’en inspirer pour découvrir le sien, celui qui nous apportera une joie réelle et qui nous rapprochera de l’Homme-Dieu, le Dieu-Homme que nous sommes.

Les aventures que j’ai vécues dans les dernières années m’ont permis de réaliser que mon parcours spirituel pouvait être joyeux et agréable, tout en m’amenant à découvrir mes étonnantes (et très pratiques) capacités d’adaptation. Tous les projets que j’ai vécus ont présenté une gradation dans l’expérience de la légèreté et de la joie, mais c’est une fois rendu en Irlande que j’ai constaté comment la vie pouvait être à la fois douce et stimulante.

Je comprends aujourd’hui que la joie, la douceur et l’harmonie peuvent faire partie du voyage et qu’il est possible de transformer le chemin de croix en jardin de fleurs où chacune des odeurs sur le parcours représente une nouvelle aventure à découvrir. Cette voie m’a appris à être bienveillant envers moi-même, et lorsque je m’éloigne de cet état, je me souviens de la douceur du regard de l’Univers en mon endroit. Par résonnance, lorsque je deviens ce regard et que je l’incarne concrètement, c’est l’Univers tout entier qui s’exprime à travers moi. Et la douceur que je rencontre dans ma vie me le rappelle continuellement.

Je suis heureux d’avoir pu partager avec vous ce nouvel enseignement sur l’amour de soi qui, je l’espère, aura su éclairer votre chemin. Vous aurez compris que le but ici n’était pas de parler de moi, mais de vous présenter mon parcours pour inspirer le vôtre. Sur ce, je vous salue et vous souhaite un futur béni, sachant qu’il prend naissance au présent.

Salutations à tous

Simon Leclerc

… au service de la Grande Fraternité Humaine et Universelle

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Écrit le 9 février 2018, par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com)

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Jour 2 et mois 2(février) de l’année 2(2018)= 11= 2

Le chiffre 2 du mariage sacré de notre âme de lumière qui attend depuis si longtemps de s’unir avec son Soi Divin, noces mystiques de cette union à l’intérieur même de notre temple sacré.

Enfin le chiffre 2 retrouve ses polarités unifiées qui symbolisent la fin de la séparation et de la dualité.

Enfin c’est la connexion ultime de l’âme avec sa Source Divine après avoir passé par toutes les expériences terrestres pour finalement  retourner vers sa Demeure Céleste, son énergie de pureté originelle, là d’où elle vient.

Durant tout ce voyage, elle avait en son enceinte matricielle son étincelle divine BETH lui permettant de se recentrer dan sa Maison Intérieure et s’ouvrir à son canal de lumière « l’Intuition » une grâce divine en communication constante avec sa lumière pure et sachant au fond d’elle même qu’elle était Lumière et qu’elle retournerait à sa Lumière.

BETH est aussi la gardienne de toutes les connaissances depuis le début  des temps puisque de vies en vies l’âme se révèle à son humanité comme exploratrice des expériences évolutives…puis au bout…la reconnexion avec sa Source Divine…

La Papesse du chiffre 2 en tarot de Marseille démontre bien le symbole d’une femme voilée  qui garde ses secrets et son attention vers l’intérieur, vers sa croix lumineuse au centre du Cœur pour ne pas se laisser distraire par l’extérieur. Son chapeau qui se hisse vers le haut démontre bien son intention de rester connectée à sa source lumineuse sans avoir besoin de regarder son livre des connaissances puisqu’elle sait qu’elle sait.

Bénéficier de cette journée du 2-2-2- et les jours qui suivent pour rester connecté à l’intérieur de votre temple sacré, prêt à vous révéler ses secrets et ses richesses insoupçonnés d’informations et de connaissances de «soi » …vous n’avez qu’à demander à votre Soi divin, à BETH ou toute référence d’être de lumière. Toutes ces sources lumineuses et ressources sont à votre disposition pour vous livrer  des enseignements précieux appropriés à votre évolution ou  ce que vous avez besoin de savoir…Elles vous dévoileront peut-être leurs secrets insoupçonnés.

Pour tous et celles qui ont le chiffre 2 en mois de naissance ou jour de naissance 

Bénéficiez du passage de cette puissante vibration du chiffre 2 pour vous connecter avec toutes les possibilités d’utiliser votre intuition puisque  vos ressentis deviendront de plus en plus percutants et révélateurs.

Vous êtes aussi des êtres de lumière avec des capacités extraordinaires de connexion et de communication célestes, que ce soit avec vos anges, vos guides, votre âme, la Source, tout est possible et facilitant pour vous.

 La clé : faire confiance à vos ressentis qui ne passent pas  par le mental car c’est une lumière pure.

Paix et amour

Murielle Robert, auteure de trois livres sur le tarot et le tout dernier « en numérique » sur la Numérologie Sacrée (les 4 codes divins de la date de naissance)

Pour toutes questions ou informations : www.muriellrobert.com