Si vous êtes victime d’une agression entraînant une blessure physique, et que celle-ci est superficielle, votre corps sera capable de cicatriser pratiquement tout seul.
En revanche, si la blessure est plus grave ou plus profonde, vous irez voir un médecin pour vous faire recoudre ou plâtrer.
Jamais il ne vous viendrait à l’idée d’attendre que votre agresseur en personne revienne vous désinfecter et vous recoudre.
En outre, aller chez le médecin ne vous empêchera pas d’aller ensuite à la police.
Guérir votre corps est une chose; porter plainte contre l’agresseur en est une autre, et vous ne les confondez pas. Alors, pourquoi
tomber dans cette confusion quand c’est notre cœur qui est blessé, cette fois? Pourquoi s’imaginer que seul notre agresseur a la capacité de nous guérir ?
Pourquoi lier notre guérison à son comportement à lui ? C’est pourtant ce que l’on fait quand on s’imagine ne pas pouvoir se soigner tant qu’il ne nous aura pas demandé pardon et n’aura pas réparé ce qui peut l’être.
Il en va des blessures du cœur comme de celles du corps: on peut en guérir seul ou avec l’aide d’un tiers, indépendamment de ce que fera ou non l’agresseur. La cicatrisation du cœur porte un nom: le pardon. Le pardon est la guérison des blessures du cœur. Il nous guérit de ces maladies qu’engendre le poison de la rancune, de la haine, de la rage sourde ou de l’envie de vengeance.
Il existe aujourd’hui diverses approches pour réussir à soigner les blessures de son cœur, que l’on peut mettre en œuvre seul ou en groupe, selon les cas. Il y a plusieurs chemins possibles vers la guérison: personne n’est condamné à subir ou à souffrir passivement.
Vous pouvez atteindre le pardon et cicatriser : cette décision ne dépend que de vous. Parallèlement, vous pourrez aussi déposer plainte ou demander réparation: mais vous le ferez le cœur en paix, si vous avez réussi à faire œuvre de pardon auparavant. Au tribunal, vous irez alors chercher justice et non vengeance. Et vous serez libre.
Extraits du livre : « Graines de sens » d’Olivier Clerc trouvé sur philosophie-poeme.com



Bien souvent, vous souhaitez contrôler l’amour, lui donner une direction, le mettre en boîte. Je t’aime si tu fais ça. Je ne t’aime plus si tu ne fais pas ceci. Il ne s’agit pas de cet amour-là dont je veux vous parler mais de l’amour qui est au cœur de tout ce qui existe.
Le câlin est simplement un geste d’amour, de chaleur, d’affection. La sensation de chaleur qui se déverse de l’autre personne fait dissoudre de nombreuses maladies en vous, fait fondre l’ego froid comme de la glace. Cela vous fait retrouver l’enfance.
C’est un fait, le chiffre 22 est un chiffre double mais sa force de maîtrise n’est pas seulement parce qu’il il est un chiffre miroir mais bien parce qu’il porte en son essence divine tout le chemin parcouru jusqu’à l’intégration de sa divinité intérieure….via l’Ascension
….dans sa demeure intérieure …dans son royaume céleste.
8. Laisse-toi guider par ton corps et par sa sagesse. Il te laissera savoir quand tu devras t’enlever de certaines situations, en te faisant sentir de la tension et un inconfort. Il te laissera aussi savoir quand tu es aligné avec ce que tu es, parce que tu te sentiras calme, dans un grand sentiment de bien-être.
Quand un de nos compagnons fidèle décède, il va là-bas.
L’Expression comme l’œil de cet aigle perché permet l’ouverture aux possibilités du Soi profond, celui qui contient tous les dons créateurs soutenus par la vibration du chiffre sacré 3.
Je remercie mes grands-parents et mes ancêtres qui se sont rassemblés pour que je puisse respirer la vie aujourd’hui.
« Mon mari ne m’a jamais rendue heureuse et il ne me rend pas heureuse ! Je suis heureuse. » 
Reconnais que c’est leur douleur, non la tienne.